Biscuits "Chockablock"



Recette suggérée par Mary de Popsicles and Sandy Feet
dans le cadre de ma cent-unième participation aux TWD

«Chock-a-block» est un terme anglais qui signifie que les éléments d’un ensemble sont tellement serrés les uns contre les autres qu’il est impossible de les bouger. On pourrait traduire ce terme par l'image «plein à craquer». L’origine du terme est très ancienne et relève du vocabulaire nautique de la langue anglaise.

La déviation du mot «chock» n’est pas tout à fait claire, mais on croit que le terme viendrait de «chock-full» ou «choke-full» qui signifie «être plein à en étouffer». Cette expression date du 15e siècle et est d’ailleurs citée dans Morte Arthur, vers 1400: «Charottez chokkefulle charegyde with golde». Elle fut employée plus tard pour désigner les cales de bois (chocks) servant à maintenir les objets en place. Ces cales étaient autrefois utilisées sur les navires comme le suggère An Universal Dictionary of Marine, de William Falconer en 1769: Cale (chock), un type de taquet de bois servant à tenir en place un fût ou tout autre objet lourd, lorsque le navire est en mouvement. Aussi, «block and tackle» désigne le système de poulie utilisé sur les navires pour remonter les voiles, mais il est possible que cette expression vienne de ce fameux taquet utilisé ici pour vérouiller la poulie.

«Chock-a-block» est aussi une expression des militaires anglais de la Seconde Guerre Mondiale – «choka» ou «chocker», signifiant «être à bout», «en avoir ras le bol» ou encore «être déçu».
  • 1½ tasse farine
  • 1 cuillerée à thé poudre à pâte
  • ½ cuillerée à thé bicarbonate de sodium
  • Pincée de sel
  • ¼ tasse beurre à température ambiante
  • ¼ tasse shortening végétal
  • ½ tasse sucre
  • ½ tasse mélasse
  • 2 gros œufs
  • 1½ tasse flocons d’avoine
  • 1 tasse fruits séchés (canneberges, abricots, raisins secs, etc.)
  • 1 tasse noix hachées (pacanes, amandes, noix de Grenoble, etc.)
  • 2 tasses brisures de chocolat mi-sucré
Dans un bol, bien mélanger la farine, la poudre à pâte, le bicarbonate et le sel, réserver.

Dans une grande jatte, à l’aide d’un batteur électrique, battre le beurre et le shortening jusqu’à crémeux.

Ajouter le sucre et continuer de battre jusqu’à mousseux et aéré.

Ajouter la mélasse, battre à nouveau jusqu’à bien incorporé.

Ajouter les œufs un à la fois en battant au moins une minute après chaque addition.

Ajouter les flocons d’avoine et le ingrédients secs, continuer de battre à vitesse réduite jusqu’à amalgamés.

À l’aide d’une maryse, ajouter les fruits secs, les noix et les brisures de chocolat, bien incorporer.

Déposer la pâte par cuillerée à table comble (ou un peu plus) sur une plaque de cuisson préalablement tapissée de papier parchemin (en prenant soin de laisser un espace d’environ 1’’ entre chaque biscuit).

Faire cuire au four sur la grille du centre, à 325° pendant 15 à 18 minutes ou jusqu’à légèrement dorés.

Laisser tiédir quelques instants avant de servir ou de ranger dans un contenant hermétique.

*Donne environ 2 douzaines de très gros biscuits ou 3 douzaines de biscuits moyens.

Source: Baking, From My Home to Yours - Dorie Greenspan - déclinaison


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Petits poudings au suif, canneberges, orange et érable, cuits à la vapeur





Recette suggérée par Ester de The Lilac Kitchen
dans le cadre de ma vingtième participation aux défis Daring Bakers

