C'est bientôt l'automne, la déprime nous guète du coin de l'oeil, et les fruits frais coûteront bientôt beaucoup plus chers. Pour faire le plein de vitamines et surtout de bonne humeur, même par temps gris... rien de mieux qu'un classique de nos comfort-foods: le pouding au pain! Ici, rempli à craquer de pommes et d'amandes, il porte la moelleuse, riche et crémeuse promesse... de mettre du soleil dans votre journée!
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Ciabatta sans pétrissage
On s’imagine dans la Sicile de 1860, vers l’heure du déjeuner. L’héroïsme de Garibaldi est en train de forger une société moderne à partir de sang, de poudre à canon et d’acier, mais la faim commence à nous tourmenter. Dommage que le Resorgimento ne soit pas dans la huche à pain. À la place, on s’imagine plus tôt, dans un village toscan vers 1480, à l’heure du thé. Alors que la peinture est à peine sèche sur les tableaux de la Renaissance, on se précipite au casse-croûte le plus près pour un encas et une lampée de Chianti. L’encas? Probablement du fromage de chèvre, des tranches de jambon sec accompagnées d’une poignée d’olives, sans aucun doute servis avec un généreux morceau de ciabatta bien doré, fierté des paysans à la peau desséchée par le soleil, essence même des tables italiennes depuis que les Visigoths ont dégommé Rome. Ou peut-être pas. Dans la vie, comme au royaume du pain, tout n’est pas toujours comme il parait, puisque l’ancêtre d’au moins une forme de ciabatta, le long pain rustique qui tire son nom de la pantoufle à laquelle il ressemble supposément, ne prend pas racine à l’ère de la Chapelle Sixtine, mais plutôt pendant les beaux jours de Bananarama. En clair, l’âme du pain ciabatta ne date que des années ’80. Il faut suivre l’odeur du pain jusqu’à Venise, dans une petite ville appelée Adria, pour apprendre qu’à l’heure où Israel envahie le Liban, où l’Angleterre cesse le feu contre les Îles Malouines, une petite troupe d’experts enfarinés se réunit dans un moulin. Parmi eux, Arnaldo Cavallari, un meunier d’une quarantaine d’années, est très excité à l’idée d’avoir à créer un pain aussi viable commercialement, que la baguette française, dont les importations faramineuses menacent de monopoliser le lucratif marché du sandwich italien. Après des semaines de tests à essayer de raffiner et d’adapter des recettes régionales existantes, Cavallari trouve enfin la perfection dans un pain applaudit comme celui qui sauva l’Italie et bouleversa le monde du sandwich, le ciabatta polesano. Heureux d’avoir enfin touché le ciel, Cavallari fait breveter son pain en 1989. Mais d’après certaines autorités, le pain ciabatta existe déjà depuis plusieurs générations. Cavallari met au défi ceux qui croient l’avoir consommé dans les années ’40, de faire connaître leur source. On demande donc à des critiques de se prononcer sur ce nouveau pain aux airs de vieux revampé. Ceux-ci estiment que tous les pains utilitaires, soit ceux qui sont dessinés dans le but de recevoir une garniture, datent des 50 dernières années. Cela est pas un mal en soit, puisque l’expérimentation en boulangerie, n’est jamais dénigrée. Au final, le pain ciabatta doré, goûteux, craquant et aisément empilé, est parfait pour ceux qui n’aiment pas le pain et adorablement imparfait pour ceux qui le chérissent.
- 4 tasses farine tout usage
- ¼ cuillerée à thé levure instantanée
- 2 cuillerées à thé sel
- ⅓ tasse huile d’olive
- 1⅔ eau tiède (un peu plus au besoin)
- Huile et farine de maïs pour la cuisson
Dans une grande jatte, bien mélanger tous les ingrédients, jusqu’à l’obtention d’une pâte épaisse et collante.
Recouvrir la jatte d’une feuille de papier d’aluminium et laisser lever pendant 18H, à température ambiante.
