Fusilli en sauce à la crème aux têtes de violon, jambon et champignons


Peu de groupes rock sur la planète peuvent se vanter d’être unique en leur genre. Bien sûr de nos jours, la nostalgie et le recyclage d’idées en matière de musique, font en sorte que les groupes musicaux méritant cette description, sont forts rares. Mais le groupe finlandais Apocalyptica lui, la mérite. Tout à fait originaux dans leur genre, ces musiciens de formation classique, marchants d’une sonorité « métal » grinçante se voient attribuer une place complètement étrangère à tout ce que l’histoire de la musique à connu jusqu’à présent. Formé dans la années ’90, ce groupe de violoncellistes a choisi une voie totalement différente dès le début. Quelques années auparavant, ces étudiants de la Sibelius Academy of Helsinki, se spécialisaient dans un nombre de styles déjà bien particulier, de Bach à Hendrix. Mais Eicca Toppinen et ses trois amis, caressaient déjà un rêve bien plus « bruyant ». Tous fanatiques de musique « métal », ils décidèrent de former leur propre groupe. Toppinen composait alors, de singuliers arrangements musicaux de pièces déjà connues tels que celles de Metallica, de Slayer ou de Rammstein. Le groupe connait dès lors un grand succès dans les bals étudiants de fin d’année. La demande de leurs prestations devenant de plus en plus forte, ils se lancèrent dans leur première aventure : un vrai concert dans un club « métal ». Tapi dans l’audience de cette prestation bientôt devenue légendaire, Kari Hynninen de Zen Garden Records, fut subjugué par l’interprétation ingénieuse des divers hymnes métal au menu, et leur offrit aussitôt le contrat qui allait mener Apocalyptica à la sortie de leur premier album : Plays Metallica by Four Cellos. En 1996, Apocalyptica fait la première partie de la tournée de Metallica. Inspirés par leur soudain et surprenant succès, le groupe passe le reste des années ’90 à flotter sur une vague de créativité, se forgeant ainsi une formidable réputation de concertistes tout à fait étonnants. En 2000, ils décident enfin de s’éloigner des versions « repensées » en produisant un album original, ce qui lança les membres du groupes dans un tout nouveau et différent genre, à leur image. Maintenant indépendant de tout, Apocalyptica est déterminé à s’établir en tant qu’une puissante et créatrice force musicale.


  • 1 petit oignon émincé
  • 2 t. champignons tranchés
  • 2 grosses gousses d’ail pressées
  • 2 c. à table beurre
  • ½ t. vin blanc
  • ¾ t. crème 15%
  • 3 fines tranches de jambon fumé coupées en morceaux
  • 1½ t. têtes de violon blanchies
  • Sel et poivre au goût
  • Fusilli (ou autres pâtes au choix)
  • Parmesan
Faire cuire les pâtes à grande eau salée jusqu’à al dente, égoutter, réserver.

Dans un grand poêlon, faire chauffer le beurre sur un feu modéré et faire revenir l’oignon quelques minutes ou jusqu’à tendre.

Ajouter les champignons et l’ail et continuer la cuisson jusqu’à ce que les champignons aient rendu leur eau.
Déglacer le poêlon au vin blanc et laisser réduire presque jusqu’à sec.

Ajouter la crème lentement et laisser mijoter 3 à 4 minutes.

Ajouter le jambon et les têtes de violon, laisser réchauffer en remuant à quelques reprises.

Servir le tout sur les pâtes, parsemer de Parmesan.



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Glace à la pêche caramélisée


Les sept péchés capitaux qui sont aussi connus sous le nom de “vices capitaux” ou de « péchés cardinaux », sont une classification de péchés qui étaient à l’origine utilisée par les enseignements chrétiens dans le but d’éclairer et d’instruire les fidèles sur la morale et la tendance de l’Homme à pécher. L’Église catholique romaine divise les péchés en deux catégories : les péchés capitaux qui sont les plus graves et les péchés véniels qui sont mineurs, habituellement entraînés par les péchés capitaux, et qui peuvent être pardonnés par n’importe quel sacrement. Les péchés mortels selon le christianisme, réduisent la grâce à néant et créent une menace de damnation éternelle pardonnable qu’à travers le sacrement de la confession. Mais nulle part dans la bible fait-on mention des péchés capitaux; on peut par contre trouver dans « l’Épître aux Galates » du nouveau testament, certaines listes de vertus pouvant faire contraste à une incertaine liste des péchés capitaux. Le concept aujourd’hui connu comme étant les « sept péchés capitaux » est relié aux travaux d’Evagre le Pontique, un moine du 4e siècle qui fit la liste de huit pensées malfaisantes : la gourmandise, l’impureté, l’avarice, la mélancolie, la colère, la paresse, la vaine gloire et l’orgueil. La liste aujourd’hui écourtée à sept péchés, fut citée par Saint-Thomas d’Aquin: la gourmandise, la luxure, la colère, la paresse, l’orgueil, l’avarice et l’envie. Pour équilibrer cette liste, il existe aussi sept vertus qui ne correspondent par pour autant à l’inverse des péchés capitaux; les vertus dites « cardinales » que sont la justice, la prudence, la tempérance et le courage, viennent compléter les vertus dites « théologales » ou d’origine divine, que sont la foi, l’espérance et la charité. Au début des années 2000, certains articles de presse ont laissé croire que la liste des péchés capitaux devait être modifiée au printemps 2007, mais un cardinal interviewé à ce propos, affirmait qu’il ne s’agissait pas de corriger l’ancienne liste mais bien de moderniser celle-ci en y ajoutant quelques péchés sociaux : la pollution, la manipulation génétique, le trafic de drogue, les injustices économiques et sociales dont la pauvreté et la richesse excessive. Ce nouvel ajout de péchés sociaux ralluma bien des débats au sein de diverses communautés, surtout en réduisant l’ancienne liste de péchés capitaux à la comparaison moderne de ce qu’elle pouvait représenter de nos jours. Voici les donnés que certains lecteurs du «getreligion.org » ont cités à la plaisanterie :

A : Luxure
B : Gourmandise
C : Avarice
D : Paresse
E : Colère
F : Envie
G : Orgueil

AB : La consommation de petites culottes mangeables
AC : L’exercice de la prostitution
AD : La pratique des « p’tites vites »
AE : L’emportement de la violence conjugale
AF : Le secret de l’adultère
AG : L’exhibition de l’épouse-trophée
BC : Le vol du dernier beignet de la boîte
BD : La tentation à la grasse matinée
BE : La chute de la boulimie
BF : Le métabolisme rapide
BG : Les obèses en bikinis
CD : L’accession aux pyramides financières
CE : L’attaque à main armée
CF : Les victimes de la publicité
CG : Les statuts sociaux « mal placés »
DE : La pratique de l’agression passive
DF : La réception de la sécurité sociale
DG : Le flemmard
EF : La « bitcherie »
EG : La gloire de la boxe
FG : L’attribution de la seconde place
  • 2 t. crème 15%
  • 1 t. crème 35%
  • ½ t. confiture de pêche
  • Pincée de sel
  • 1 gousse de vanille raclée
  • 1 à 2 c. à thé liqueur de pêche (type Schnaps ou autres)
  • 6 à 8 pêches fraîches
  • 4 à 5 c. à table cassonade
Couper les pêches en deux et les dénoyauter.

Dans une jatte mélanger les pêches et la cassonade, bien mélanger pour complètement enduire les pêches de cassonade, déposer les pêches côtés coupés vers le bas, dans un plat allant au four.

Faire cuire au four à 400° pendant environ 30 minutes ou jusqu’à bien caramélisé.

Peler les pêches caramélisées et les couper grossièrement en morceaux, réserver.

Dans une casserole à fond épais, faire chauffer les 6 premiers ingrédients sur un feu modéré, jusqu’à 170°.