Cuisiner pour un monarque anglais n’a jamais été une mince affaire, comme le chef Roose l’a découvert à ses dépends en 1532. Roose, cuisinier en chef de l’évêque de Rochester, avait préparé un festin pour le roi Henri VIII, alors en visite. Malheureusement pour Roose, le menu avait violemment attaqué le duodénum royal, et le cuisiner fut envoyé en prison. Quelques jours plus tard, on le fit bouillir vif, au marché londonien de Smithfield, sous les yeux des spectateurs en liesse. Aujourd’hui, la tâche de cuisiner du chef d’état de la Grande-Bretagne est un peu moins périlleuse. Elle comporte néanmoins, ses propres embûches. Lorsque la reine Elizabeth II rend visite à ses homologues, une missive d’ordres concernant ses goûts culinaires, la précède. Selon certains chefs, la reine ne mangerait pas d’ail, ni de longues pâtes, pas plus que des sauces tomates salissantes, ou encore des mûres ou des framboises. Ces dires ont été niés par l’ambassade britannique qui les qualifie de pures spéculations et de potins recyclés. Pourtant la duchesse d’York elle-même affirme que la reine essaierait d’éviter l’ail dans le seul but de ne pas offenser ses interlocuteurs. Quoiqu’il en soit, il est clair que la reine a des préférences culinaires et qu’elle s’attend à ce que ses hôtes les respectent. Une porte-parole du palais de Buckingham soutient que la reine a des préférences relativement simples, mais que celles-ci ne seront jamais dévoilées, de peur qu’on les lui servent partout où elle ira. Les aliments par contre, que la reine ne mangera jamais, sont des coquillages ou des crustacés crus; en tout temps la reine doit être en pleine forme et elle évitera donc tout ce qui pourrait interférer avec sa condition. Ivor Spencer, le maître de cérémonies le plus illustre de Grande-Bretagne, a présidé plus de 1000 événements royaux et connaît mieux que quiconque, les goûts de la reine. Celui-ci affirme qu’elle aime la cuisine simple, ni trop riche, ni trop épicée; elle apprécie beaucoup les recettes traditionnelles telles que le pouding au suif roulé au cassis, la tarte aux pommes et le pouding au toffee. Elle préfère les petites portions, contrairement à Elizabeth I, qui se faisait vomir à l’aide d’une plume de paon, de façon à créer plus d’espace pour encore plus de nourriture. Selon certains, la reine voyagerait toujours avec un bon gâteau aux fruits, ses propres oreillers de plumes, sa bouillotte, ses remèdes homéopathiques et sa bouilloire!
  • 1½ tasse farine
  • 1½ cuillerée à thé poudre à pâte
  • Pincée de sel
  • ½ tasse sucre d’érable
  • 1 tasse suif râpé
  • 1 gros œuf
  • Zeste d’une orange
  • 6 cuillerées à table lait froid
  • ½ tasse canneberges séchées
  • 4 cuillerées à thé sirop d’érable
  • Sirop d’érable (pour le service)
Bien beurrer 4 ramequins d’au moins une tasse et verser au fond de chacun d’eux, une cuillerée à thé de sirop d’érable, réserver.

Dans un bol, bien mélanger la farine, la poudre à pâte et le sel, réserver.

Dans une jatte, à l’aide d’un batteur électrique, battre le suif et le sucre d’érable.

Ajouter l’œuf, le zeste et le lait, et battre à nouveau pendant 2 minutes.

Ajouter les ingrédients secs aux ingrédients liquides et battre jusqu’à lisses.

À l’aide d’une maryse, incorporer les canneberges.

Diviser l’appareil obtenu dans les ramequins réserver et couvrir chaque ramequin d’un morceau de papier parchemin, légèrement pressé sur le dessus de la pâte (le papier parchemin empêchera la vapeur/condensation de retomber sur les poudings.

Poser un linge propre au fond d’une grande casserole et placer les ramequins sur le linge.

En prenant garde de ne pas mouiller la pâte des poudings, verser de l’eau autour des ramequins, jusqu’à ce qui ceux-ci soit à demi immergés.

Couvrir la casserole et porter à ébullition.

Aux premiers bouillons, baisser le feu à modéré et laisser frémir pendant 1H (en prenant soin de vérifier de temps à autres, que la casserole ne manque pas d’eau.

Retirer les poudings de la casserole, retirer le papier parchemin et démouler les poudings en posant une assiette à dessert sur chacun d’eux et en les faisant basculer (si les poudings ne se démoulent pas aisément, les laisser reposer à l’envers quelques instants et les aider à l’aide de la pointe d’un couteau piqué dans le côté de la pâte).

