Bouchées de figues au gorgonzola et prosciutto


Selon la légende, Romulus et Rémus deviennent orphelins lorsque que leur mère, Rhéa Silvia est emprisonnée. Elle aurait malgré tout pris soin d’envoyer les jumeaux, fils de Mars, dieu de la guerre, sur les ondes du Tibre pour les sauver de l’horrible destin qui la menaçait. Ils se seraient échoués sur une rive, sous un figuier où les auraient recueillis une louve et un pivert. Le figuier, le loup et le pivert sont depuis, des symboles sacrés associés à Mars. La louve les aurait nourris et aurait pris soin d’eux jusqu’à ce que Faustulus, le berger du roi et sa femme, les prennent en charge pour les élever. Ils quittèrent éventuellement leur foyer, pour fonder un nouveau royaume sur les berges de cette même rivière qui les avait sauvé quelques années auparavant. Mais comme le font souvent les enfants, les jumeaux ne pouvaient s’entendre sur un endroit pour construire leur nouvelle ville, ni même pour le nom quelle porterait. Pendant ce conflit Romulus tua son frère, et à l’endroit même de son crime, il bâti sa citadelle. En manque d’habitants, le nouveau roi invita les miséreux des communautés environnantes, à venir s’établir sur le Capitole, où Romulus érigea un sanctuaire pour les communautés exclues. Mais en vain, Romulus se rendit rapidement compte du manque flagrant de femmes dans la ville, et annonça donc des jeux qui seraient célébrés en l’honneur de Consus, dieu de la moisson. Tous les Latins et Sabins furent invités à y participer. Lors de cette célébration, les Latins kidnappèrent les Sabines et les emmenèrent à la ville. Le règne de Romulus était évidement souillé par toute cette histoire d’enlèvement et les tribus sabines, sous le commandement de Titus Tatius, infiltrèrent les terres latines pour combattre leurs habitants, créant ainsi les deux tribus originales de l’histoire de la Rome Antique. Après la guerre, les Sabins prièrent pour le retour de la paix, supplièrent les deux tribus de s’unir pour ne faire qu’une seule et même nation. Malheureusement, le calme ne dura que peu de temps, et Titus Tatius qu’on avait alors convaincu de régner aux côtés de Romulus, fut tué dans un acte de vengeance, par les habitants de Lavinium. Après un règne de 37 ans, Romulus, le premier roi de Rome, fut porté dans un chariot de feu à travers les cieux, par son père, Mars. Désormais, Romulus demanda à ce que l’on se souvienne de lui comme «Quirinus», le dieu gardien des Romains.


Romulus et Rémus, nourris par louve et le pivert, sous le figuier.
Pierre Paul RUBENS - 1615-1616

  • Figues fraîches
  • Prosciutto finement tranché
  • Gorgonzola émietté
Équeuter les figues et les couper en quatre à partir de la tête, en prenant soin de ne pas les couper de bord en bord, mais en laissant environ un demi centimètre de chair à la base des figues.

Écarter quelques peu les quartiers de chaque figue et remplir leur centre d’un peu de Gorgonzola.

Plier les tranches de prosciutto en deux sur l’horizontale et en enrouler les figues.

Fixer le tout de cure-dent et déposer les bouchées sur une plaque de cuisson préalablement tapissée de papier parchemin.

Passer sous le grill, pendant 3 minutes.

Laisser tiédir quelques instants et servir tiède.


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Gâteau Dobos




Recette suggérée par Angela de A Spoonful of Sugar
et Lorraine de Not Quite Nigela
dans le cadre de ma treizième participation aux défis Daring Bakers

Il existe plusieurs légendes concernant cette étrange tradition de Pecs, une ville située dans le sud de la Hongrie. Depuis très longtemps, la grille de fer forgé de la rue Panus Pannonius, celle qui relie la mosquée de la place principale et la cathédrale médiévale, est complètement couverte de cadenas verrouillés. Certains habitants de Pécs disent qu’autrefois, les femmes mariées y verrouillaient un cadenas pour laisser savoir à leur amant qu’il pouvait venir leur rendre visite. D’autres racontent qu’un étudiant de l’université, y aurait laissé un cadenas et sa clé avant d’aller prendre son dernier examen avant les vacances d’été, et qu’après avoir obtenu une très bonne note, d’autres étudiants l’auraient imité. Quoiqu’il en soit, on sait que depuis les années ’80, les amoureux ont pris l’habitude de graver leurs noms sur des cadenas qu’ils verrouillent ensuite à la grille et en jettent la clé pour symboliser leur amour indestructible et leur éternel engagement. Avec ce geste, une tradition est née et il semblerait que le sortilège fonctionne, puisque qu’en peu de temps la grille fut couverte de milliers de cadenas et l’espace vint à manquer. Les couples et les touristes se mirent alors à verrouiller leurs cadenas un peu partout dans la ville, aux grilles, aux statues, etc. Les autorités ont depuis essayé par de nombreux moyens de décourager ce sabotage amoureux, mais même en les retirant et en les remplaçant par des panneaux dénonçant le vandalisme, ils ne sont jamais parvenus à briser le sort! En 2004, lors de sa visite en Hongrie, le prince espagnol, Philippe et sa femme ont contribué à l’illégale collection de la grille originale. Depuis peu, on envisage même de poser une seconde grille, tout près de l’originale, afin de fournir un cite légal où les couples pourraient verrouiller leurs cadenas, un peu à la façon des grandes villes qui fournissent des divers murs d’immeubles aux graffiteurs.


Les cadenas "amoureux" de la rue Panus Pannonius, à Pecs en Hongrie.

Génoise
  • 6 gros œufs séparés à température ambiante
  • 1⅓ t. sucre glace divisé
  • 1 c. à thé vanilla
  • 1 t. + 2 c. à table farine à gâteau tamisée
  • Pincée de sel
Crème au beurre
  • 4 gros œufs à température ambiante
  • 1 t. sucre
  • 4oz chocolat finement haché
  • 1 t. + 2 c. à table beurre mou
Caramel
  • 1 t. sucre
  • 12 c. à table eau
  • 8 c. à thé jus de citron
  • Noisettes, dragées métalliques, etc. (facultatif)
Pour la génoise

Dans un bol, bien mélanger la farine et le sel, réserver.

Dans une jatte, battre les jaunes d’œufs et la moitié du sucre jusqu’à bien blanchis et épais, réserver.

Dans une autre jatte, battre les blancs en neige en ajoutant le sucre en pluie au fur et à mesure qu’ils raffermissent.

Délicatement plier le mélange de jaunes d’œufs réservé dans les blancs, à l’aide d’une maryse.

Tamiser la moitié de la farine sur cet appareil et la plier délicatement.