Laisser tiédir à température ambiante et réfrigérer environ 2H ou jusqu’à totalement froid.

Transférer le mélange de crème dans la sorbetière et turbiner en suivant les indications du manufacturier.

Incorporer les morceaux de pêches à la glace, 5 minutes avant la fin du turbinage.

Transférer la glace dans un contenant hermétique et mettre au congélateur jusqu’à bien ferme.

Laisser ramollir à température ambiante, environ 10 minutes avant de servir.

Source : Alton Brown - Good Eats


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Galettes aux oignons


Instaurée en tant que ville en 1837, après avoir été fondée en 1833, Chicago se situe entre les Grands Lacs et le Mississippi; son réseau de transport fluvial, lui valu de rapidement devenir une plaque tournante de l’économie mondiale. Depuis le Chicago World Fair en 1893, elle est perçue comme une des plus influentes villes du monde. Parmi les domaines qui l’ont propulsée au sommet, on compte la physique, l’architecture et l’économie. Aujourd’hui, Chicago peut se vanter d’offrir un large éventail de diversités culturelles, de grands noms du sports tels que les Bears, les Blackhawks, les Cubs et les White Sox, un important district financier ancré au Chicago Mercantile Exchange, les commerces du Magnificent Mile et un district théâtral fleurissant. Mais il y a longtemps, au moment de la colonisation américaine, Chicago n’était qu’un immense champ d’oignons. À cette époque, les indiens Miami et Illinois vivaient dans la région et avaient d’ailleurs nommé l’endroit « Shikaakwa », qui signifie « oignon sauvage ». Étymologiquement, le mot « shikaakwa » en Miami-Illinois signifiait littéralement « moufette » qui se voulait une référence à la forte odeur qui devait y régner! Ce nom fut à l’origine donné à la rivière qui traverse Chicago et ce n’est que plus tard, qu’on en identifia aussi la ville. En fait, le nom « Chicago » serait le résultat d’une erreur de Louis Hennepin, un prêtre français, missionnaire et explorateur, qui en 1683 aurait été le premier à situer Chicago sur une carte.


Lac Michigan, Chicago, IL. É.U.
  • 2 c. à thé huile d’olive
  • 3 petits oignons finement émincés
  • 1 gousse d’ail pressée
  • ½ c. à thé gingembre frais râpé
  • 1½ t. farine
  • 1 c. à thé sel
  • 1 t. eau bouillante
  • 3 c. à thé coriandre fraîche finement hachée
  • Huile végétale pour la friture
Dans un poêlon, faire chauffer l’huile à feu moyen-doux et y faire revenir les oignons, l’ail et le gingembre pendant environ 3 minutes ou jusqu’à tendres.

Dans une jatte, mélanger la farine et le sel, ajouter le contenu du poêlon et la coriandre, bien mélanger.

Peu à peu, ajouter l’eau bouillante en mélangeant, jusqu’à l’obtention d’une pâte souple.

Fariner vos mains et pétrir la pâte environ 2 minutes ou jusqu’à ce qu’elle soit lisse.

Couvrir la pâte d’une pellicule plastique et la laisser reposer 30 minutes.

Pincer des morceaux de la pâte, de la taille d’une noix et les façonner en forme de petites galettes ovales.

Faire chauffer 2 cm d’huile végétale dans un poêlon et lorsqu’elle frémit, y plonger les galettes 2 ou 3 à la fois, pendant 20 à 30 secondes de chaque côtés ou jusqu’à ce qu’elles soient croustillantes et dorées.

Égoutter sur un papier absorbant et garder au chaud jusqu’au service.

Source : Apéro - Collectif Marabout


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Burgers mexicains


Chico Fernandez sleepin' on his gun
dreams of Santa Anna fightin' in the Sun
drums so loud from all sides
makes it hard to dream
a'blue is fallin' hard and fast
makes it all seem real

mornin' come mornin'
Chico gotta have his share
mornin' sad morning'
said he must be there
mornin' sad mornin'
well I laughed and I cried
and I cry cry cry cry cried

mornin' sad mornin'
Mexican

Signorita's pinin'
Chico come on home
Santa Ana's losin'
n' you'll be first to go
Sam Houstan's laughin'
and Davey Crockett too
when Ana takes the Alamo
the first to go is you

mornin' come Mornin'
a chico gotta have his share
mornin' sad mornin'
heaven will be there.

mornin' sad mornin'
well I laughed and I laughed
Ha ha ha ha ha


Babe RUTH - "The mexican" de l'album EMI "Grand Slam" / 1972
Paroles Alan SHACKLOCK
Video "Samuraï Jack"
  • ¾ lb porc haché maigre
  • ¾ t. haricots mélangés en boîte égouttés légèrement écrasés (rouges, blancs, pois chiches ou autres au choix)
  • ½ t. fromage Cheddar finement râpé
  • 2 tranches bacon hachées
  • 1 œuf
  • ½ t. chapelure nature
  • 4 c. à table combles salsa mexicaine
  • 1 oignon vert finement haché
  • 1 c. à thé poudre de cumin
  • 1 c. à thé poudre d’ail
  • Sel et poivre au goût
  • Beurre ou huile (pour la cuisson)
  • 4 pains à burgers
  • Garnitures au choix (mayonnaise, salsa, tomates, laitue, oignons, cornichons, etc.)
Dans une grande jatte, mélanger tous les ingrédients et façonner 4 galettes bien compactes avec les mains.

Dans un grand poêlon, faire chauffer le beurre ou l’huile sur un feu modéré et y faire cuire les galettes, environ 7 minutes de chaque côté ou jusqu’à ce que la viande perde sa couleur rosée à l’intérieur.

Déposer les galettes sur la base des pains à burgers et garnir au goût.


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"Cobbler" aux mûres et framboises





Recette proposée par Beth de Our Sweet Life

dans le cadre de ma quatorzième participation aux TWD

D’après la bible, le temple de Salomon fut bâtit au 10e siècle av. J.-C. sur l’Esplanade des mosquées à Jérusalem. Mais en 586 av. J.-C. ce même temple fut détruit par les Babyloniens. Un second temple fut érigé en 516 av. J.-C.; quelques 500 ans plus tard, le roi Hérode le Grand entreprit un immense projet de développement pour agrandir le temple à sa gloire. Pour ce faire, on dut artificiellement élargir son lieu de fondation, en une très grande plateforme et ces travaux d’une ampleur colossale, se terminèrent bien après sa mort. Ce temple où Jésus priait et répandait la parole de son père, fut à nouveau détruit pendant la première guerre judéo-romaine en 70 de notre ère, 7 ans seulement, après la fin de l’expansion du temple. Tout ce qui reste du temple aujourd’hui, est son mur occidental, celui qu’on appelle « le mur des lamentations », aussi appelé Kotel (prononcé « Kosel » par les juifs ashkénases). Il serait apparemment celui qui délimitait le côté ouest de la plaza sur laquelle se tenait le temple du roi Hérode et acquit le nom de « mur des lamentations » parce que durant le long exil du peuple juif, celui-ci n’obtenait la permission d’aller y prier qu’une seule fois par année, en mémoire de la destruction du temple. Selon Josephus, un historien juif du 1er siècle, les romains auraient laissé intacts ce mur et la plupart des hautes tours de la ville, dans le but de rappeler à la postérité quelle genre de ville Jérusalem était, témoignant ainsi de la force des romains face à une ville si bien fortifiée. Dans la religion judaïque, selon la Torah, ce mur occidental est vénérable et considéré comme étant l’unique vestige du Temple de Jérusalem, celui qui fut à l’origine bâti par le roi David pour protéger l’arche d’alliance. Il est d’ailleurs le lieu de pèlerinage le plus sacré, auquel les Juifs ont permission d’accéder. Dans le Midrash, on peut lire que Dieu a promis aux Juifs que le mur occidental du temple ne serait jamais détruit. Une tradition juive veut d’ailleurs que lorsque l’eau coulera entre les pierres du mur, ce sera-là le signe de l’arrivée prochaine du Messie. Mais encore aujourd’hui, les visiteurs du mur enfouissent des bouts de papiers sur lesquels des prières sont inscrites, entre les pierres du mur, ce qui créer de grands débats au sein du peuple juif. Certains croient qu’il est blasphématoire de mettre ses doigts dans les fissures du mur, affirmant que l’épaisseur du mur constitue une partie sacrée du Temple de Jérusalem. À travers les âges, le mur occidental est l’endroit où les Juifs se sont rassemblés pour exprimer leur gratitude envers Dieu ou pour prier pour la divine miséricorde. Le 6 juin 1944, à la réception des nouvelles de l’opération Neptune du débarquement de Normandie, des milliers de Juifs se rassemblèrent devant le mur, priant pour la victoire des forces alliées et la libération du territoire occupé par l’ennemi.