Servir tiède avec un trait de sirop d’érable.

The April 2010 Daring Bakers’ challenge was hosted by Esther of The Lilac Kitchen. She challenged everyone to make a traditional British pudding using, if possible, a very traditional British ingredient: suet.

Source: Delia Smith’s Complete Cookery Course, The pudding club (www.puddingclub.com), Mrs Beeton’s Book of Household Management and the Dairy Book of Home Cooking and Esther’s family recipe notes!


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Brochettes de veau au chipotle




Alors que le point de vue principal de la controverse porte sur le veau, il s’applique autant sur l’agneau que sur le chevreau, lorsque ceux-ci sont élevés à des fins de productions laitières. Évidemment, la viande du veau est la même que celle d’une vache immature et représente inévitablement un sous-produit de l’industrie laitière. Pour faire en sorte que les vaches donnent constamment du lait, elles doivent être gestantes et produire au moins un veau par année. Les veaux femelles sont la plupart du temps, élevées avec le troupeau et vendus à des fermes laitières, une fois matures; mais l’autre moitié des naissances qui est mâle, est souvent considérée comme indésirable par cette industrie. L’industrie laitière nécessitait autrefois un taureau pour féconder les vaches, une fois par année; mais dorénavant, les fermes reçoivent leurs «taureaux» en bouteilles afin d’économiser et d’éviter les problèmes causés par ces brutes au mauvais caractère. La seule option des producteurs laitiers est de vendre leurs veaux mâles aux abattoirs qui feront boucherie avant que les petits n’aient atteint la puberté, et c’est là qu’entre en jeu cette fameuse controverse. Les défenseurs des animaux, qui pour la plupart n’ont jamais rencontré de taureau de leur vie et ne s’intéressent que très peu au faits énumérés précédemment, clament haut et fort que les veaux sont maltraités. Ils affirment que les veaux sont élevés dans des conditions inhumaines, nourris de façon déséquilibrée pour les rendre anémiques et vaccinés avec des hormones et toutes sortes de produits dangereux. L’industrie du veau pour sa part nie toutes ces attaques et réplique en affirmant que les veaux sont très bien traités et toujours testés pour quelques résidus médicamenteux que ce soit. Alors, qui dit vrai? On dit, et avec raison, des défenseurs des animaux, qu’ils inventent souvent de fausses allégations et des exagérations mensongères en utilisant des photographies dont ils ne signalent ni la date, ni la provenance, dans le but d'obtenir un amer bénéfice émotionnel qui n’atteint la logique au final, qu’à court terme. Les défenseurs de l’industrie, avec leurs évidents intérêts économiques, sont aussi réputés pour l’exagération et la manipulation de leurs dires, malgré le fait qu’ils soient soumis à des analyses bien plus strictes de la part des gouvernements et de la presse. Il est évident que personne n'espère qu’au courant de leur courte vie, les veaux soient élevés dans des conditions inhumaines, mais la production de veaux ne s’arrêtera pas, ni ne déclinera, tant et aussi longtemps que le monde continuera d’acheter et de consommer lait, yogourt, beurre, crème et fromage. Au moment où un veau naît, d’énormes sommes d’argent on déjà été investies dans sa production, il serait donc absurde de tuer les mâles à la naissance et de jeter leurs carcasses aux poubelles.
  • ⅓ tasse chapelure nature
  • ⅓ tasse lait
  • 5 tranches bacon hachées
  • ½ tasse oignons hachés
  • 2 gousses d’ail pressées
  • 1 piment chipotle finement haché (en sauce adobo)
  • 1 cuillerée à thé cumin en poudre
  • 1 cuillerée à thé oregan séché
  • 2 cuillerées à table eau
  • 1 gros œuf légèrement battu
  • ¼ tasse persil frais haché
  • ¾ livre veau haché
  • ½ livre proc haché (ou bœuf)
Dans un bol, bien mélanger la chapelure et le lait, réserver.

Dans un grand poêlon, sur un feu modéré, faire cuire le bacon haché jusqu’à tendre, égoutter sur un papier absorbant.

Dans le même poêlon, faire cuire l’oignon, l’ail, le piment haché, le cumin et l’oregan dans le gras de bacon, jusqu’à ce que les oignons soient tendres, environ 3 minutes.