Lorsque la farine est bien incorporé à l’appareil, tamiser le reste de la farine et délicatement plier à nouveau.

Étendre la moitié de cet appareil sur une plaque de cuisson de 12x17’’, préalablement beurré, en prenant soin d’uniformiser le tout à l’aide de la maryse.

Faire cuire au four sur la grille du haut, à 400° pendant 5 minutes ou jusqu’à ce que la génoise rebondisse au toucher.

Répéter ses étapes pour le reste de la pâte.

Laisser tiédir les deux génoises avant de les couper en 6 parties égales (formes au goût).

Séparer les 6 génoises de papier ciré, couvrir et garder au frais jusqu’au moment d’assembler.

Pour la crème au beurre

Dans la partie supérieure d’un bain-marie, faire chauffer les œufs et le sucre en battant constamment à l’aide d’un batteur électrique et ce, jusqu’à ce que la température atteigne 150°F.

Lorsque la température atteint 150°F, retirer la partie supérieur du bain-marie et ajouter le chocolat haché au mélange d’œufs, toujours en battant constamment.

Continuer de battre jusqu’à ce que la température tombe à 85°F.

Lorsque la température est de 85°F, ajouter le beurre par cuillérées, toujours en battant constamment et en prenant soin de n’ajouter le beurre que lorsque la cuillérée précédente est complètement incorporée, réserver.

Pour l’assemblage

Poser une première génoise sur une assiette de service.

Séparer la crème au beurre en 5 parties égales et en tartiner une première sur la génoise.

Couvrir la crème au beurre d’une seconde génoise et à nouveau la couvrir de crème au beurre.

Répéter ces étapes pour 5 génoises au total, et terminer en recouvrant complètement le gâteau de crème au beurre, garder au frigo jusqu’au moment de décorer (garder aussi au frigo, la sixième génoise inutilisée).

Pour le caramel

Placer la sixième génoise sur une plaque à cuisson tapissée de papier parchemin et la découper au goût, selon le motif de la décoration désiré, réserver.

Dans une casserole à fond épais ou en cuivre, faire chauffer le sucre, l’eau et le jus de citron sur un feu doux, jusqu’à ce que le sucre soit complètement dissout.

Lorsque le sirop est limpide, augmenter le feu au maximum, amener à ébullition et laisser bouillonner jusqu’à ce que le sirop prenne une couleur ambrée.

Retirer du feu et en napper les forme découpées dans la sixième génoise (si désiré, laisser le caramel dépasser hors de la forme).

Laisser le caramel complètement refroidir.

Décorer le gâteau bien froid des formes caramélisées, selon le motif désiré.

The August 2009 Daring Bakers' challenge was hosted by Angela of A Spoonful of Sugar and Lorraine of Not Quite Nigella. They chose the spectacular Dobos Torte based on a recipe from Rick Rodgers' cookbook Kaffeehaus: Exquisite Desserts from the Classic Caffés of Vienna, Budapest, and Prague.


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Gougères à la sauge et au gorgonzola


La région de Bourgogne se trouve au sud-est de Paris, en France. Elle est certainement mieux connue pour sa production vinicole; certains des meilleurs vins du monde, tels que les Chablis, les Macons et les Beaujolais, sont originaires de Bourgogne. On attribue un caractère distinctif à la plupart des vins de cette région, d’ailleurs plusieurs commandent un prix très élevé. Mais il y a bien plus à la région bourguignonne que le grand vin. Elle a une histoire fascinante qui se caractérise surtout par son indépendance qui dura jusqu’au 17e siècle. Au Moyen-Âge, alors que la Bourgogne était un duché, elle était plus riche que le royaume de France lui-même. Pendant la Guerre de Cent Ans, les Bourguignons se sont alliés aux Anglais contre la France; se sont eux qui capturèrent Jeanne d’Arc et qui la vendirent aux Anglais, qui la brûlèrent au bûché. Ce n’est pas avant le 17e siècle que les vestiges de cet empire, retournèrent aux mains des Français. Les plus notables sites historiques bâtis cette époques sont sans contredits: Fontenay, Vézelay et Pontigny. Mais la Bourgogne est aussi devenue une destination touristique très populaire grâce à la beauté de ses panoramas. La campagne bourguignonne qui regorge de prés et de boisés parsemés de lopins cultivés à la paysanne, offre des scènes pastorales qu'on ne peut plus bucoliques. Niché dans la courbe d’une rivière, le village de Sémur-en-Auxois est un endroit particulièrement charmant, on dit même qu’il aurait été fondé par Hercule lui-même. Mais on y trouve aussi de très belles et grandes villes comme Auxerre et toutes celles associées aux grands noms des vins. Assis à l’ombre des arbres sur les terrasses de leurs cafés, grignotant une nonnette ou une gougère, on constate que la plupart des villes ont de très intéressantes places historiques et de nombreuses maisons médiévales qui ne manquent pas de rappeler le riche passé de la Bourgogne. Un peu plus au sud, il est impératif de visiter l’Hotel-Dieu à Beaune, un hôpital médiéval qui est non seulement fascinant par son architecture, mais aussi par la nature même de sa visite. Dans l’ouest on retrouve le parc naturel régional du Morvan, plus montagneux que le reste de la Bourgogne ainsi, plus populaire auprès des cyclistes et randonneurs. Un site qu’il est aussi important de souligner, est celui de Guedelon. Un grand projet de construction qui vise à ériger un château avec exactement les mêmes techniques et matériaux utilisés il y a 500 ans. Il est fascinant de regarder cette construction prendre forme et d’observer les artisans façonner les matériaux du projet qui prendra certainement une décennie à achever. Parmi les différents villages de Bourgogne, plusieurs sont classés «Plus beau village de France», d’autres superbes, situés en bordure de rivière ou de canal, sont la raison pour laquelle beaucoup de visiteurs choisissent de visiter la Bourgogne en péniche. En passant par le canal de Bourgogne et celui de Nivernais, on s’assure une façon calme et relaxante de ne rien manquer de tout cet extraordinaire charme français.
  • ½ t. eau
  • 3 c. à table beurre
  • Pincée de sel
  • ½ t. farine
  • 2 œufs
  • 1 c. à thé sauge
  • ¼ t. gorgonzola émietté
Dans une casserole, faire chauffer l’eau, le beurre et le sel sur un feu modéré et sans faire bouillir.

Lorsque le beurre est fondu, ajouter la farine d’un coup et mélanger sans arrêt jusqu'à ce que la pâte forme une boule qui se décolle des parois de la casserole.

Retirer du feu et ajouter les œufs un à la fois en battant au batteur électrique après chaque addition, de façon à n’ajouter le deuxième œuf seulement lorsque le premier sera bien incorporé.

Ajouter la sauge et le gorgonzola à cet appareil, mélanger doucement.