Prières insérées entre les pierres du mur des lamentations

Croûte
  • 2 t. farine
  • 1 c. à table poudre à pâte
  • 3 c. à table sucre
  • Pincée de sel
  • 6 c. à table beurre froid coupé en petits cubes
  • ¾ t. crème 35% froide
Garniture
  • 5 t. mûres et framboises mélangées fraîches ou congelées (ou autres petits fruits, mais éviter les fraises qui rendent trop d’eau)
  • 5 c. à table sucre
  • 1 c. à table fécule de maïs
  • Zeste d’un demi citron (ou d'une lime)
  • Glace à la vanille en accompagnement (facultatif)

Pour la croûte

Dans une grande jatte, mélanger la farine, la poudre à pâte, le sucre et le sel.

Ajouter le beurre et à l’aide d’un coupe-pâte, défaire le beurre jusqu’à l’obtention d’un texture granuleuse.

Ajouter la crème et bien mélanger jusqu’à ce que le tout donne une pâte molle et collante (ne pas trop manier la pâte pour éviter qu’elle ne durcisse en cuisant).

Transférer la pâte sur un papier ciré, recouvrir d’une seconde feuille de papier ciré et rouler la pâte jusqu’à l’obtention d’un disque d’environ 9" de diamètre.

Idéalement, réfrigérer la pâte bien couverte pendant 6H, sinon la pâte est aussi prête à l’emploi.

Pour la garniture

Dans une jatte, mélanger tous les ingrédients.

Verser le tout dans un plat de 9" de diamètre allant au four et préalablement beurré.

Recouvrir les fruits de la pâte en pressant légèrement, percer un trou au centre de la pâte.

Déposer le plat sur une plaque de cuisson recouverte de papier parchemin ou d’un Silpat.

Cuire au four sur la grille du centre, à 375° pendant 60 à 75 minutes.

Laisser tiédir au moins 30 minutes avant de servir, ce qui donnera le temps au sirop d’épaissir.

*Si possible, ne pas conserver le cobbler au frigo; la croûte perdra sa belle texture.

Source : Dorie Greenspan - Baking, From My Home to Yours


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Tartelettes aux cerises et Mascarpone, parfumées au Cherry Brandy


Lorsque George Washington avait 6 ans, on lui présenta une petite hachette dont il était bien heureux de devenir le propriétaire. Dès lors, il entreprit de couper à peu près tout ce qui se trouva sur son chemin. Un jour, alors qu’il se baladait au jardin et s’amusait à couper les tuteurs des plants de pois de sa mère, l’idée lui vint de couper le superbe cerisier dont son père était si fier. Il se mis à frotter la lame de sa hachette sur l’écorce de l’arbre et sans vraiment se rendre compte de l’ampleur de son geste, en dénuda complètement le tronc; celui-ci mourut peu de temps après. Son père découvrit avec stupeur le sort réservé à son malheureux cerisier, complètement meurtri. Très fâché, il couru à la maison pour chercher à savoir qui aurait pu faire une telle chose. À ce moment, le petit George entra dans la pièce, hachette à la main. « George, lui demanda son père, sais-tu qui a tué mon cerisier préféré? ». George resta bouche bée pour un moment, puis se recomposant, dit à son père : « Je ne puis mentir, père, vous savez que je ne puis mentir, c’est moi qui l’ai coupé avec ma petite hachette! ». La colère de son père s’estompa, il prit son fils sur ses genoux et ajouta : « Mon fils, que tu n’aies pas peur de me dire la vérité compte pour bien plus pour moi que cent cerisiers, même si ceux-ci fleurissaient des pétales d’argent et portaient des feuilles d’or! ».

Cette histoire de George Washington et le cerisier, en est une qui persiste encore aujourd’hui à travers les livres d'écoles américains. Mais celle-ci fut de toute pièce inventée par Mason Locke Weems, pour les bienfaits d’une biographie de George Washington qui parut tout juste après la mort du président. Saturée de contes et parsemée de fabulations décrivant l’honnêteté et la bienveillance de George Washington, cette biographie se voulait une version embellie des vertus et exploits qui auraient contribué à façonner l’image de ce héro. Weems se serait évertué à créer un personnage afin de rendre plus humain celui que l’on avait à l’époque, dépeint comme une personne froide et sans couleur.



Croûte
  • 1½ t. farine
  • ½ t. sucre à glacer
  • Pincée de sel
  • 9 c. à table beurre froid coupé en petits cubes
  • 1 gros jaune d’œuf
Garniture
  • 3 t. cerises dénoyautées
  • Jus et zeste d’une orange
  • 2 c. à thé Cherry Brandy
  • 2 c. à table sucre
  • 1½ t. Mascarpone
  • 1 t. crème 35%
  • 1 c. à thé vanille
  • Cerises fraîches
Pour la croûte

Dans une jatte, mélanger la farine, le sucre à glacer et le sel.

Ajouter le beurre à l’aide d’un coupe-pâte (ou de deux couteaux), jusqu’à l’obtention d’une pâte granuleuse.

Incorporer le jaune d’œuf et bien mélanger.

Transférer la pâte également dans 4 moules à tartelettes à fond amovibles, avec les doigts, légèrement presser la pâte uniformément dans le fond et sur les côtés des moules.

Mettre les croûtes au congélateur au moins 30 minutes avant de faire cuire.

Avant de mettre au four, tapisser les croûtes de papier d’aluminium beurré (côté beurré contre les croûtes).

Cuire au four sur la grille du centre, à 375° pendant 20 minutes.

Laisser complètement refroidir les croûtes avant de démouler.

Pour la garniture

Dans une petite casserole, porter à ébullition les cerises, le Cherry Brandy, le jus et le zeste d’orange, aux premiers bouillons, baisser le feu à doux et laisser compoter environ 30 minutes.

Écraser les fruits à l’aide d’une fourchette afin d’obtenir une texture à peine plus épaisse que celle d’une confiture, laisser tiédir.

Incorporer le Mascarpone à la compote de cerises, réserver.

Fouetter la crème et la vanille jusqu’à ferme.

Ajouter 4 à 5 c. à table combles de crème fouettée à la garniture de Mascarpone aux cerises, bien mélanger.

Remplir les croûtes de l’appareil ainsi obtenu et garnir le dessus des tartelettes du reste de la crème fouettée et de cerises fraîches.