Ajouter l’eau, continuer la cuisson jusqu’à sec, en raclant le fond du poêlon afin de récupérer tous les sucs.

Dans une grande jatte, bien mélanger avec les mains, le mélange de chapelure, le mélange d’oignon, le veau, le porc, l’œuf et le persil.

Lorsque très bien amalgamé, façonner des boulettes d’une peu plus de 1’’, avec le mélange obtenu.

Déposer les boulettes sur une plaque de cuisson tapissée de papier parchemin et les faire cuire au four sur la grille du centre, à 350° pendant 10 minutes.

Retourner les boulettes, et continuer la cuisson pendant 5 minutes.

Laisser les boulettes tiédir quelques minutes et les enfiler sur les brochettes et remettre les brochettes sur la plaque de cuisson.

Repositionner la grille du four à 3 ou 4’’ du grill et faire griller les boulettes sous le grill pendant 2 à 3 minutes ou jusqu’à légèrement dorées.

Servir aussitôt avec une salade ou un accompagnement de légumes sautés.

Source : Jane Spice – déclinaison


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Aloo gobi





Une ancienne légende hindoue raconte qu’il y a très longtemps, les hommes auraient tous été des dieux. Mais ceux-ci auraient tant abusé de leur puissance que Brahma, le dieu des dieux, se vit dans l’obligation de leur retirer tous leurs pouvoirs pour les cacher dans un endroit qui leur serait impossible de découvrir. Mais où? Brahma demanda qu’un conseil des dieux mineurs soit rassemblé afin de discuter du problème.
«Enterrons la divinité de l’Homme!» proposèrent-ils.
Mais Brahma leur rappela que cela ne suffirait pas, que les hommes creuseraient et la trouveraient.
Les dieux répliquèrent: «Dans ce cas, cachons-là dans les profondeurs de l’océan!»
Mais Brahma leur rappela à nouveau, que tôt ou tard les hommes exploreraient les profondeurs de l’océan et la remonteraient à la surface.
Puis les dieux avouèrent: «Nous ne savons pas où cacher la divinité de l’Homme, parce qu’il n’existe aucun endroit sur Terre que les hommes n’exploreront pas un jour!»
Brahma répondit: «Nous cacherons la divinité de l’Homme à l’intérieur de sa propre personne, puisque c’est le seul endroit qu’il n’explorera jamais!»
Depuis ce jour, la légende veut que les hommes explorent, grimpent, plongent et creusent constamment, à la recherche de ce qui se trouve à l’intérieur d’eux-mêmes.

Brahma, dieu des dieux de l'hindouisme
  • 2 cuillerées à table huile d’olive
  • 1 cuillerée à thé graines de moutarde noire
  • 1 cuillerée à thé graine de cumin
  • ½ cuillerée à thé clou de girofle entier
  • 3 gousses d’ail pressées
  • 1 cuillerée à table gingembre frais râpé
  • 1 gros oignon haché
  • 1 petit piment fort épépiné haché (Habanero, Serrano ou autre)
  • 2 cuillerées à thé garam masala
  • 1 cuillerée à thé curcuma
  • 1 cuillerées à thé sel
  • 2 cuillerées à thé miel
  • ¾ tasse eau
  • 3 pommes de terre moyennes pelées coupées en cubes
  • 1 petit chou-fleu défait en petit fleurets
  • ¼ petit chou vert émincé (facultatif)
  • 1 cuillerée à table jus de citron fraîchement pressé
  • 1 tasse petits pois verts (frais ou congelés)
  • Coriandre ou persil haché (au choix)
Dans un grand fait-tout, faire chauffer l’huile sur un feu modéré et y faire griller les graines de moutarde noire, le cumin et le clou de girofle, jusqu’à ce que le tout crépite.

Ajouter l’ail et le gingembre, poursuivre la cuisson en remuant fréquemment pendant 1 minutes.

Ajouter l’oignon et le piment fort, faire cuire jusqu’à ce que les oignons soient translucides.

Ajouter le garam masala, le curcuma, le sel, le miel et l’eau, bien mélanger.