Disposer la pâte obtenue par cuillérées, sur une plaque de cuisson préalablement tapissée de papier parchemin, en prenant soin de laisser au moins 1’’ entre chaque gougère (créer des gougères d’environ 1.5’’ de diamètre; utiliser une poche à douille si désiré).

Faire cuire au four sur la grille du centre, à 400° pendant 10 minutes sans ouvrir la porte du four, puis à 375° pendant 15 minutes supplémentaires.

Aussitôt sorties du four, piquer les gougères d’une brochette ou d’un cure-dent, afin d’en laisser s’échapper la vapeur et laisser les gougères tiédir en perdant pas leur extérieur croustillant.

Au moment de les consommer, si les gougères ne sont plus assez croustillantes, les passer au four à 375°, pendant 3 minutes seulement.

*Donne environ une vingtaine de gougères moyennes ou le double de petites.

Source : Cookin’ Canuck


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Confiture de cerises


Boul ma sene, boul ma guiss madi re nga fokni mane
Khamouma li neka thi sama souf ak thi guinaw
Beugouma kouma khol oaldine yaw li neka si yaw
mo ne si man, li ne si mane moye dilene diapale

Roughneck and rudeness,
We should be using, on the ones who practice wicked charms
For the sword and the stone
Bad to the bone
Battle is not over
Even when it's won
And when a child is born into this world
It has no concept
Of the tone the skin is living in
It's not a second
7 seconds away
Just as long as I stay
I'll be waiting
It's not a second
7 seconds away
Just as long as I stay
I'll be waiting X3

J'assume les raisons qui nous poussent de changer tout,
J'aimerais qu'on oublie leur couleur pour qu'ils espèrent
Beaucoup de sentiments de races qui font qu'ils désespèrent
Je veux les deux mains ouvertes,
Des amis pour parler de leur peine, de leur joie
Pour qu'ils leur filent des infos qui ne divisent pas
Changer

7 seconds away
Just as long as I stay
I'll be waiting
It's not a second
7 seconds away
Just as long as I stay
I'll be waiting X3
And when a child is born into this world
It has no concept
Of the tone the skin it´s living in
And there's a million voices
And there's a million voices
To tell you what you should be thinking
So you better sober up for just a second
We´re 7 seconds away
Just as long as I stay
I'll be waiting
It's not a second
We´re 7 seconds away
For just as long as I stay
I'll be waiting
It's not a second
7 seconds away
Just as long as I stay
I'll be waiting


7 seconds, Youssou N’DOUR et Neneh CHERRY – 1994
  • 2½lbs Cerises dénoyautées grossièrement hachées (Burlats, Bing ou autres)
  • Zeste de 2 citrons
  • Jus de 2 citrons
  • Sucre
  • Quelques gouttes d’essence d’amandes
Dans une casserole à fond épais ou en cuivre (elle doit aussi être profonde, car la confiture aura tendance à monter assez haut en bouillonnant), amener à ébullition les cerises, le jus de citron et le zeste, sur un feu modéré.

Aux premiers bouillons, baisser le feu et laisser mijoter pendant environ 15 à 20 minutes et remuant régulièrement.

Retirer du feu laisser tiédir quelques minutes.

Mesurer la quantité de jus et de cerises obtenue, ajouter ¾ de tasse de sucre pour CHAQUE tasse de matière obtenue.

Retourner le tout (cerises, jus et sucre) dans la casserole et porter à ébullition à nouveau en remuant.

Lorsque la température indiquera 220°F, retirer aussitôt la confiture.

Laisser tiédir, ajouter l’essence d’amandes, bien remuer et verser dans des pots préalablement stérilisés.


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La plus crémeuse tarte à la lime meringuée


Recette proposée par Linda de Tender Crumb
dans le cadre de ma soixante-sixième particpation aux TWD
De retour par acclamation, avec le vert lime!
En associant une certaine quantité de vert au jaune, on obtient le vert lime: une nuance vive et éclatante située à mi-chemin entre «chartreuse» et jaune pur, sur le cercle chromatique. Comme la longueur d’ondes du vert lime se situe très près du sommet de la fonction photopique lumineuse (sensibilité de l’œil à distinguer les différentes couleurs), elle est à peu près la plus visible de toutes les couleurs du spectre. Avant qu’elle ne se nomme vert lime avec l’arrivée des couleurs Web, cette couleur n’était que «lime» depuis 1905; elle n’est d’ailleurs apparue chez Jell-O qu’en 1930 et chez Crayola en 1990. On retrouve aussi de très belles nuances de vert lime dans certaines pierres telles que le péridot, la fluorite, la chrysoprase jaune, le grenat vert, le jade et l’olivine. L’élément de la couleur vert lime, est le bois chez les Asiatiques et la terre, chez les Indiens. Mais le vert lime est toujours associé au 4e chakra, celui du cœur, aussi appelé Anahata qui signifie «indemne», «intact» ou «inentamé». Anahata Nad fait référence au concept Védique du son inexistant, le son du royaume céleste. La couleur vert lime évoque le merveilleux sens de l’anticipation face aux possibilités et opportunités qu’offre l’univers; elle inspire à essayer de nouvelles choses en initiant le changement. On lui prête des qualités excitantes, motivantes, pécuniaires, prospères et des propriétés d’espoir, de croissance et de chance. En excluant le vert lime, la haine, la pitié et la jalousie peuvent apparaître. Aussi, lorsque le 4e chakra est bloqué, des problèmes émotifs propres aux relations avec les autres, peuvent survenir. Les personnes qui ont une aura verte, sont les plus équilibrées, les plus harmonieuses et les plus paisibles. Elles nécessitent le calme dans leur vie et préfèrent évoluer près de la nature. Elles sont aussi ouvertes, extraverties, amicales, communicatives et généreuses. À l’image de leur chakra, les personnes à l’aura verte regardent la vie à travers les yeux du cœur et jugent leur succès par la proximité et la profondeur de leurs amitiés. Elles sont faciles à vivre et très peu difficiles à contenter. Pour la majorité des gens, l’utilisation du vert lime peut apporter à la vie quotidienne, un nouvel état d’équilibre, un sentiment de changement ou de croissance, une liberté d’esprit, de nouveaux espoirs et enfin, une protection contre la peur et l’anxiété associées aux demandes des autres. Dans la maison ou au bureau, utilisez le vert à l’est et au sud-est; l’est représente le printemps et donc, les nuances claires de vert lime seront d’office, alors que les plus profondes auront leur place dans le sud-est. Cette recommandation ne doit pas être exécutée à grande échelle, même un simple bol de pommes vertes placé au centre de votre table de cuisine (si elle est à l’est), aura une incidence sur le Chi de votre demeure.

