Le ligure est une langue romane parlée encore de nos jours, en Ligurie, dans le Nord de l’Italie ainsi que dans certaines régions méditerranéennes de France et de Monaco. Cette langue romane s’éteint peu à peu, mais reste pour le moment parlée par une population relativement âgée d’environ 1 920 800. Les habitants du Nord de la Toscane, les Piémontais, parlent aussi le ligure, tout comme ceux d’Émilie-Romagne, de certains villages des Alpes-Maritimes, de la Corse et de Monaco où elle est officiellement adoptée en tant que langue monégasque. Les Italiens niçois parlaient aussi une langue très similaire au ligure avant la réunion du pays niçois à la France en 1860. Le dialecte génois, parlé à Gênes la principale ville de Ligurie, est l’un des plus connu de la langue ligure; il existe même d’autres dialectes à l’intérieur de celui-là même : le nervi, le quinto et le quarto sont entendus à l’Est de Gênes, alors que le voltri, le prà, le pegli et le sestrito son entendus à l’Ouest. Quelques autres accents existent vers la Vallée Polcevera et Val Bisagno. À la différence de l’italien standard, le dialecte génois est quelque peu similaire au français. Quelques œuvres littéraires furent d'ailleurs produites en génois aux alentours du 13e siècle, mais leur orthographe ne fut jamais régularisée. Comme pour le français, le dialecte génois utilise des voyelles très nasales devant certaines consonnes; les « r » y sont aussi prononcés comme en français, plus alvéolaires que roulés.
Ce que la plupart des francophones connaissent sous le nom italien « pesto », du Latin « pilare » signifiant « pilon », est mieux connu des Génois, créateurs de cette sauce, comme « pestu » prononcé presque exactement comme le font les Provencaux, « pistou ».
Dans un bol, bien mélanger la pâte de tomate à l’œuf, ajouter le lait et l’huile.
Ajouter les ingrédients liquides aux ingrédients secs et mélanger jusqu’à tout juste incorporés; ne pas trop mélanger.
Remplir à demi, les cavités de 8 gros moules à muffins préalablement beurrés, ajouter une cuillerée à thé de pesto au centre de chaque muffin, recouvrir les touches de pesto, du reste de la pâte.
Faire cuire au four sur la grille du centre, à 350° pendant 20 à 25 ou jusqu’à ce que le test du cure-dent réussisse.
*Donne 8 gros muffins
Ce que la plupart des francophones connaissent sous le nom italien « pesto », du Latin « pilare » signifiant « pilon », est mieux connu des Génois, créateurs de cette sauce, comme « pestu » prononcé presque exactement comme le font les Provencaux, « pistou ».
- 2 t. farine
- 2/3 t. parmesan finement râpé
- 1 c. à table poudre à pâte
- 1 c. à thé basilic séché
- ½ c. à thé sel
- 1 c. à thé poivre moulu
- Pincée de piment d’Espelette (ou autre piment fort)
- 1 œuf battu
- 2 c. à table pâte de tomate
- 1 t. lait
- ¼ t. huile d’olive
- 8 c. à thé pesto (maison ou du commerce)
Dans un bol, bien mélanger la pâte de tomate à l’œuf, ajouter le lait et l’huile.
Ajouter les ingrédients liquides aux ingrédients secs et mélanger jusqu’à tout juste incorporés; ne pas trop mélanger.
Remplir à demi, les cavités de 8 gros moules à muffins préalablement beurrés, ajouter une cuillerée à thé de pesto au centre de chaque muffin, recouvrir les touches de pesto, du reste de la pâte.
Faire cuire au four sur la grille du centre, à 350° pendant 20 à 25 ou jusqu’à ce que le test du cure-dent réussisse.
*Donne 8 gros muffins
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