Terrine de fraises d'été


Let me take you down, 'cause I'm going to Strawberry Fields.
Nothing is real and nothing to get hung about.
Strawberry Fields forever.

Living is easy with eyes closed, misunderstanding all you see.
It's getting hard to be someone but it all works out.
It doesn't matter much to me.

Let me take you down, 'cause I'm going to Strawberry Fields.
Nothing is real and nothing to get hung about.
Strawberry Fields forever.

No one I think is in my tree, I mean it must be high or low.
That is you can't you know tune in but it's all right.
That is I think it's not too bad.

Let me take you down, 'cause I'm going to Strawberry Fields.
Nothing is real and nothing to get hung about.
Strawberry Fields forever.

Always no sometimes think it's me, but you know I know when it's a dream.
I think I know I mean "Yes," but it's all wrong.
That is I think I disagree.

Let me take you down, 'cause I'm going to Strawberry Fields.
Nothing is real and nothing to get hung about.
Strawberry Fields forever.
Strawberry Fields forever.
Strawberry Fields forever.

Strawberry Fields Forever - composé en 1966-67 par John LENNON et interprété par THE BEATLES en single, puis sur l'album Magic Mystery Tour
  • 1½ lb fraises fraîches lavées équeutées
  • 1¾ t. crème 35%
  • 4 sachets gélatine en poudre
  • 3 c. à table Grand Marnier
  • 1 c. à table jus de citron
  • ⅓ t. sucre
Réserver 6 à 7 fraises pour le décor de la terrine.

Déposer le reste des fraises dans le contenant du mélangeur et pulvériser jusqu’à bien lisse, ajouter le sucre et pulvériser quelques secondes supplémentaires, réserver.

Dans une petite casserole, faire chauffer le Grand Marnier et le jus de citron sur un feu doux, ajouter la gélatine un sachet à la fois et laisser chauffer jusqu’à ce que la gélatine soit complètement dissoute et remuant souvent.

Ajouter le mélange de Grand Marnier et de gélatine aux fraises dans contenant du mélangeur et pulvériser à nouveau, quelques secondes, réserver.

Dans une grande jatte, fouetter la crème et délicatement y plier l’appareil de fraises.

Verser le tout dans un moule à cake ou à pain préalablement tapissé d’une pellicule plastique.

Enfoncer les fraises réservées dans la mousse, pour le décor.

Recouvrir le moule d’une pellicule plastique et laisser prendre au frigo au moins 4h., encore mieux toute une nuit.

Source : Magalie Roche


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Grillades de boeuf, sauce flambée aux oignons


Autrefois, les Grecs attribuaient des qualités sacrées au feu parce qu’ils le croyaient un cadeau de Prométhée, ce titan qui selon la mythologie grecque, aurait joué un rôle important dans l’histoire de l’humanité. Dans la Grèce Antique, des miroirs étaient alors utilisés pour réfléchir les rayons du soleil de façon à allumer des flammes perpétuelles devant les grands temples grecs. Certains rituels grecs de l’époque incluaient aussi le relais de torches, sans pour autant faire partie de la tradition olympique que l’on connaît aujourd’hui. De nos jours, la flamme olympique est allumée devant les ruines du temple d’Héra à Olympie en Grèce. Cette flamme a pour mission de mettre l’emphase sur la relation entre les jeux olympiques de la Grèce Antique et les jeux olympiques modernes. Pourtant, la flamme olympique et son relais sont nés aux jeux olympiques de Berlin en 1936. En effet, quelques 3330 coureurs ont contribué à mener cette première flamme olympique à destination, en partance de Grèce vers l’Allemagne, via la Bulgarie, la Yougoslavie, la Hongrie, l’Autriche et la Tchécoslovaquie. C’est Carl Diem, le secrétaire du comité organisateur des 11e jeux olympiques à Berlin, qui proposa l’idée du relais de la flamme, d’Olympie à la ville hôtesse. Mais selon certains historiens contemporains, Adolf Hitler alors chancelier d’Allemagne, aurait fortement encouragé cette idée afin de promouvoir une certaine symbolique entre la suprématie de la race Arienne et les dieux de la Grèce Antique. Dès lors, le relais de la torche à été parsemé d’embûches, ici et là. En 1956, alors que Melbourne attendait l’ouverture de ces jeux olympiques, neuf étudiants australiens mirent en scène un canular rocambolesque, alors que la torche entrait dans Sidney. Les jeunes agissaient de la sorte dans le but de protester contre ce qu’ils interprétaient comme « trop de révérence » à la flamme, considérant leurs origines nazies. Un des étudiant, Barry Larkin, se fit donc passer pour un athlète olympique et arriva à berner jusqu’au maire de Sydney, Pat Hills, en lui remettant une fausse torche qu’il avait fabriquée en mettant feu à un slip imbibé de kérosène et enfoncé dans un boîte de conserve flanquée au bout d’un barreau de chaise. Le gredin eut même le temps de décamper avant que quiconque ne se rende compte de l’imposteur qu’il était!
  • 4 tournedos de bœuf (ou autre coupe au goût)
Marinade
  • ¼ t. vinaigre de vin rouge
  • ¼ t. ketchup
  • ½ c. à thé basilic
  • ½ c. à thé thym
  • ½ c. à thé origan
  • ½ c. à table sauce Worcestershire
  • ¼ c. à thé fumée liquide
  • 2 gousses d’ail pressées
  • ½ c. à table sucre
Sauce
  • 1 oignon haché finement
  • 2 c. à table beurre
  • ¼ t. bouillon de bœuf
  • ¼ t. brandy
  • ¼ t. crème 35%

Mélanger tous les ingrédients de la marinade et verser dans un sac de congélation ou un contenant hermétique, ajouter les tournedos et laisser mariner le tout au frigo pendant au moins 6h.

Sortir les tournedos de la marinade et les faire cuire sur le bbq ou à la poêle, au goût.

Pendant ce temps, sur un feu modéré, faire tomber les oignons dans le beurre jusqu'à translucides.

Ajouter le bouillon de bœuf et laisser cuire 2 minutes en remuant de temps à autres.

Ajouter le brandy, mélanger le tout et faire flamber.

Ajouter enfin la crème hors du feu et bien mélanger.

Servir les grillades arrosées de sauce.


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