Ajouter les pommes de terre, bien les enrober de sauce, couvrir et laisser cuire pendant 10 minutes ou jusqu’à presque tendres.

Ajouter les fleurets de chou-fleur et le chou émincé, bien les enrober à leur tour de la sauce, laisser cuire environ 30 minutes à couvert, ou jusqu’à tendres.

Ajouter le jus de citron et les pois verts, bien remuer et continuer la cuisson 2 à 3 minutes ou jusqu’à ce que les pois soient réchauffés.

Servir aussitôt, parsemé de coriandre ou de persil haché.

Source : Mark – No Recipe - déclinaison


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Blue Haze




La couleur bleue, gouverne le chakra de la gorge, aussi appelé «Vishuddha». Elle touche le savoir, le pouvoir de décision et la santé. On l’utilise fréquemment en pharmacie, par exemple pour les pastilles contre la toux, diverses pilules et quelques désinfectants puisqu’elle rappelle la couleur naturelle de certains antiseptiques. Le bleu est aussi la couleur de l’âme; elle est rattachée à l’expression de soi-même, à la parole, la communication, la croissance personnelle et à la capacité que nous avons d’exprimer nos besoins et nos désirs; il est possible de renforcer ce chakra en utilisant la voix. La voix intérieure et l’intuition abstraite souvent utilisées pour résoudre les problèmes sans besoin de logique formelle, sont aussi dérivées de cette région du chakra de la gorge. Pour réguler ce chakra, il ne suffit que d’utiliser les mots «ram» ou «rang» en méditation, ceux-ci désignent «soi» en tibétain; le but étant de se «vider» de soi-même, pour élever l’expérience d’une connection avec l’univers. Cette couleur bleue, relaxante pour l’esprit a un effet pacificateur sur le système nerveux; elle est idéale pour soigner les problèmes d’insomnie et d’hyperactivité. Elle connecte aussi l’esprit avec la pensée holistique, apporte la sagesse et la compréhension tout en améliorant la communication et en apaisant la solitude. Les gens qui favorisent le bleu, sont loyaux, délicats, affectueux, inspirants, attentifs, attentionnés et prudents. Historiquement, le bleu est associé à la vérité et la fidélité, et c’est de là que vient la coutume qui veut que la mariée porte quelque chose de bleu. D’ailleurs on utilise différents tons de bleus en publicité, en affaire et dans le monde militaire, afin d’immiscer une certaine confiance au message d’un travail bien fait. De plus, la couleur bleue améliore les opportunités de carrière, les rapports d’affaires, les questions financières, ainsi que les qualités de leadership. Mais trop de bleu peut rendre mélancolique, dogmatique, négatif, arrogant et égocentrique; méfiez-vous d’une personne qui porte ou aime trop le bleu, elle pourrait parler en mal de vous, dans votre dos, être dominante, fanatique ou même en proie à des réactions extrêmes. Par ailleurs, pas assez de bleu peut aussi rendre dépressif, effacé, timide, manipulateur, têtu et suspicieux. Une personne n’ayant pas assez de bleu dans son entourage pourrait être craintive, faible, inconsistante, dépendante et refouler certains sentiments. La façon la plus efficace de balancer le bleu est de porter une pierre bleue sur la peau, de préférence sur un point de pulsion tel que la gorge, les lobes d’oreilles, les poignets, etc., l’aigue-marine, l’aventurine bleue, la fluorite, l’agate bleue, le quartz bleu, la célestine ou le lapis lazuli, feront très bien l’affaire.
  • 2 onces vodka de qualité
  • 1 once Triple Sec
  • 1 once Curaçao bleu
  • Limonade
  • Glaçons
  • Tranches d’orange, de citron, de lime ou cerise (pour le décor)
Dans un shaker rempli de glaçons, bien secouer la vodka, le Triple Sec et le Curaçao bleu.

Verser le tout dans un grand verre rempli de glaçons, en retenant les glaçons du shaker.

Remplir le reste du verre de limonade fraîche, décorer au goût et servir aussitôt.

