L’oxymore ou oxymoron
Le terme oxymoron vient du grec « oxus » - aigu, pénétrant et de « môros » - émoussé, sot. Peu connu et rarement consciemment utilisé, un oxymore ou oxymoron, est une figure de rhétorique, une alliance de mots désignant des réalités contradictoires ou fortement contrastées et étroitement liées par la syntaxe. L'oxymore est aussi appelé paradoxisme par Fontanier. En exprimant ce qui est inconcevable, une nouvelle réalité poétique qui suscite un effet de surprise est ainsi créée, en ajoutant de la force à la vérité décrite. Si certains oxymores ont été imaginés pour attirer l'attention du lecteur ou de l'auditeur, d'autres le sont pour créer une catégorie verbale décrivant une réalité qui ne possède pas de nom spécifique. Ce sont les oxymores discrets; étant entrés dans le langage courant, ils sont peu remarqués en tant que tels. Ainsi les noms composés tels que clair-obscur de l'italien « chiaro oscuro » ou aigre-doux, doux-amer, sont des oxymores. Un procédé grinçant et répandu consiste à considérer comme oxymore, une expression qui ne cherche pas à l'être, par exemple: musique contemporaine, cuisine anglaise, intelligence économique, culture américaine, art moderne, développement durable ou génie militaire. Mais les plus évidents oxymores restent ceux qui réunissent les contrastes frappants tels crevettes géantes, joliment laid, silence assourdissant, différences similaires, argenterie plastique, un peu gros, nouveau classique, accident volontaire, air liquide, variable constante, gentillesse cruelle, mer asséchée, réelle illusion, victime d'un suicide, moment infini, réplique originale, mort vivant, etc.
Hors du feu, ajouter les morceaux de bacon et étendre le tout sur une plaque à biscuit tapissée de papier parchemin, jusqu’à un épaisseur d'environ ¼".
Arroser de la mélasse en très fins filets et laisser complètement refroidir pendant au moins 2h.
Recouvrir la plaque de toffee d’un linge propre ou de quelques feuilles de papier absorbant et la briser en morceaux à l’aide d’un maillet à viande ou d’un marteau.
Garder le tout dans un contenant hermétique à température de la pièce.
*Ne pas mettre au frigo, sinon la condensation ferait en sorte de ramollir le toffee en laissant une pellicule humide sur le dessus.
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Le terme oxymoron vient du grec « oxus » - aigu, pénétrant et de « môros » - émoussé, sot. Peu connu et rarement consciemment utilisé, un oxymore ou oxymoron, est une figure de rhétorique, une alliance de mots désignant des réalités contradictoires ou fortement contrastées et étroitement liées par la syntaxe. L'oxymore est aussi appelé paradoxisme par Fontanier. En exprimant ce qui est inconcevable, une nouvelle réalité poétique qui suscite un effet de surprise est ainsi créée, en ajoutant de la force à la vérité décrite. Si certains oxymores ont été imaginés pour attirer l'attention du lecteur ou de l'auditeur, d'autres le sont pour créer une catégorie verbale décrivant une réalité qui ne possède pas de nom spécifique. Ce sont les oxymores discrets; étant entrés dans le langage courant, ils sont peu remarqués en tant que tels. Ainsi les noms composés tels que clair-obscur de l'italien « chiaro oscuro » ou aigre-doux, doux-amer, sont des oxymores. Un procédé grinçant et répandu consiste à considérer comme oxymore, une expression qui ne cherche pas à l'être, par exemple: musique contemporaine, cuisine anglaise, intelligence économique, culture américaine, art moderne, développement durable ou génie militaire. Mais les plus évidents oxymores restent ceux qui réunissent les contrastes frappants tels crevettes géantes, joliment laid, silence assourdissant, différences similaires, argenterie plastique, un peu gros, nouveau classique, accident volontaire, air liquide, variable constante, gentillesse cruelle, mer asséchée, réelle illusion, victime d'un suicide, moment infini, réplique originale, mort vivant, etc.
- 5 tranches de bacon cuites coupées en morceaux
- 1 t. sucre
- ¼ t. eau
- Pincée de sel
- ½ t. beurre mou
- 1 c. à table mélasse (facultatif)
Hors du feu, ajouter les morceaux de bacon et étendre le tout sur une plaque à biscuit tapissée de papier parchemin, jusqu’à un épaisseur d'environ ¼".
Arroser de la mélasse en très fins filets et laisser complètement refroidir pendant au moins 2h.
Recouvrir la plaque de toffee d’un linge propre ou de quelques feuilles de papier absorbant et la briser en morceaux à l’aide d’un maillet à viande ou d’un marteau.
Garder le tout dans un contenant hermétique à température de la pièce.
*Ne pas mettre au frigo, sinon la condensation ferait en sorte de ramollir le toffee en laissant une pellicule humide sur le dessus.
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