Croûte
  • 1 t. chapelure Graham
  • 3 c. à table beurre fondu
Garniture
  • 1 t. sucre
  • Zeste de 3 limes
  • ¾ t. jus de lime fraîchement pressé
  • 2 c. à table fécule de maïs
  • 2 c. à thé gingembre frais finement râpé
  • 4 œufs
  • 1¼ t. beurre mou coupé en cubes
Meringue
  • 4 blancs d’œufs
  • ⅓ t. sucre
Pour la croûte

Dans un bol, bien mélanger le beurre fondu et la chapelure jusqu’à ce que celle-ci soit bien imbibée du beurre.

Transférer le tout dans un moule à charnière de 7" préalablement tapissé de papier parchemin (fond).

Étendre la chapelure uniformément et la presser légèrement à l’aide du dos d’une cuillère.

Faire cuire au four sur la grille du centre, à 350° pendant 5 à 6 minutes, laisser complètement refroidir avant de garnir, réserver.

Pour la garniture

Dans la partie supérieure d’un bain-marie, déposer le sucre et le zeste de lime et frotter le tout entre les doigts, afin de bien parfumer le sucre des huiles du zeste.

Ajouter le jus de lime et la fécule de maïs, bien mélanger afin de dissoudre la fécule.

Ajouter les œufs et le gingembre, bien mélanger et poser le contenant sur le bain-marie.

Faire chauffer le tout en battant à l’aide d’un batteur électrique, jusqu’à ce que la température atteigne 180° (ce qui peut prendre jusqu’à 10 minutes).

Lorsque la température est atteinte, retirer la partie supérieure du bain-marie et transférer l’appareil dans la jarre du blender.

Lorsque la température de l’appareil atteint 140°, ajouter le beurre un cube à la fois en pulvérisant constamment.

Transférer à nouveau l’appareil dans une jatte, recouvrir d’une pellicule plastique (la pellicule doit être posée directement sur la costarde), et mettre au frigo pendant au moins 4H.

Pour la meringue

Dans une jatte, battre les blancs d’œufs jusqu’à opaques.

Ajouter le sucre en pluie toujours en continuant de battre et jusqu’à l’obtention de pics fermes.

Pour l’assemblage

Tapisser les parois du moule à charnière de papier parchemin.

Bien battre la costarde pour la détendre, la verser en entier sur la croûte refroidie et bien uniformiser le dessus à l’aide d’une maryse.

Étendre la meringue sur la costarde et décorer au goût.

Passer le tout sous le grill, jusqu’à ce que la meringue dore.

Laisser tiédir quelques minutes et remettre au frigo au moins 3H avant de servir.

Démouler, retirer le papier parchemin et servir bien frais.

Source : Baking From My Home to YoursDorie Greenspan – déclinaison


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Petits gâteaux "Banana Foster"


Dans les années ‘50, les jupes ornée de poodles sillonnaient les rues américaines et les serveuses de restaurants travaillaient sur patins à roulettes, alors que Dean Martin chantait That’s Amore. Les États-Unis fleurissaient et le commerce allait bon train. La Nouvelle-Orléans étaient à l’époque le plus important port associé à l’importation de fruits exotiques en provenance de l’Amérique Centrale et de l’Amérique du Sud; elle était donc ainsi, la porte d’entrée aux bananes. Holiday Magazine à l’époque, avait justement demandé au restaurateur du French Quarters louisianais, Owen Brennan, de lui proposer une nouvelle recette qui devait accompagner un article mettant l’homme d’affaire sur la sellette. Brennan incita donc son chef, Paul Blangé, à concocter une création culinaire qui ferait en quelque sorte, la promotion de la banane. En 1951, le chef Paul créa le Banana Foster, aussi connu par les francophones comme la banane flambée. Un dessert simplement décadent, composé de bananes tranchées, caramélisées dans une sauce au sucre roux épicée, flambées au rhum et enfin, servies à la mode, accompagnées d'une glace à la vanille. Blangé nomma sa création en l’honneur de Richard Foster, un homme d’affaire de la ville, un client régulier du «Brennan’s», et un bon ami d’Owen avec lequel il avait présidé la New Orleans Crime Commission. Personne ne pouvait alors se douter que l’invention allait devenir le dessert le plus demandé des menus américains, encore moins une icône internationale. Au «Brennan’s» uniquement, trente-cinq milles livres de bananes sont encore aujourd’hui, annuellement cuisinées en Banana Foster.

Caramel
  • 6 c. à table beurre doux
  • ⅓ t cassonade
  • 2 c. à table rhum (de préférence ambré)
  • 4 bananes mûres coupées en rondelles de ¼" d’épaisseur
Gâteaux
  • ⅓ t. cassonade
  • 1¾ t. farine
  • 1 t. sucre
  • 2 c. à thé poudre à pâte
  • Pincée de sel
  • Cannelle (au goût)
  • Zeste finement râpé d’un demi citron
  • 8 c. à table beurre doux
  • 3 c. à table rhum (de préférence ambré)
  • 3 œufs
  • ½ t. yogourt grec nature
  • 2 c. à thé vanille
Pour le caramel

Dans une petite casserole à fond épais ou en cuivre, faire fondre le beurre sur un feu modéré, y ajouter la cassonade et remuer constamment jusqu’à complètement fondu et bien amalgamés.

Hors du feu, ajouter le rhum et bien mélanger.

Verser une généreuse cuillerée à table de ce caramel au fond 8 ramequins de 6oz (environ ¾ de tasse), préalablement beurrés.

Disposer les rondelles de bananes harmonieusement au fond des ramequins, de façon à recouvrir le caramel, réserver.

Pour les gâteaux

Dans une grande jatte, bien mélanger la cassonade, la farine, le sucre, la poudre à pâte, le sel, la cannelle et le zeste de citron, réserver.

Dans une jatte, battre les œufs et le rhum, ajouter le yogourt grec et la vanille, battre à nouveau, réserver.

Ajouter le beurre aux ingrédients secs et mélanger à l’aide d’un batteur électrique, jusqu’à l’obtention d’une texture uniformément sablée.

Ajouter la moitié des ingrédients liquides à cet appareil, et toujours en battant au batteur électrique.

Ajouter le reste des ingrédients liquides et ne battre qu’à vitesse réduite que quelques secondes seulement (l’appareil final ne doit pas être homogène, mais quelque peu grumeleux).

Verser environ ¼ de tasse de la pâte dans chaque ramequins et l’uniformiser à l’aide d’une maryse (Taper aussi les ramequin sur le plan de travail, afin de faire certain que la pâte pénètre bien jusqu’aux bananes).

Déposer les ramequins sur une plaque de cuisson et faire cuire au four, sur la grille du centre, à 325° pendant 25 à 30 minutes.

Aussitôt sortis du four, passer un couteau sur le pourtour des gâteaux et les renverser sur des assiettes de service.