* Croûte : Baking, From My Home to Yours - Dorie Greenspan


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Religieuses à la menthe glacées au chocolat


Recette suggérée par Caroline de A Consuming Passion
dans le cadre de ma treizième participation aux TWD
Dans la mythologie grecque, les Naïades sont les nymphes qui présidaient sur les fontaines, les puits, les sources, les cascades et les ruisseaux. D’ailleurs le terme « naïade » vient du grec « couler » et « eau courante ». Les Naïades sont distinctes des différents dieux et déesses des rivières, qui eux personnifient les très anciens esprits habitants les eaux dormantes des marais, des étangs et des lagons. Mintho, une Naïade d’une extraordinaire beauté, associée à la rivière Cocyte, devint l’amante illicite du dieu de l’enfer, Hadès, aussi connu sous le nom de Pluton, dans la mythologie romaine. Déméter, mère de Perséphone, épouse légitime de Hadès, découvrit leur manège et en rendit compte à sa fille. Dans un élan de colère innommable, Perséphone battit Mintho si fort et si longtemps que celle-ci se désintégra. Des cendres de Mintho jaillirent les pousses d’une plante verte que Hadès pleura longtemps, incapable de ne changer quoique ce soit à la métamorphose de sa bien-aimée. Hadès fit donc en sorte que la plante verte qu’était devenue Mintho, en soit une au doux parfum et au goût rafraîchissant. Ne pouvant plus rien à la beauté perdue de Mintho, Hadès se consola en sachant qu’elle resterait ainsi éternellement convoitée des Hommes.

Hylas et les nymphes, John William WATERHOUSE - 1896

Aujourd’hui, on sait que la menthe était utilisée dans l’exercice des rites funéraires de la Grèce Antique. Son utilisation ne palliait pas seulement à l’odeur de la décomposition, mais entrait aussi dans la fabrication d’un breuvage fermenté appelé Kykeon, essentiel à la préparation enthéogène des participants au mystère éleusinien qui donnait l’espoir aux initiés de rejoindre l’au-delà.

Mais la menthe serait originaire de l’Asie mineure; les Babyloniens la distillaient plus de 500 ans av. J.-C. pour un faire un concentré digestif. Les Hébreux en ont fait un parfum, d’où les reproches de Jésus adressés aux scribes et pharisiens qui dépensaient sans compter pour s’en procurer en négligeant la justice et la miséricorde (Matthieu 23:23).

Pline l’Ancien suggérait aux étudiants de ceindre leur tête d’une couronne de menthe tressée, supposément parce qu’elle éveillait les sens; des études scientifiques attestent aujourd’hui, qu’il avait raison.

Pline l'Ancien
Pâte à choux
  • ½ t. eau
  • ½ t. lait
  • ½ t. beurre
  • 1 c. à table sucre
  • Pincée de sel
  • 1 t. farine
  • 4 gros œufs
Garniture
  • 1⅓ t. crème 35%
  • 40 feuilles de menthe fraîche
  • ½ t. crème sure
  • 6 c. à table sucre
  • ¼ c. à thé extrait de menthe (facultatif)
Glace
  • 2 oz, chocolat mi-sucré haché
  • 1 c. à table crème 35%
  • 2 c. à thé sirop de maïs
  • 3 c. à table amandes effilées grillées
  • Quelques feuilles de menthe fraîches supplémentaires
Pour les choux

Préparer une plaque de cuisson tapissée de papier parchemin, réserver.

Dans une casserole à fond épais, porter les 5 premiers ingrédients à ébullition, sur un feu moyen-fort.

Ajouter la farine en une seule fois, baisser le feu à moyen-doux et mélanger vigoureusement à l’aide d’une cuillère de bois, jusqu’à ce que la pâte devienne une masse lisse.

Continuer la cuisson jusqu’à ce que la pâte ne colle plus aux parois de la casserole, environ 2 minutes.

Hors du feu, ajouter 3 œufs, un à la fois en battant au mélangeur électrique, après chaque addition (chaque œuf doit être complètement incorporé avant d’ajouter le suivant).

Battre le dernier oeuf dans un petit bol, l’ajouter à la pâte petit à petit en battant toujours, afin d’obtenir une pâte épaisse, luisante et soyeuse.

Si désiré, transférer la pâte dans une poche à douille afin de former environ 12 gros choux et 12 petits choux, en les espaçant d’environ 2" sur la plaque de cuisson réservée; sinon, former la même quantité de choux à la cuillère (12 gros et 12 petits).

Faire cuire au four sur la grille du centre, à 425° pendant 15 minutes, baisser la température à 375° et continuer la cuisson pendant 15 minutes supplémentaires, éteindre le four et laisser les choux à l'intérieur (sans entrouvrir la porte) pour 5 minutes encore.

Découper des calottes à tous les choux et laisser complètement refroidir.

Délicatement vider la base des 24 choux avec les doigts, réserver.

Pour la garniture

Dans une casserole, porter 1⅓ t. de crème et 40 feuilles de menthe à ébullition.

Hors feu, couvrir et laisser infuser pendant 1H.

Ajouter assez de crème restante pour obtenir 1⅓ t. de crème au total,.

Réfrigérer au moins 3H, passer au chinois.

À l’aide d’un mélangeur électrique, battre la crème sure et 2 c. à table de sucre jusqu’à lisse et épais.

Toujours au mélangeur électrique, battre la crème mentholée et le reste du sucre jusqu’à ferme.

Délicatement plier le mélange de crème sure dans la crème mentholée.

Si désiré, ajouter l’extrait de menthe pour un goût plus prononcé; transférer l’appareil dans une poche à douille.

Placer la base des choux sur une assiette de service, les remplir de crème à la menthe.

Replacer la calotte de chacun des choux et réfrigérer pendant la préparation de la glace au chocolat.

Pour la glace

Dans la partie supérieure d’un bain-marie, mélanger le chocolat, la crème et le sirop de maïs et mélanger jusqu’à le chocolat soit fondu et bien lisse.

À l’aide d’une spatule à glacer, couvrir le dessus des gros choux de glace et les chapeauter des plus petits pendant que la glace est encore tiède; glacer les petits choux et parsemer le tout des amandes grillées.

Décorer de feuilles de menthe fraîche.

Source: Baking, From My Home to Yours - Dorie Greenspan - déclinaison


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Pizza hawaïenne à croûte mince et sans levée


L’idée d’utiliser un pain plat en guise d’assiette, est venue des Grecs qui le mangeaient accompagné de différentes garnitures. La façon dont ce pain plat traversa le temps pour devenir pizza, s’expliquerait comme suit... En 1889, la reine Marguerite de Savoie qui accompagnait son époux, le roi d'Italie Umberto 1er, pour une inspection de son royaume, avait remarqué que les paysans italiens mangeaient un curieux pain plat qu’ils appelaient « pizza ». Aussitôt revenue à Naples, la reine somma ses cuisiniers et leurs ordonna de lui apporter ce pain en question, pour qu’elle puisse le goûter. Malgré le fait qu’il eut été de très mauvais goût de manger ce pain de paysan à la cour, la reine l’apprécia tellement, qu’elle en redemandait chaque fois qu’elle sortait de son palais. Un jour, elle demanda avec insistance que Raffaele Esposito soit conduit de sa boulangerie jusqu’au palais afin de lui préparer de nouveaux genres de pizzas. Raffaele pour honorer la reine, décida de lui préparer une pizza aux couleurs de l’Italie : sauce tomate pour le rouge, Mozzarella pour le blanc et basilic pour le vert, et la pizza fut un succès. Lorsque la nouvelle circula dans le royaume, que la pizza favorite de la reine était composée de tomates, Mozzarella et basilic, la mode de la « Pizza Marguerite » fut lancée. Depuis, la pizza connait des déclinaisons qui n'ont de limites que l'imagination de leur créateur.


Croûte
  • 1 sachet de levure sèche active
  • ¼ c. à thé sucre
  • ¾ t. eau à 110°F
  • 1¾ t. farine
  • ½ c. à thé sel
Garnitures
  • Sauce tomate épicée au goût
  • Ananas en morceaux bien égouttés
  • Jambon cuit en morceaux
  • Champignons tranchés
  • Fromage Gruyère et Emmental râpés (ou toutes autres garnitures au choix, selon le type de pizza désirée)
Dans un grand verre, dissoudre la levure et le sucre dans l’eau chaude, laisser reposer 8 minutes.