Source : In The Spirit - déclinaison


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Biscuits "américains" à la tapenade d'olive verte et au pesto





Recette suggérée par Melissa de Love at First Bite
dans le cadre de ma centième participation aux TWD

Tapenade. n.f.
Domaine(s): - alimentation, épices et assaisonnements
Définition: Pâte faite d'olives noires, d'anchois et de câpres broyés auxquels on ajoute de l'huile d'olive et du jus de citron.
Note(s):
On trouve certaines variantes, comme la tapenade faite avec des olives vertes; dans certaines régions françaises on y ajoute du thon émietté. On sert la tapenade en tartinade sur du pain grillé ou on l'utilise comme condiment avec certains aliments, dont les œufs durs et le concombre.

Malgré que les câpres soient originaires de la Méditerranée, ils furent probablement introduits en Provence, par les Phéniciens de Crête, les Grecs de l’Asie Mineure qui se sont installés près de Marseille au 6e siècle av. J-.C. Le câprier était alors connu sout le nom de «tapeneï» en provençal, et les bourgeons, partie utilisée pour des besoins culinaires, étaient nommés «tapeno» et conservés dans des amphores remplies d’huile d’olive, puique le vinaigre n’était pas encore utilisé à l’époque. Après un certain temps dans l’amphore, les câpres prenaient la texture d’une pâte épaisse, l’ancêtre de la tapenade moderne. On emploie donc cette appelation de «tapenade» aujourd’hui, pour les câpres plutôt que pour les olives, qui sont en volume, le plus important ingrédients constituant la tapenade. Au 2e siècle, on vit enfin l’utilisation du vinaigre et de l’ail, devenir prévalente pour conserver les aliments; un amalgame de la période moyenâgeuse, prôné par les théories médicales du physicien grec Galien dominaient. Chanot-Bullier, l’auteur d’un livre de recettes de la région de la Provence: Vieii receto du cousino prouvençalo, « Vieilles recettes de cuisine provençales », divisa la cuisine provençale en quatre régions et catégorisa la tapenade dans la troisième région, la toulonnaise-varoise. D’après l’auteure, la tapenade, cette fameuse pâte d’olives, d’anchois, de thon et de câpres dégustée sur de petits toasts et accompagnée de Pernod, appartiendrait donc à la cuisine de la Côte d’Azur, empire des coquillages et des mollusques mangés crus.
  • 2 tasses farine
  • 1 cuillerée à table poudre à pâte
  • 1 cuillerée à thé sucre
  • 1 cuillerée à thé sel
  • 3 cuillerées à table tapenade d’olive verte (ou noire)
  • 2 cuillerées à table pesto (maison ou du commerce)
  • 1 tasse crème 35%
Dans un bol, bien mélanger la crème et le pesto, réserver.

Dans une grande jatte, bien mélanger la farine, la poudre à pâte et le sel.

Ajouter la crème et la tapenade, bien incorporer.

Avec les mains, pétrir légèrement la pâte en 3 à 4 coups, afin d’obtenir une boule homogène.

Transférer la pâte obtenue sur un plan de travail enfariné, et abaisser avec les doigts, jusqu’à une épaisseur de ½‘’.

Découper les formes désirées dans la pâte, à l’aide d’un emporte-pièce au choix.

Poser les biscuits sur une plaque de cuisson préalablement beurrée ou tapissée de papier parchemin.

Retravailler la pâte restant (le moins possible) afin d’obtenir les plus de biscuits possible.

Faire cuire au four sur la grille du centre, à 425° pendant 14 à 18 minutes ou jusqu’à gonflés et légèrement dorés.

Servir tièdes ou chauds avec du beurre, de la confiture, de la soupe ou même, un ragoût.

Source: Baking, From My Home to Yours - Dorie Greenspan - déclinaison


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Côtes levées à la coréenne




Traditions coréennes.

Lors d’un repas :
Ne vous servez pas vous-même la boisson, mais offrez de servir les autres. D’ailleurs, ne refusez jamais de servir quelqu’un. Les femmes ne servent que les hommes, jamais d’autres femmes. Pour être resservi, terminez d’abord votre verre et pour ne pas l’être, ne terminez tout simplement pas votre verre.

Au restaurant, lorsqu’il est mentionné que vous ne devez pas donner de pourboire, n’insistez pas.