Laisser reposer ainsi pendant 5 minutes, avant de démouler.

Servir chaud ou tiède accompagné de glace à la vanille.


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Mojito cubain


J’ignore s’il existe de tels bars près de chez moi, mais un peu partout dans le monde, les propriétaires de bars aiment se la jouer en faisant croire à leur clientèle qu’Ernest Hemingway serait un jour, ou plusieurs jours, venu boire dans leur établissement. Des bars comme le Sloppy Joe de Key West aux États-Unis ou encore le Harry’s Bar de Venise en Italie, savent qu’une association à Hemingway équivaut à un plus grand achalandage touristique. Toute cette mise en scène ressemble en fait beaucoup aux habitudes qu’avait Hemingway d’embellir sa propre biographie, question de faire reluire son image. Il s’est personnellement construit une légende, à la fois pour nourrir son ego et pour faire mousser la vente de ses livres. Même dans la mort, il continue d’étonner, puisque plus de 45 ans après son suicide, Hemingway, ou «Papa» comme on l’appelait, reste encore bien vivant dans l’excentrique et fleurissante industrie cubaine. Son nom et son visage barbu orne briquets, bibelots et autres objets souvenirs havanais. Il reste une marque de commerce visible, tout comme le «Che» ou Castro; «Papa» obtient même, de temps à autres, une meilleure cote sur les ventes de t-shirts et de cartes postales, que le héro national du pays, José Martí. On dit qu’en réalité, les Cubains auraient une «fascination de l’ennemi» pour Hemingway, parce qu’il est le dieu des auteurs américains; pour eux, il était l’Amérique en chair et en os. Dans la vieille Havane, les guides font faire la queue aux touristes devant La Bodeguita del Medio, un populaire restaurant-bar aux murs criblés de graffitis. Et c’est cet endroit, affirme la légende, qu’Hemingway affectionnait par-dessus tout. Preuve à l'appui, imprimée sur un napperon de papier brun, l’écriture du célèbre auteur décrit ses endroits favoris: «My mojito in La Bodeguita, my daiquiri in El Floridita».


Napperon de La Bodeguita del Medio portant l'autographe d'Hemingway
  • 8 feuilles de menthe fraîche
  • 3 c. à thé sucre
  • 2oz jus de lime fraîchement pressé
  • Glaçons
  • 2oz rhum blanc
  • 2oz eau gazeuse (ou tonic water)
  • Tranches de lime, feuilles de menthe fraîche, etc. (décoration)
Dans un verre type «high ball», mettre les feuilles de menthe, le sucre et le jus de lime.

À l’aide du manche ou du dos d’une cuillère de bois, broyer délicatement les feuilles de menthe dans le sucre et le jus de lime, afin de dégager l’essence de menthe des feuilles.

Remplir le verre de glaçons, ajouter le rhum, l’eau gazeuse et bien remuer le tout, toujours à l’aide du manche de la cuillère de bois.

Décorer au goût de tranches de lime, de feuilles de menthe fraîche et servir aussitôt.


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Cake aux champignons et gruyère


Pour plusieurs, le moelleux et plaisant goût de noisette du gruyère est l’ajout parfait à un brûlant bol de soupe à l’oignon, ou à un sandwich mixte, mais pour les paysans médiévaux qui l’ont au départ créé, sa saveur n’était que secondaire à leur survie. Le gruyère est le résultat de la collision entre la rareté des aliments et la géographie montagneuse de la région d'où il est originaire, produisant un procédé de fabrication du fromage, distinct et rigoureux. En fait, la plupart des milliers de fromages existants aujourd’hui, sont initialement apparus par la seule contrainte de conserver cet aliment alors si précieux, qu’était le lait. Mais comment les créateurs du gruyère s’y sont-ils pris pour fabriquer ce fromage unique? Au Moyen-Âge, les paysans des villages féodaux de la région de Gruyère en Suisse, avaient pris l’habitude de faire paître leurs bêtes dans les pâturages verts et herbus des montagnes. Mais comme il n’était pas pratique, sans mentionner très fatiguant, pour chaque paysan de gravir les montagnes chaque jour pour aller traire leurs vaches, seulement quelques paysans étaient désignés pour rester en montagne et garder un œil sur le bétail du village entier, quotidiennement traire les vaches et fabriquer le fromage. Parce que ce fromage devait pouvoir se conserver en montagne jusqu’à la fin de l’été, il se devait d’être durable, et pour descendre de la montagne, il devait être assez gros et assez ferme pour être roulé sans craquer ni fendre. Le gruyère était clairement fabriqué dans le but d’être résistant. Donc, pour faire un gros fromage ferme, durable et résistant, sa teneur en humidité devait être minime, la règle absolue du fromage étant: «Plus un fromage contient d’humidité, moins longtemps il se conservera». Mais les paysans restés dans le haut des montagnes, devaient utiliser le lait frais de tous les jours et n’avaient pas accès à autant de sel qu’ils l’auraient certainement souhaité, pour contrôler l’humidité des fromages. Pour contourner ces restrictions, les paysans créèrent une technique de coupe élaborée, destinée à produire une très petite particule, de la taille d’un pois, pour en extraire l’eau. Il leur fut donc nécessaire de cuire le fromage en le mélangeant à température très élevée, pendant de longues périodes, aussi pour en extraire le plus d’eau possible. La tâche n’était pas chose facile à cette époque. S’ils avaient eu d’autres moyens de faire, jamais les paysans n’auraient travaillé dans des conditions de travail si étouffantes de chaleur et physiquement exigeantes, si ce n’avait été pour la nécessité de préserver une précieuse denrée. Heureusement pour nous, les fabricants de fromage du Moyen-Âge avaient le cœur à l’ouvrage. En d’autres mots, peu importe le fromage, gruyère, asiago ou münster, on peut être certain que de très bonnes raisons se cachent derrières leur fabrication et leur origine.
  • ½lb champignons émincés
  • 3 c. à table huile d’olives
  • 2 gousse d’ail pressées
  • 2 à 3 c. à table persil haché
  • 8 c. à table beurre salé
  • 3 c. à table huile végétale (canola, tournesol ou autres)
  • 3 œufs
  • 1½ t. farine
  • 1 c. à table poudre à pâte
  • 1 t. gruyère râpé
  • Sel et poivre (ou au goût)
Dans un grand poêlon, faire chauffer l'huile d'olive sur un feu modéré et y faire tomber les champignons jusqu'à ce que l’eau qu’ils rendent soit évaporée.

En fin de cuisson, ajouter l’ail et le persil, bien mélanger et laisser refroidir le tout, réserver.

Pendant ce temps, dans un bol, mélanger la farine, la poudre à pâte, le sel et le poivre, réserver.