Dans une jatte, mélanger la farine et le sel.

Verser le mélange de levure sur la farine et bien incorporer à l’aide d’une cuillère de bois.

Retourner la pâte sur une surface de travail propre, pétrir pendant 2 minutes.

Avec les doigts, étirer la pâte jusqu'à l'obtention d'un disque d'environ 12 à 14'' de diamètre, déposer le disque sur une plaque à pizza.

Recouvrir de sauce et des autres ingrédients au choix.

Cuire au four sur la grille du centre, à 500° pendant environ 10 à 15 minutes ou jusqu’à ce que la croûte soit dorée au goût.


Source : Robbie’s recipe collection


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Amandine à la poire


Sous la loupe de la psychologie féminine, il n’existe aucune femme plus étrange et complexe que la très douée auteure française Amandine Lucille Aurore Dupin, mieux connue sous le nom de George Sand. Analyser une telle femme simplement dans son écriture serait une longue et très difficile tâche vu la quantité volumineuse de ses écrits, sa composition fluide et aisée qui scandalisait ses pairs à l’époque et qui ont fait d’elle l’émule de Victor Hugo. Elle aurait même possiblement pu défier celui-ci, puisque Hugo décrivait d’étranges et monstrueuses figures, exagérées par-delà leurs limites, alors que Sand quant à elle, relevait le portrait d’instinct de désirs d’hommes et de femmes, qu’elle-même connaissait précisément et qu’elle nous faisait intimement rencontrer. Mais George Sand intriguait par sa particularité d’être une personne difficile à concilier. Elle semblait n’avoir aucun sens de la chasteté et pourtant, elle ne semblait pas non plus être grossièrement sensuelle. Elle était très maternelle et préférait jouer la mère plutôt que l’amante avec les hommes qu’elle fréquentait. D’ailleurs elle a plutôt cherché franchement et directement l’amour des hommes, seulement pour s'en lasser assez rapidement et dans la plupart des cas, pour la conquête plutôt que pour la passion. Elle était spirituelle, imaginative et plus amicale qu’intime. La dernière et d’ailleurs la plus grande crise émotionnelle de la vie de George Sand fut celle de sa relation de huit ans avec Frédéric Chopin. Chopin fut le plus grand génie qui l’ait aimée. Et c’est d’ailleurs assez particulier qu’il l’ait tant aimé puisqu’on dit qu’ils se seraient rencontrés bien avant leur idylle, sans jamais ne chercher à se revoir; George Sand aurait embrassé Chopin avant même qu’ils n’aient été présentés l’un à l’autre, et aurait par la suite attendu deux ans et trois amants, pour le revoir. Enfin, elle et Chopin se revirent et tombèrent très amoureux. Mais en 1847, les deux se séparèrent mystérieusement avec pour seule explication ce que Chopin dit de Sand : « Je n’ai jamais maudit personne, mais je suis tellement excédé par la vie que j’en arrive presque à la maudire; pourtant, elle souffre aussi et plus encore parce que sa méchanceté la fait vieillir ».
  • 1 poire parée non pelée
  • ½ t. jus de pêche
  • 1 boule de yogourt glacé nature (ou à la vanille)
  • 1 c. à table comble pâte d’amandes (ou garniture de tarte aux amandes)
  • Glace pilée (facultatif)
Mettre tous les ingrédients dans le contenant du blender, sauf la glace pilée.

Pulvériser le tout au moins 30 secondes ou jusqu’à bien lisse.

Verser dans une verre à demi rempli de glace pilée, si désiré.

Servir aussitôt.

Source : La bible des smoothies – déclinaison


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Blues à l’érable


Il existe peu de caractéristiques communes à toutes les airs de blues parce que ce genre de composition prend forme dans l’idiosyncrasie des diverses performances musicales individuelles. Il existe par contre, certaines caractéristiques qui y étaient présentes bien avant la création du blues moderne. Une forme primitive du genre blues consistait en des cris auxquels les participants répondaient, des chants à répondre en quelque sorte. Cette forme de pré-blues était chantée par les esclaves dans les champs et étendue à des chants solitaires chargés d’émotions. Le blues tel qu’on le connait aujourd’hui, peut être considéré comme un style musical basé sur la structure harmonique européenne et la tradition des chants à répondre africaine, qui se transforment ensemble en une interaction de voix et de guitare. Mais quoiqu’il en soit, le « blues » fait référence à l'expression anglophone « blue devils » - démons bleus en français, qui signifiait « être triste et déprimé » qu’on peut traduire aujourd’hui en français par « avoir les bleus ». Une vieille référence de « blues », peut être retrouvée dans la farce théâtrale de George Colman : Blue Devils de 1798. Plus tard au courant du 19e siècle, l’expression était utilisée tel un euphémisme faisant référence au delirium tremens, cet état d’agitation extrême, de tremblements et de fièvre rencontré lors du sevrage de l’alcoolisme. Le terme « blues » faisait aussi à cette époque, référence à la police, toujours de bleu vêtue. Et même si on utilisait cette expression bien longtemps avant, pour définir cette musique afro-américaine, elle ne fut attestée qu’en 1912 alors que « Dallas Blues » de Hart Wand devint la première composition blues aux droits réservés et celle-ci figure à présent, régulièrement dans les paroles des chansons blues, pour justement décrire cet état de déprime.
  • 1 banane
  • ½ t. bleuets frais (ou congelés)
  • ¼ t. lait
  • 2 c. à table sirop d’érable
  • 1 boule de yogourt glacé nature (ou à la vanille)
  • Glace pilée
Mettre tous les ingrédients dans le contenant du blender, sauf la glace pilée.

Pulvériser pendant au moins 30 secondes ou jusqu’à bien lisse.

Verser dans un verre préalablement rempli à demi de glace pilée et servir aussitôt.

Source : La bible des Smoothies



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Vin chaud épicé


Appelé Ypocras, Ipocras ou Hipocras au Moyen-Âge, le vin chaud épicé reste un mystère quand à sa réelle origine. Durant cette période, les différentes recettes contenants de l’alcool appartenaient principalement aux médecins ou aux apothicaires qui étaient les seuls à posséder des alambics. Malgré tout, les gens aimaient beaucoup les vins épicés, avant et surtout après les repas, comme ceux-ci favorisaient la digestion. Les Romains étaient familiers avec la tradition des vins épicés; dans le livre XIV de Pline l’Ancient, on parlait de vins aromatiques préparés presqu'à la façon de parfums. Aux alentours de 1182, Chrétien de Troyes créa son héro Perceval, qui buvait un vin chaud épicé appelé « pimen » du Catalan « pigmentum » - arôme ou épice, comme pendant la fameuse scène de la présentation du Saint Graal. En 1250 Henri III, roi d’Angleterre, dépêcha Robert de Montpellier pour qu’il vienne lui préparer un « giroflé » ou « claré », pour le les temps des Fêtes de fin d’année qui approchaient. On a retrouvé les premières recettes de vins chauds dans le Tractatus de Modo, un manuscrit de recettes écrit en Latin au 1e siècle. Jadis, si le mot « claré » était utilisé en relation avec des recettes précises, le terme « pimen » semble s’être perdu et ne plus être utilisé aux dépends de « hipocras ». Hippocrate, le très connu médecin grec est appelé Hipocras en Catalan moderne et Ipocras en Catalan médiéval. Arnau de Vilanova mentionna par écrit Ipocras, le médecin, et nomma aussi une recette de pimen en son honneur. On pourrait croire que le mot pimen disparu pour faire place à « ipocras », faisant ainsi référence à Hippocrate et confirmant aussi l’orientation diététique du vin chaud que l’on croyait être très salutaire. En effet, le vin qui était à l’époque bien plus salubre que l’eau, gardait les gens en santé pendant les froids hivers.
  • 1 ½ t. vin rouge (peu cher)
  • 2 c. à table jus de citron frais
  • 10 clous de girofle
  • ½ c. à thé cannelle
  • 4 c. à thé sucre
  • Tranches de citron (facultatif)
Mettre tous les ingrédients dans une petite casserole et faire frémir à feu moyen-doux pendant une vingtaine de minutes.