Acceptez toujours la place que votre hôte vous attribue. La place d’honneur est toujours celle qui fait face à la porte d’entrée; si on vous l’attribue, il est poli de protester légèrement pour marquer votre humilité.

À table, passez les plats ou la boisson avec la main droite seulement, en supportant votre bras droit de votre main gauche.

La personne qui aura invité les convives, paiera la note. Il est toutefois poli d’offrir de la payer. Lorsque deux personnes dînent ensemble, la personne la plus jeune paie d’ordinaire, la note.

Après le repas, l’hôte peut inviter ses convives à sortir prendre un verre; il est impératif de ne pas refuser cette invitation.

Le language corporel :
Ne jamais toucher ou tapoter une personne qui n’est pas votre ami proche ou votre parent.

Toujours prendre les objets qu’on vous tend, avec la main droite.

Pour interpeler quelqu’un, étendre votre bras, paume vers le bas et bouger vos doigts en «grattant».

Ne jamais pointer votre index vers quelqu’un.

Les salutations :
Lorsque vous saluez une personne plus âgée que vous, gardez les jambes ensemble et bien droites, poser vos bras bien droits de chaque côté de votre corps et en gardant votre dos droit, inclinez-vous vers l’avant, à partir de la taille. Gardez votre visage vers le bas et ne regardez pas la personne. Lorsque vous vous inclinez, dites: «An Nyung Hah Sea Yo» et ne vous inclinez ni trop vite, ni trop lentement.

Si vous rencontrez cette personne pour la première fois, présentez-vous en vous décrivant en détail.

Les Coréens évitent souvent de dire «non», rappelez-vous donc que «oui» ne signifie pas toujours une affirmation.

Ne serrez pas la main de votre interlocuteur trop fort.

Ne parlez pas de la culture coréenne, même si c’est pour la complimenter.

Offir des cadeaux :
Le fait d’offrir des cadeaux fait partie intégrante de la culture coréenne, ayez donc toujours sur vous, quelques cadeaux à offrir, en cas.

Lorsqu’on vous offre un cadeau, refusez-le à quelques reprises avant de l’accepter. Au final, acceptez toujours le cadeau.

Lorsque vous serrez la main ou acceptez un cadeau d’une personne plus âgée que vous, faites-le toujours à deux main.

N’offrez pas des cadeaux trop dispendieux (on sera obligé de vous offrir un cadeau de même importance, en retour). Jamais de ciseaux, de couteaux ou encore, de cadeaux enveloppés de papier rouge ou ornés d’inscriptions rouges.

Les Coréens apprécient les cadeaux enveloppés de papiers aux couleurs vives.

Le quotidien :
Enlevez toujours vos chaussures lorsque vous entrez chez quelqu’un.
  • 4 livres côtes de dos de porc
  • 2 cuillerées à table gingembre frais râpé
  • 3 gousses d’ail pressées
  • 1 tasse sauce chilli
  • 2 cuillerées à table pâte de chilli asiatique (sambal oelek ou autres)
  • ½ tasse miel
  • ½ tasse sucre
  • 2 cuillerées à table sauce soya
  • 3 cuillerées à table huile de sésame grillé
  • Poivre au goût
Retirer la membrane intérieure des côtes.

Dans une grande casserole, faire bouillir les côte complètement immergées dans l’eau, pendant 45 minutes.

Pendant ce temps, mélanger tous les ingrédients de la marinade et verser le tout dans un grand sac de congélation ou un contenant hermétique.

Égoutter les côtes, les laisser tiédir quelques instants et les ajouter à la sauce en prenant soin de bien les en couvrir.

Mettre au frigo au moins 6H, encore mieux toute une nuit.

Retirer les côtes de la sauce et les déposer dans un plat à cuisson, côté creux vers le haut.

Remplir le creux des côtes de la moitié de la marinade.

Faire cuire les côtes au four sur la grille du centre, à 350° pendant 30 minutes.

Retourner les côtes côté bombé vers le haut et arroser du reste de la marinade.

Poursuivre la cuisson pendant 15 minutes.

Détailler les côtes en les coupant le long des os et servir aussiôt.