Dans une jatte, fouetter le beurre et l’huile végétale.

Ajouter les œufs un à un en fouettant bien après chaque addition.

Ajouter les ingrédients secs réservés, mélanger seulement jusqu’à imbibés.

Incorporer le gruyère, les champignons réservés et transférer le tout dans un moule à pain non beurré.

Faire cuire au four sur la grille du centre, à 350° pendant 45 minutes ou jusqu’à ce qu’un cure-dent inséré au centre du cake en ressorte propre.

Source : Sophie Dudemaine – déclinaison


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Pizza hors d'oeuvre extraordinaire


Il y a quelques semaines, avait lieu le prestigieux tournoi de tennis de Wimbledon, à Londres. Pour attaquer les quarts de final contre l’Espagnol Juan Carlos Ferrero, l’Écossais Andy Murray s’était préparé en ingurgitant une extraordinaire quantité de calories soit: pizza, sushi, viennoiseries maison, etc. L’équipe de Murray s’est mise en branle après qu’il ait battu Stanislas Wawrinka suite à une lutte de près de 4H, terminée à 22h38. L’humidité à l’intérieur du Court Centre, avec le nouveau toit fermé, avait complètement minée l’énergie de Murray en lui faisant perdre 4lbs pendant cette seule partie. Sa mère et sa copine ont été dépêchées au resto Pizza Express, le favori d’Andy, pour lui ramener une «marguerite» alors que son équipe lui planifiait un régime gargantuesque, pour les prochaines 24H. À cette heure, la pizzeria avait déjà éteint ses fours et le propriétaire de l’endroit, Anton Gjoni, qui avait déjà changé de tenue pour rentrer chez lui, accepta tout de même de tout rallumer pour la star, qu’il considère comme un «héro» - il faut savoir qu’au Royaume-Uni, Murray est un des tennisman les mieux cotés. L’absorption de calories recommandée pour un athlète tel qu'Andy Murray, est d’environ 2500 calories par jour, mais le jeune homme de 22 ans en consomme régulièrement 3000 à 4000 pour remplacer l’énergie perdue à travers son sévère entraînement physique. On dit que Murray aurait battu Stanislas, en pensant à la pizza qui l’attendait après sa victoire! Quoiqu’il en soit, le proprio de la pizzeria était tellement fier de savoir que sa pizza était la favorite du champion, qu’il décida peu de temps après de créer une sculpture de Murray en pâte à pizza. Avec l’aide d’un artiste des environs, un buste tenant une raquette de tennis, fut créé. Le chef d’œuvre qui pèse plus de 20kg, a pris toute une nuit de travail et équivaut à la même quantité de pâte utilisée pour préparer une centaine de petites pizzas. La statue grandeur nature est à présent exposée dans le halle d’entrée du restaurant. Le restaurant a même promis à Murray autant de pizzas qu’il en voudrait pendant 6 mois, s’il devenait le premier Britannique à gagner Wimbledon en 73 ans. Malheureusement, ou heureusement pour les fans de Federer, Andy Murray devra remettre à plus tard ce défi, puisque le dieu du tennis, Roger Federer, a remporté Wimbledon 2009.


L'équipe responsable de la création du buste de Murray, au Pizza Express.

  • 1 pain naan (ou autre de même type)
  • 2 gros oignons tranchés très finement
  • 3 c. à table cassonade
  • 3 c. à table de beurre
  • 1 poire mûre parée coupé en lamelles (avec la peau)
  • Morceaux de tomates séchées dans l'huile épicée égouttées
  • Fromage bleu (au goût)
Dans un poêlon, faire fondre le beurre à feu doux et y ajouter les tranches d'oignons.

Faire tomber les oignons et saupoudrer de la cassonade en remuant de temps à autres jusqu’à translucides et bien compotés, environ 20 minutes.

Étaler la marmelade d'oignons caramélisés sur la totalité du pain naan en prenant soin de couvrir le pain, le plus près possible des bords.

Recouvrir la marmelade d'oignons de lamelles de poires en alternant avec les morceaux de tomates séchées, de façon à créer un éventail sur toute la surface de la pizza: poire, tomate, poire, tomate, etc.

Émietter la quantité désirée de bleu sur de dessus.

Déposer sur une plaque à pizza et passer sous le gril, environ 3 à 4 minutes ou le temps de faire légèrement fondre le fromage.

Couper en carrés de taille désiré et servir tiède ou froid.

Source: Linda


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Bouchées de brownies mentholées



Recette suggérée par Jayma de
Two Scientists Experimenting in the Kitchen
dans le cadre de ma soixante-cinquième participation aux TWD

La couleur brune représente la terre et la santé. Elle est plus souvent appréciée des hommes que des femmes mais de façon unisexe, les personnes présentant des auras de couleur brune sont sensibles, attentionnées et généreuses. Elles sont aptes à s’oublier pour le bien des autres. Aussi, elles choisissent souvent des occupations associées à des causes humanitaires. Elle ont par contre intérêt à prendre conscience de leurs propres besoins, pour éviter de s’affaiblir en essayant de sauver le monde. Elles sont romantiques, idéalistes et souvent inspirées par la créativité provenant de l’énergie de la couleur brune. Même si souvent considéré un peu ennuyeuse, la couleur brune inspire la constance, la simplicité, l’amitié, la confiance et la prospérité. Malgré que le bleu soit typiquement une couleur corporative, United Parcel Service (UPS) par exemple, a bâti son empire sur la confiance associé à la couleur brune. Le brun et ses cousins plus clairs: beige, taupe, tan et crème, font d’excellentes bases sur lesquelles travailler la décoration d’une pièce. En les accompagnants de couleurs plus vives, elles feront tout paraître plus riche et plus vibrant. L’utilisation du brun est parfaite pour véhiculer une sensation de chaleur, d’honnêteté et stabilité. Retrouvée à l’année longue dans la nature, le brun est pourtant souvent associé à l’automne et à l’hiver. Les tons de bruns très sombres peuvent remplacer le noir en apportant plus d’harmonie aux différentes palettes; ils donnent aussi une impression plus confortable et familière que le noir. Des tons de verts utilisés avec le brun font de très belles associations organiques; souvent utilisé pour communiquer l’idée de produits recyclés ou recyclables ainsi qu’environnementaux. Sous le principe Feng Shui, le brun est associé à l’élément du bois et offre les mielleures perspectives d’utilisation à l’est pour la famille et la santé, au sud-est pour la prospérité et l’abondance et au sud pour la gloire et la renommée. Dans le Feng Shui, la popularité du brun a été ravivé ces dernières années, dans les tons de chocolat, de café et d’acajou. Il est un excellent choix pour une entrée principale, une cuisine ou pour accentuer un mur spécifique dans une chambre ou un salon. Dans la chambre d’un enfant, tout comme dans la partie sud-ouest d’une espace Feng Shui, il est par contre à éviter. Un espace contenant trop de brun pourrait amener ses locataires à manquer d’ambition et d’énergie; il est donc conseillé de toujours balancer le brun avec d’autres couleurs.