Passer au chinois et servir bien chaud avec une tranche de citron.


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Smoothie aux petits fruits et à l'érable


Man, it's a hot one
Like seven inches from the midday sun
Well, I hear you whisper
And the words melt everyone
But you stay so cool
My Muñequita
My Spanish Harlem Mona Lisa
You're my reason for reason
The step in my groove
And if you said.

This life ain't good enough
I would give my world to lift you up
I could change my life to better suit your mood
Cause you're so smooth.

And it's just like the ocean
Under the moon
Well, that's the same the emotion
That I get from you
You got the kind of loving
That could be so smooth
Give me your heart
Make it real
Or else forget about it

I'll tell you one thing
Well, if you would leave
It'd be a crying shame
In every breath and every word
I hear your name calling me out
Out from the barrio
You hear my rhythm on your radio
And you feel the turning of
The world so soft and slow
It's turning you' round and 'round
And if you said

Well, go forget about it....

Give me your heart, make it real, or else forget about it

Smooth, paroles et musique de Carlos SANTANA
  • 1 t. petits fruits au choix (frais ou décongelés et égouttés)
  • ½ banane
  • 1/3 t. yogourt nature de type kéfir
  • 3 c. à table sirop d’érable
Mettre tous les ingrédients dans le contenant du blender et pulvériser pendant 1 à 2 minutes.

Verser dans un grand verre et servir aussitôt.


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Crème irlandaise maison



Dans la mythologie irlandaise, un leprechaun - prononcé : lè-pré-cône, est en quelque sorte le pendant masculin de la fée. Le leprechaun appartient d’ailleurs au folklore des fées et est associé à chacune d’entre elle et donc, à Tuatha Dé Danann ainsi qu’aux autres personnages quasi-historiques qui auraient habité l’Irlande avant l’arrivée des Celtes. On dit que les leprechauns et autres créatures de la mythologie irlandaise sont responsables de forts et de cercle féeriques. On dit que ces forts et ces cercles féériques sont, soit d’étranges et inexplicables cercles ou arcs de champignons qui poussent naturellement en forêt, parfois jusqu’à 10m de diamètre, soit des ruines restantes de forts ou de promontoires qui dateraient d’entre la fin l’âge de fer et du début du Christianisme et qui sont souvent les sites d’anciennes ingénieries terrestres. Les leprechauns prennent souvent la forme de vieillards malicieux, parfois cordonniers, parfois savetiers; ils sont aussi reconnus comme étant riches, possédant plusieurs trésors qu’ils auraient cachés pendant d’anciennes guerres. Selon la légende, celui qui fixe un leprechaun, le garde prisonnier de son regard tant et aussi longtemps qu’il ne cligne pas des yeux, car il ne suffit que d’une milliseconde d’inattention pour le celui-ci ne disparaisse. Aussi, dans plusieurs histoires on dit que les leprechauns chevauchent les chiens de bergers pendant la nuit, les laissant exténués et complètement souillés le matin venu… alors qu’eux, nonchalants et bien à l’aise, se prélassent au pied d’arcs-en-ciel gardant jalousement leur marmite d’or!

  • 1 t. whisky de qualité
  • 1 t. crème 35%
  • 1 bte. lait condensé sucré
  • 3 œufs
  • 1 c. à table sirop de chocolat
Mettre tous les ingrédients dans le contenant du blender et pulvériser environ 2 minutes ou jusqu’à bien mélangé et mousseux.

Verser dans une bouteille stérilisée et mettre au frigo quelques heures.

Servir bien frais avec des glaçons.

Source : Drinksmixer


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Thé glacé express au citron


C’est au Missouri, plus spécifiquement à Saint-Louis, lors de la Foire Internationale de 1904 que Richard Blechyden inventa le thé glacé, simplement en ajoutant des glaçons au thé qu’il servait. Ce n’est que bien plus tard, en 1987 que Snapple révolutionna complètement le marché du thé glacé. Le marché du thé glacé prêt-à-boire en plein essor permit à Snapple de créer 14 nouvelles saveurs de thé glacé, au cours des 6 années suivantes.

Lady Astor, la première femme Ministre de la « House of Lords » britannique, apparement révoltée par l’attitude de Winston Churchill, lui déclara un jour : « Monsieur, si j’étais votre femme, je mettrais du poison dans votre thé! » Et Winston Churchill reconnu pour sa répartie cinglante, lui répondit : « Madame, si j’étais votre mari… je le boirais! »
  • 8 t. eau bouillante
  • 10 sachets de thé au choix
  • ½ t. sucre
  • 1 bte. limonade (citronnade) concentrée congelée
Déposer les sachets de thé dans un pichet et les couvrir de l’eau bouillante, laisser infuser environ 4 à 5 minutes.

Retirer les sachets de thé sans les presser pour éviter toute amertume.

Ajouter le sucre et la limonade concentrée congelée bien mélanger et mettre au frigo jusqu’au moment de servir.


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Smoothie au cantaloup


Stephen Kuhnau, le fondateur de “Smoothie King” aux É.U., affirme qu’il a inventé le “smoothie” à la fin des années ’60. Mais en est-il vraiment le créateur, alors que le mélangeur électrique Waring est arrivé sur les tablettes des commerces dès 1939? À ce moment même, les livres de recettes pour « blenders » se sont mises à pululer en Amérique du Nord; nous ouvrant dès lors la porte à toutes sortes de nouvelles concoctions telles que le « smoothee » selon Waring. Peu importe qui gagnera la bataille de cette création… rafraîchissant en été et nourrissant même en hiver, le smoothie est là pour rester.
  • ½ cataloup pelé vidé
  • 1 banane
  • 10 fraises équeutées
  • 1 petit pot de yogourt (saveur au choix)
  • 1 ½ t. jus d’orange
  • 2 c. à thé miel
Déposer tous les ingrédients dans la jarre d’un mélangeur électrique et mélanger jusqu’à consistance douce et mousseuse.

Servir bien frais.


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Lassi à la mangue


Peu de gens vénèrent la vache autant que les 900 millions d’adhérants de la religion hindoue. Depuis que la croyance a évolué aux abords du fleuve Indus, il y a 3000 ans, le respect pour cet animal n’a été que grandissant. Les traces du Seigneur Krishna, une des figures les plus importantes de l'Hindouisme, laisseraient croire qu’il serait apparu à ses fidèles en gardien de vache, il y a 5000 ans. Depuis, on le décrit comme bala-gopala ou « L’enfant qui protège les vaches », on le surnomme même par le saint nom de « Govinda » qui veut dire « Celui qui apporte la satisfaction aux vaches ». D’ailleurs plusieurs scripts de l’Hindouisme décrivent la vache comme la « mère » de toute civilisation, celle dont le lait nourrit les peuples. Bibek Debroys, un journaliste du India’s Financial Express, a écrit en 2003 que l’emblème national de l’Inde, le tigre, étant près de l’extinction, se verrait sûrement un jour remplacé par la vache, encore très présente et causant même de graves problèmes de circulation dans les grandes villes comme Delhi.