Source: Sea Salt With Food - déclinaison


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Gâteau suédois





Recette suggérée par Nancy de The Dog Eats the Crumbs
dans le cadre de ma quatre-vingt-dix-neuvième participation aux TWD

Reconnu comme l’une des personnes les plus influentes au monde, Alfred Nobel laisse un héritage honorant d’incroyables exploits, accomplis dans les domaines de la science, la littérature et la paix. Mais cet héritage fut construit sur un empire explosif avec lequel Nobel s’est immensément enrichi en manufacturant, distribuant et vendant de la dynamite et autres explosifs, à travers le monde. Après avoir grandi à St-Petersbourg en Russie, le jeune Alfred pris conscience de ce que son frère aîné et son père tentaient de faire : manufacturer des explosifs pouvant être transportés et utilisés de façon sécuritaire, à travers le monde. Il est important de noter que leurs but n’était pas d’aider les pays en guerre, mais bien d’aider ces pays à se développer et à s’enrichir en construisant des route, des mines et des tunnels. Les accidents provoqués par ses explosifs ont pris des millions de vies, et la famille Nobel a travaillé ardemment afin de manufacturer des méthodes d’utilisation plus sûres. À Heleneborg, où la manufacture familiale se trouvait, une explosion faucha le plus de jeune frère d’Alfred, en plus de nombreux autres employés. Dès lors, Alfred savait qu’il travaillerait à rendre les explosifs moins dangereux. Il savait que le travail familial déjà accompli était à la fine pointe et tout ce qu’il lui restait à faire, était de peaufiner leurs recherches et leurs découvertes. Alfred découvrit que la nitroglycérine pouvait être développée de façon à être moins volatile et en 1867, il breveta l’invention qu’il nomma «dynamite» : un mélange de nitroglycérine et d’éléments naturels. Il inventa aussi le moins connue « plastic »: une pâte explosive et malléable. Fabriquée de nitroglycérine et de nitrocellulose, cette pâte était bien plus explosive que la dynamite. Mais la dynamite plus sûre fut l’invention qu’il mit de l’avant, en plantant ses manufactures à travers le monde. Le prix Nobel lui vint à l’idée alors qu’un journal français annonçait sa mort alors qu’il était toujours en vie. Alfred avait lu dans la chronique obituaire qu’on l’avait surnommé «le marchant de la mort», vu son association à la dynamite utilisée pendant la guerre. Après réflexion, Alfred décida de fonder un prix dans lequel la majorité de sa fortune contribuerait à décerner une récompense à ceux qui se distingueraient le mieux, dans différents domaines. Ouverts à une certaine interprétation, ces prix sont aujourd’hui les plus prestigieux et le plus notoires de notre époque. Le prix de littérature était le favori d’Alfred; il a lui-même écrit une tragédie appelée Nemesis, publiée après sa mort, uniquement en Suédois-Espéranto.


Alfred Nobel - Circa 1880
  • 1 tasse sucre
  • Zeste d’un citron
  • 2 œufs
  • 1 cuillerée à thé vanille
  • 3 cuillerées à table garniture de tarte aux amandes
  • 1 tasse farine
  • Pincée de sel
  • ½ tasse beurre fondu tiédi
  • 1 tasse amandes grillées hachées
  • 2 cuillerées à table sucre
Dans une grande jatte, travailler le sucre et le zeste de citron avec les doigts, jusqu’à bien parfumés.

Ajouter les œufs et battre au batteur électrique jusqu’à pâle et épais, environ 3 minutes.

Ajouter la vanille et la garniture de tarte aux amandes, et battre à nouveau jusqu’à bien incorporés.

À l’aide d’une maryse, plier la farine et le sel, jusqu’à bien amalgamés.

Plier le beurre jusqu’à bien amalgamé.

Verser le tout dans un poêlon de fonte de 9’’, préalablement beurré et uniformiser toujours à l’aide de la maryse.

Recouvrir le tout des amandes hachées et saupoudrer de sucre.

Faire cuire au four sur la grille du centre, à 350° pendant 25 à 30 minutes ou jusqu’à ce qu’un cure-dent inséré au centre du gâteau en ressorte propre.

Laisser tiédir quelques instants à température ambiante, avant de couper en pointes.

Source: Baking, From My Home to Yours - Dorie Greenspan - déclinaison


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