Bouchées
  • 2.5oz chocolat mi-sucré haché
  • ⅓ t. cassonade
  • ½ t. beurre
  • 1 œuf
  • ½ c. à thé vanille
  • ¼ t. + 2 c. à table farine
  • Pincée de sel
  • Quelques gouttes d’essence de menthe
Glace
  • 1.5oz chocolat blanc haché
  • Quelques gouttes d’essence de menthe
  • Quelques goutte de colorant vert (facultatif)
  • Paillettes de chocolat (décoration)
Pour les bouchées

Au bain-marie, faire fondre le chocolat, la cassonade et le beurre jusqu’à bien liquides.

Retirer du bain-marie et laisser tiédir quelques minutes.

Ajouter l’œuf et la vanille et mélanger doucement à l’aide d’une maryse.

Lorsque bien lisse, ajouter à la base de chocolat, la farine et le sel et bien remuer à nouveau, très doucement avec une maryse.

Transférer l’appareil dans 16 cavités d’un moule à minis muffins, préalablement beurrés.

Poser le moule sur une plaque de cuisson et faire cuir au four sur la grille du centre, à 350° pendant 10 à 12 minutes.

Démouler et laisser complètement refroidir avant de glacer.

Pour la glace

Dans un petit bol, déposer le chocolat blanc et le passer au four micro-ondes environ 45 sec.

Mélanger le chocolat afin de faire fondre les parties solides restantes (au besoin, repasser au four micro-ondes quelques secondes supplémentaires).

Ajouter le colorant et l’essence de menthe au chocolat fondu et tremper les bouchées de brownies au goût.

Déposer sur une plaque à cuisson tapissée de papier ciré et saupoudrer de paillettes de chocolat si désiré.

Mettre au frigo quelques minutes afin de faire raffermir le chocolat plus rapidement.

Source: Baking, From My Home to YoursDorie Greenspan – déclinaison


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Râbles de lapin à la crème d'ail au cari


L’utilité de créer le Bugs Bunny n’était autre que de fournir un personnage antagoniste pour le chasseur Porky Pig. En 1938, «Porky’s Hare Hunt» fit donc son apparition en salle, mettant en vedette Porky et Bugs, pour la première fois. L’histoire est en fait un calque évident du film sorti l’année précédente, alors que Daffy était l’antagoniste de Porky dans «Porky’s Duck Hunt»! Mais à cette époque, Bugs était tout blanc, bien plus petit et affichait des traits beaucoup plus «lagomorphes» que ceux que nous lui connaissons aujourd'hui. Son caractère par contre, son esprit futé, sa débrouillardise et l’amusement cinglant avec lequel il prenait plaisir à démolir son adversaire, ressemblaient en tout point au Bugs moderne. Au cours de ces premières années, Bugs Bunny évolua dans différentes directions, mais finit par se présenter, très similaire à ce qu’on connaît de lui aujourd'hui, aux Oscars de 1940, pour le film «Wild Hare». C’est dans ce film d’ailleurs, que Bugs grignota sa première carotte et embrassa Elmer Fudd pour la première fois en prononçant la phrase qui allait devenir culte: «Eh, what’s up Doc?». La seule pièce manquante à l’époque, restait son nom. On faisait référence à son personnage en tant que «Bugs» depuis le tout début, mais ce n’est que dans «Elmer’s Pet Rabbit» sorti en 1941, qu’on l’appela ainsi au grand écran. Bugs a aussi été nominé pour un Oscar, dans «Hiawatha’s Rabbit Hunt» en 1942, mais ce n’est qu’en 1958 qu’il remporta finalement son premier Oscar, pour «Knighty-Knight Bugs». Le dernier film de Bugs sorti en 1964, «False Hare», prouvait qu’en près de 30 ans, Bugs Bunny n’a jamais perdu de sa vivacité. Il continue actuellement d’apparaître à la télévision, non seulement dans des dessins animés, mais aussi dans diverses publicités et autres longs métrages tels que «Space Jam» avec Michael Jordan, «Looney Tunes» et «Looney Tunes, Back in Action» avec Brendan Fraser. En bandes dessinées, Bugs n’a jamais réellement eu la cote; il apparut dans divers bandes dessinées de journaux et d’autres magazines, mais aucune n’est arrivée à bien saisir son personnage; il n’y avait alors aucun artiste ou auteur de renom associé à Bugs. Plus récemment, son personnage de bande dessinée fut ravivé en apparaissant régulièrement dans le mensuel Looney Tunes Comics, quelques fois dans des parutions spéciales qui lui étaient dédiées et une fois même, en tant que vedette aux côtés de Superman. On peut encore aujourd’hui profiter de Bugs à travers diverses émissions de télé et publicités; décidément, Bugs ne semble aucunement vouloir abandonner le vedettariat.

Évolution du personnage de Bugs Bunny au cours des années
1938 - 1939 - 1940 - 1948/aujourd'hui

  • 2 râbles de lapin désossés
  • 2 c. à table huile
  • Sel poivre au goût
  • Quelques branches de thym frais
  • 1 t. crème 15%
  • 10 gousses d’ail coupées en deux
  • 2 c. à thé cari (ou au goût)
  • 1 c. à table beurre
Dans un grand poêlon, faire chauffer l’huile sur un feu moyen-fort et y faire dorer les râbles de tous les côtés.

Saler et poivrer au goût, baisser le feu à à doux, couvrir et laisser cuire doucement pendant une vingtaine de minutes.

Pendant ce temps, dans une casserole, porter à ébullition la crème et les gousses d’ail sur un feu modéré.

Aux premiers bouillons, baisser le feu à doux et laisser frémir pendant 15 minutes.

Passer la crème d’ail au mélangeur-plongeur ou au blender jusqu'à bien lisse et ajouter le cari.

Remettre la crème d’ail au cari sur un feu doux et laisser réduire 10 minutes supplémentaires.

Saler et poivrer au goût la crème d’ail au cari et la verser dans le poêlon sur les râbles de lapin.

Ajouter le beurre et laisser mijoter encore 5 minutes.

Source : iSaveurs! - déclinaison

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Bundt classique aux bananes et bleuets, glacé à l'orange


Recette suggérée par Mary de The Food Librarian
dans le cadre de ma soixante-quatrième participation aux TWD

Les villages A et B sont séparés par 1000km.
Dans le village A se trouvent 3000 bananes.
Un éléphant doit transporter les bananes du village A au village B.
Ce même éléphant ne peut transporter plus 1000 bananes à la fois et pour avoir assez de force pour effectuer le transport, il doit manger une banane à chaque kilomètre parcouru.
Combien de bananes seront transportées dans le village B et comment?