« Si on me demandait de décrire l’aspect extérieur le plus évident de l’Hindouisme, je suggérerais l’idée de protection de la vache »

Mahatma GANDHI
  • 4 t. nectar de mangue (ou purée de mangue)
  • 2 t. yogourt nature
  • 3 c. à table sucre
  • 1 c. à thé eau de rose
  • 1 c. à thé cardamome en poudre
Passer tous les ingrédients ensemble au blender, jusqu’à ce que le tout soit bien mousseux.

Servir avec des pailles, dans de grands verres à demi remplis de glace pilée.


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Liqueur de banane

Photo à venir...

L'invention de l'alambic est attribuée aux arabes, aux alentours du Xe siècle. Ainsi Abu Al-Qasim, un des plus grands chirurgiens arabes, passe pour en être l'inventeur. Mais le principe existait déjà bien avant, et les grecs le connaissaient. Le mot alambic vient d'ailleurs de l'arabe al anbiq,
lui-même emprunté au grec tardif ambix: vase. On aurait même retrouvé des traces de l'invention de l'alambic par les égyptiens en mésopotamie 3500 ans avant JC. L'alambic fut d'abord utilisé pour fabriquer des parfums ou des médicaments, avant de permettre la production d'eaux-de-vie par distillation de jus de fruits fermentés.

Mais ici, nul besoin d'alerter les gardes de la prohibition! ...aucun alambic ne sera nécéssaire à la concotion de cette liqueur.
  • 2 bananes bien mûres
  • 1 ¼ t. sucre
  • 1 gousse de vanille
  • 1 c. à thé cannelle
  • 2 ¼ t. alcool à 90°
  • 2 ¼ t. eau
Écraser les bananes à l'aide d'une fourchette, puis découpez en petit morceaux la gousse de vanille.

Faire macérer les bananes, la vanille, la cannelle dans un bocal hermétique avec l'alcool, pendant 15 jours.

Au bout de ces 15 jours préparer le sirop en faisant cuire le sucre dans l'eau pendant 10 à 12 minutes et laisser tiédir.

Verser le sirop dans le mélange de bananes macérées et laisser macérer encore 7 jours.

Filtrer et bien exprimer le résidu de banane.


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Pommes de terre sarladaises


Capitale du Périgord noir en France, Sarlat-la-Canéda est une ville qui a su exceptionnellement bien préserver ses 1000 ans d’histoire et d’architecture. Bâtie autour d’une abbaye bénédictine d’origine carolingienne, elle devient une ville au 8e siècle alors que ses habitants sont au nombre de 5000. Pendant la Guerre de Cent Ans, elle représente la limite entre en les terres des rois de France et celles des rois d’Angleterre et devient anglaise en 1360 avec le Traité de Brétigny, pour être dix ans plus tard, libérée par Du Guesclin. Sarlat à su résister à l’histoire moderne et ainsi, demeurer la meilleure représentation du 14e siècle que la France puisse, encore aujourd’hui, offrir. L’écrivain, résistant et politicien André Malraux, Ministre français de la culture de 1960 à 1969, s’est appliqué à sa restauration, faisant d’elle une nomination future au Patrimoine Mondial de l’UNESCO. Pour réellement apprécier Sarlat, il faut flâner dans ses ruelles et ses cours fraîches et ombragées, tout près de la Lanterne des Morts, une tour conique apparemment construite pour commémorer la visite de Saint-Bernard en 1147. Sarlat recèle de superbes demeures et bâtiments, tous construits de la pierre blonde sortie presque par magie, du ventre des ses montagnes. Tous les samedis, sur la Place de la Liberté, le grand marché étale ses richesses : oies, foie gras, truffes, cerneaux et champignons de la saison, au grand plaisir des hordes de visiteurs qui chaque année, sillonnent les dédales labyrinthiques de ses alentours.


  • 1 à 2 lbs pommes de terre à chair ferme (pelées ou non)
  • 3 c. à table gras d’oie
  • 2 grosses gousses d’ail finement hachées
  • 4 tiges persil plat émincé
  • Sel et poivre au goût
  • Quelques tranches de truffes noires (facultatif)
Trancher les pommes de terre en rondelles d’environ un demi centimètre.

Dans un grand poêlon, faire chauffer la moitié du gras d’oie à feu modéré et recouvrir le fond du poêlon de tranches de pommes de terre, saler au goût.

Laisser cuire jusqu’à légèrement dorées et retourner les rondelles pour faire dorer l’autre côté, continuer la cuisson à couvert quelques minutes ou jusqu’à ce que le centre des pommes de terre soit tendre.

Ajouter la moitié du persil et de l’ail, remuer quelques instants, poivrer et réserver au chaud.

Refaire les mêmes étapes pour le reste des rondelles de pommes de terre.

Servir agrémenté de fines tranches de truffes si désiré.


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Tarte à la fraise (déclinaison du Café La Palette, Paris)


Recette proposée par Marie de A Year From Oak Cottage
dans le cadre de ma douzième participation aux TWD
La fraise autrement que d’être un petit fruit des champs ou des bois, fut aussi un col de lingerie porté par les Européens du 16e siècle jusqu’au début du 17e. Cette fraise, aussi appelée collerette, évolua à partir d’un simple plissé de tissu porté à l’encolure d’un chemisier ou d’une tunique. Elle servait surtout d’accessoire interchangeable et lavable qui empêchait celui qui la portait, de salir le haut de son pourpoint. La découverte de l’empois permis aux fraises d’être confectionnées en des tailles bien plus larges, sans pour autant perdre leur forme. Un peu plus tard, les fraises s’élargirent encore et encore, jusqu’à devenir des cols très élaborés aux pliures pouvant être pressées à l’aide de fers à gaufrer en forme de cônes. À son apogée, la fraise avait une largeur latérale de plus d’un pied; cette grande roue dentelée nécessitait alors qu’un support constitué de fils de fer, y soit inséré afin de bien tenir l’angle, alors en vogue. Vers le fin du 16e siècle, la fraise perdit de sa popularité en Europe, aux dépends surtout du jabot. Mais elle subsista plus longtemps en Hollande où les portraits d’aristocrates et de bourgeois l’abhorrent encore jusqu'au milieu du 17e siècle. Elle s’ancra même encore plus longtemps au Danemark et dans l’habillement de cérémonie des conseils municipaux des villes de la ligue hanséatique du nord de l’Allemagne et celles du clergé luthérien.

ÉVOLUTION DE LA FRAISE





Croûte
  • 1½ t. farine
  • ½ t. sucre à glacer
  • Pincée de sel
  • 9 c. à table beurre froid coupé en petits cubes
  • 1 gros jaune d’œuf
Garniture
  • 1 lb fraises (équeutées et tranchées, ou non)
  • 1 c. à table sucre
  • 2 c. à thé Brandy d’abricots
  • Zeste d’un citron
  • Confiture d’abricots (maison ou du commerce)
  • Crème Chantilly (facultatif)
Dans une grande jatte, délicatement mélanger les fraises, le sucre, le Brandy et les zestes de citron, laisser macérer, réserver.

Dans une jatte, mélanger la farine, le sucre à glacer et le sel.

Ajouter le beurre à l’aide d’un coupe-pâte (ou de deux couteaux), jusqu’à l’obtention d’une pâte granuleuse.

Incorporer le jaune d’œuf et bien mélanger.

Transférer la pâte dans un moule à tarte à fond amovible de 9’’ et avec les doigts, légèrement presser la pâte uniformément dans le fond et sur les côtés du moule.

Mettre la croûte au congélateur au moins 30 minutes avant de faire cuire.

Avant de mettre au four, tapisser la croûte d’un papier d’aluminium beurré (côté beurré contre la croûte).

Cuire au four sur la grille du centre, à 375° pendant 25 minutes.

Laisser complètement refroidir la croûte avant de démouler.

Démouler la croûte et la recouvrir de confiture en quantité désirée, garnir des fraises réservées.