RÉPONSE:

L’éléphant transportera au total 533 bananes jusqu’au village B.

Il prendra au départ 1000 bananes pour faire 200km, en laissera 600 à ce point, puis reviendra au village A (1000-200-200=600 bananes se trouvent à 200km).

Il prendra à nouveau 1000 bananes, pour faire une seconde fois un trajet de 200km, en laissera 600 autres sur place et reviendra au village A (1000-200-200=600) (600+600=1200 bananes se trouvent à 200km).

Il prendra les dernières 1000 bananes pour les emmener à 200km avec les autres.
(1000-200=800) (800+1200=2000 bananes se trouvent à 200km).

À ce point, il prendra 1000 bananes et fera 333km, laissera 334 bananes sur place et retournera vers les 1000 bananes restantes. (1000-333-333=334 bananes se trouvent à 533km).

Il prendra les 1000 bananes restantes et les emmènera à 333km de là.
(1000-333=667) (334+667=1001 bananes se trouvent à 533km).

À ce point, il prendra 1000 bananes et fera les 467km restants vers le village B.
(1000-467=533 bananes arrivées au village B).

On retrouvera donc 533 bananes au village B et une banane restante pourrira à 467km du village B!

Bundt
  • 3 t. farine
  • 2 c. à thé bicarbonate de sodium
  • Pincée de sel
  • 1 t. beurre à température ambiante
  • 2 t. sucre
  • 1 c. à table vanille
  • 2 œufs à température ambiante
  • 4 bananes mûres bien pilées
  • 1 t. crème sure
  • 1 t. bleuets séchés
Glace
  • 1 t. sucre glace
  • 2 c. à table jus d’orange fraîchement pressé
  • Zeste d’une orange
Pour le bundt

Dans une bol, bien mélanger la farine, le bicarbonate de sodium et le sel, réserver.

Dans une grande jatte, à l’aide d’un batteur électrique, bien battre le beurre jusqu’à crémeux.

Ajouter le sucre et battre jusqu’à pâles et mousseux, environ 3 minutes.

Ajouter la vanille et les oeufs, un à la fois en battant une minute après chaque addition.

Ajouter les bananes à vitesse réduite, jusqu’à bien incorporées.

Ajouter la moitié des ingrédients secs réservés, bien battre.

Ajouter la crème sûre et battre à nouveau.

Ajouter le reste des ingrédients secs et battre quelques minutes supplémentaires.

Incorporer les bleuets à l’aide d’une maryse et verser l’appareil dans un moule à bundt préalablement beurré.

Faire cuire au four* sur la grille du centre, à 350° de 60 à 75 minutes.

Laisser complètement refroidir à température ambiante, avant de glacer.

*Si le dessus de bundt semble trop brunir, le recouvrir avec un papier d’aluminium en fin de cuisson.

Pour la glace
Dans un bol, bien mélanger ensemble les ingrédients et verser sur le dessus du bundt pendant que le tout est encore bien liquide.

Source: Baking, From My Home to Yours - Dorie Greenspan - déclinaison

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Yogourt glacé aux bleuets


Les aliments riches en composés phytochimiques, tels que les bleuets, sont non seulement des choix nutritifs et sains, mais ils pourraient aussi renverser les problèmes de mémoire reliés à la vieillesse, telle est la conclusion d’une étude effectuée en Angleterre. Des bleuets furent ajoutés à la diète quotidienne des sujets de l’étude, pendant trois mois complets. Après trois semaines seulement, les chercheurs ont constaté une nette amélioration des capacités spatiales, des sujets. Ceci ne démontre pas seulement que les bleuets sont bons pour la santé, mais surtout que cet approche pourrait éventuellement augmenter la capacité de mémoire et la performance de chacun. Les bleuets sont une source importante de flavonoïdes, un composé métabolite secondaire retrouvé dans les fruits, les légumes et certains breuvages et qui exercent divers effets biochimiques et antioxydants bénéfiques. Les flavonoïdes ont démontré qu’ils pouvaient croiser la barrière du sang vers le cerveau, dans le cas de la consommation de bleuets. Comme la mémoire à court et à long terme est contrôlée par les neurones, à un niveau moléculaire des cellules du cerveaux, les chercheurs croient que les flavonoïdes retrouvés dans les bleuets peuvent aider à l’apprentissage et à la mémoire en bonifiant les connections nerveuses existantes, en améliorant la communication entre les cellules et en stimulant la régénération des neurones. Les chercheurs ont réussi à mettre le doigt sur la capacité des flavonoïdes à activer les protéines en alerte dans une zone spécifique de l’hippocampe, la partie responsable du contrôle de l’apprentissage et de la mémoire, dans le cerveau. Les chercheurs continueront d’investiguer les effets de diètes riches en flavonoïdes sur les individus souffrant de maladies cognitives et d’Alzheimer. D’après l’Alzheimer Association américaine, plus de 5.2 millions d’Américains vivent avec la maladie, et 10 millions de baby-boomers la développeront au cours de leur vie. L’association prédit qu’entre 11 et 16 millions de personnes seront atteinte d’ici 2050. Alors qu’aucune thérapie ne semble avoir fait preuve d’efficacité réelle à long terme, certaines substances naturelles semblent offrir une forme d’espoir. En plus des nouveaux résultats suggérant que les bleuets pourraient faire partie d’un traitement contre la perte de mémoire, une étude publiée antérieurement dans le Journal of Neuroscience, suggère que les acides gras oméga-3 retrouvés dans l’huile de poisson pourrait aussi jouer un rôle important dans la prévention de l’Alzheimer. Selon l’équipe de recherche de l’Université de Californie, l’acide gras oméga-3 appelé acide docosahexaènoïque augmenterait la production de LR11, une protéine déficitaire chez les patients atteints d’Alzheimer. LR11 est aussi capable de détruire la protéine qui forme les plaques associées à la maladie.
  • 1½ t. yogourt grec
  • ¾ t. sucre
  • 3 t. bleuets frais (ou congelés)
  • 1 c. à table vodka aux fruits (ou kirsch)
  • 2 c. à thé jus de citron frais
Dans la jarre du blender, déposer le yogourt, le sucre et les bleuets, pulvériser jusqu’à bien lisses.

Ajouter la vodka et le jus de citron, couvrir et réfrigérer pendant au moins 1H ou encore mieux, toute une nuit.

Verser le tout dans une sorbetière et turbiner selon les directives du manufacturier.

Transférer le yogourt glacé dans un contenant hermétique et mettre au congélateur le temps de raffermir.

Sortir une dizaine de minutes avant de servir.

Source : David Lebovitz - déclinaison


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