Ajouter si désiré, le jus de macération des fraises et quelques zestes de citron supplémentaires.


Source : Baking, From My Home to Yours - Dorie Greenspan - déclinaison
* Confiture: Isabelle de Les gourmandises d'Isa


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Burgers améliorés de Mme Carrée


La chaîne de restaurants McDonald’s ne tient pas le même menu, partout autour du monde. Les restaurants McDonald's de divers pays ont le choix d’offrir ou non, les items servis en Amérique. Mais lorsque vous entrez dans un restaurant McDonald’s à l’étranger, attendez-vous à y retrouver certains items plus exotiques, au menu. Voici une liste d’items plus rarement retrouvés chez McDonald’s.


Inde

Les Indiens considère la vache comme un animal sacré et donc, la vente de bœuf étant défendue en Inde, les burgers qu’on y retrouve, appelés « Maharaja Mac » sont préparés avec de l’agneau ou du poulet. On y retrouve aussi un burger végétarien inconnu des États-Unis, le burger McAloo Tikki.


Norvège

Dans un pays où le poisson est constamment à l’honneur, vous retrouverez un burger/sandwich préparé avec du saumon et une sauce à l’aneth.


Allemagne

Vous retrouverez en Allemagne, la plupart des items du menu Américain, mais avec en plus, le luxe d’une bonne bière allemande!


Canada

Dans certaines parties du Canada, on peut retrouver un sandwich appelé McLobster ou McHomard en français. Il s'agit d’un petit pain oblong fourré d’un garniture de homard et mayonnaise.


Japon

Au Japon, McDonald’s offre plusieurs items cherchant à plaire à sa clientèle locale, tel le Filet-O-Ebi (un burger de crevettes), le burger Koroke (un mélange de pommes de terre pilées, de chou et de ketchup), les Chiki-Ebi (des croquettes de crevettes) ainsi qu’un lait frappé au thé vert.


Chili

Au Chili, les burgers de McDonald’s sont servis non pas avec du ketchup, mais bien avec de la pâte d’avocat ou plutôt, un genre de guacamole.


Costa Rica

Au Costa Rica, McDonald’s offre des portions de riz ainsi qu’un mélange de riz et de haricots espagnols, appelés Gallo Pinto.

Grèce

En Grèce, les burgers sont servis sur des pains pita, McDonald’s y sert d'ailleurs ce qu’ils appellent un Greek Mac.


Hong Kong

Voici un autre endroit ou McDonald’s offre du riz. Les locaux y retrouvent des Rice burgers dans lesquels le pain est remplacé par deux galettes de riz.


Israël

McDonald’s tient trois restaurants cachères en Israël, où le cheeseburger et les produits laitiers n’y sont pas servis puisque le judaïsme défend à ses fidèles de consommer « le petit de la vache dans le lait de sa mère ». On y offre donc, le McShawarma préparé avec du poulet et servis un pain pita.


Uruguay

En Uruguay, McDonald’s offre le McHuevo, le mot espagnol « huevo » signifiant un « œuf » en français, il s'agit ici d’un petit burger régulier, chapeauté d’un œuf.


Suisse

Question de ne pas manquer à la tradition helvète, les restaurants McDonald's de Suisse offrent des Raclette burgers, contenant bien évidement le fromage vedette du canton du Valais: la Raclette.

Évidemment, certains items mentionnés ci-haut, semblent bien plus “santé” que ce que l’on retrouve habituellement chez McDonald’s, on pourrait même croire qu’avec un peu d’effort, la chaîne internationale serait en mesure d’offrir bien mieux que ce que l’on connaît déjà et ainsi, améliorer sa réputation. En attendant, faites vos burgers vous-mêmes et soyez ainsi certains de ce que vous consommez!
  • ½ lb bœuf haché maigre
  • ½ lb porc haché maigre
  • 2 oignons verts émincés
  • 2 tranches bacon coupées en fins morceaux
  • 1½ c. à thé sauce soya
  • 1 c. à table pâte de tomates
  • ½ c. à thé poudre d'ail
  • Poivre au goût
  • 4 pains à hamburgers (maison ou du commerce)
  • Garnitures au choix (ketchup, mayonnaise, fromage, laitue, etc.)
Bien mélanger les 8 premiers ingrédients dans une grande jatte et former 4 boulettes bien fermes, d'une épaisseur d'environ 1".

Dans un poêlon, faire cuire les boulettes (sans gras) sur un feu moyen-fort, environ 7 à 8 minutes de chaque côté ou jusqu’à ce que l’intérieur des boulettes ait perdu sa couleur rosée.

Dresser les burgers au goût.


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Escalopes parmesanes sauce aux tomates séchées, céleri et vin blanc


Trois parfumeurs s'attablent dans un restaurant. Quand le patron vient prendre la commande, l'un d'eux lui lance :
- Je peux vous dire ce qu'il y avait hier dans ces trois assiettes
- Monsieur, fait le patron, nos assiettes sont impeccablement lavées en machine et essuyées.
- Je n'en doute pas, mais j'ai un odorat exceptionnel.
- C'est impossible. Si vous y arrivez, je vous offre le déjeuner à tous les trois !
L'autre prend la première assiette et la sent.
- Escalope milanaise
Il flaire la deuxième.
- Rougets à la provençale
Puis la troisième.
- Choucroute alsacienne
- Monsieur, fait le patron, vous êtes stupéfiant. C'étaient effectivement nos trois plats du jour, vous avez gagné !
Le lendemain, les trois parfumeurs reviennent.
- On fait quitte ou double ?
- D'accord, dit le restaurateur, je vais chercher les assiettes. Il passe à la cuisine et dit à la jeune femme qui est aux fourneaux :
- Josette, ne cherchez pas à comprendre, prenez cette assiette et frottez-la contre votre derrière !
La nommée Josette s'exécute et le patron ramène trois assiettes dont celle-là.
Le parfumeur flaire la première.
- Boeuf bourguignon
Il sent la seconde.
- Canard au poivre vert
Et enfin la troisième. Il a l'air surpris, la renifle de nouveau et dit au patron :
- Josette travaille chez vous?
  • 2 c. à table huile de tomates séchées
  • 2 demies poitrines de poulet désossées sans peau (dinde, veau, etc.)
  • ½ t. chapelure aux fines herbes (ou autre au choix)
  • ½ t. Parmesan finement râpé
  • Flocons de piment fort au goût
  • 2 c. à table huile de tomates séchées
  • 2 branches de céleri émincées
  • ¼ t. vin blanc
  • ½ t. tomates séchées dans l’huile épicées égouttées
  • ¾ t. sauce tomate (maison ou du commerce)
  • ½ t. crème 35%
  • Poivre au goût
Bien mélanger la chapelure, le Parmesan et les flocons de piment fort dans une assiette creuse.

Trancher les demies poitrines en deux dans l’épaisseur, afin d'obtenir 4 fines escalopes et bien les couvrir du mélange de chapelure en pressant bien des deux côtés.

Faire chauffer l’huile à feu moyen-fort dans un grand poêlon et y faire dorer les escalopes environ 3 à 4 minutes de chaque côté, réserver au chaud.

Dans le même poêlon, faire chauffer le reste de l’huile et y faire dorer le céleri pendant 10 minutes ou jusqu’à tendre.

Déglacer au vin blanc en raclant le poêlon pour en détacher les sucs.

Ajouter les tomates séchées et la sauce tomate et laisser réchauffer 2 à 3 minutes en remuant souvent.

Transférer le contenu du poêlon dans un blender ou un robot, et pulvériser le tout jusqu’à consistance désirée (de préférence texturée).

Ajouter la crème au blender et pulvériser à nouveau, quelques secondes.

Trancher les escalopes en lanières et servir nappé de sauce et poivré au goût.


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