Transférer la pâte sur une surface enfarinée, saupoudrer le dessus de la pâte de farine et la façonner doucement avec les mains, de façon à obtenir un rectangle d’environ 10x12’’ (lors du façonnage, saupoudrer à nouveau de farine, les endroits trop collants de la pâte).
Préparer une plaque de cuisson enduite d’un peu d’huile et généreusement saupoudrer de farine de maïs, réserver.
Couper 6 petits rectangles dans la pâte, à l’aide d’une corne et transférer ces portions sur la plaque de cuisson réservée.
Couvrir les pâtons d’un linge propre et laisser à nouveau lever, pendant 1H.
Préchauffer le four à 425°, en prenant soin de poser un plat rempli d’eau sous la grille du bas.
Saupoudrer les pâtons d’un peu de farine et les faire cuire au four sur la grille du centre, pendant 20 à 25 minutes en vaporisant un peu d’eau dans le four, au moment d’enfourner.
Laisser tiédir quelques instants, avant de garnir.
Pain de maïs aux pommes et oignons caramélisés, parfumé à l'érable
Une nouvelle crise se dessine, une catastrophe globale qui affectera et handicapera le monde entier, de façon bien plus redoutable que tout ce qu’il a subit jusqu’à maintenant. Le resserrement du crédit et les conséquences de la fluctuation du prix du pétrole paraîtront infimes en comparaison avec ce qui se produira; la question n’est pas de savoir si cette crise arrivera, mais bien quand elle arrivera. Le prix à la hausse de la nourriture, ces dernières années, continuera d’augmenter entre autres pour la viande et les produits laitiers dans des pays comme la Chine et l’Inde où la classe moyenne est en pleine expansion. Le plus grand défi ne sera plus de maintenir le baril de pétrole à $100, mais plutôt de produire assez de nourriture pour que la classe moyenne de ces pays puissent manger comme la classe moyenne des pays d’Amérique et d’Europe, ce qui signifie qu’il faudra dramatiquement développer la production agricole actuelle. L’impact de plus en plus évident d’un stock agricole restreint se fait sentir; le prix de la nourriture en général a augmenté de 22% depuis 2006 et de 7% au courant de l’année dernière seulement. Le prix du blé à lui seul, a augmenté de 92% en 2008. Mais au centre de cette catastrophe alimentaire, se trouve le maïs, la principale denrée de l’industrie de l’éthanol. Le prix du maïs a augmenté de 44% en un peu moins de deux ans et cette augmentation n’affecte pas que le grain lui-même, mais aussi le prix de la viande avec lequel on la nourrit. Les problèmes seront majeurs dans les régions où la nourriture manque, parce que les pays désireux d’exporter leurs stocks il y a peu de temps, créer à présent des embargos sur leurs exportations; ceux qui ont un système agricole bien développé auront l’avantage. Avec 54% du total mondial de maïs cultivé, les États-Unis font partie de ceux qui profiteront de cet avantage. Mais l’exportation du maïs américain sera en péril, si le pays continue de mettre l’emphase sur sa production d’éthanol, la production de biocarburants dévorant déjà plus de 30% de sa récolte annuelle. Il existe environ deux douzaines de producteurs dans le monde, qui redéfiniront le garde-manger mondial et leurs stocks prendront alors une valeur inestimable. Pour produire assez de maïs, les agriculteurs de la planète devront augmenter leur production à 200 plants de maïs par acre, soit 170 de plus qu’ils n’en produisent actuellement et certains croient que cette augmentation ne sera possible qu’en utilisant des semences génétiquement modifiées.
Dans un bol, bien mélanger la farine de maïs au babeurre, réserver.
Dans un bol, bien mélanger la farine, la poudre à pâte, le bicarbonate et le sel, réserver.
Dans une jatte, battre les œufs jusqu’à pâles et épais, environ 3 à 4 minutes.
Ajouter le sucre et le sirop d’érable, continuer de battre jusqu’à crémeux.
Ajouter le fromage à la crème et battre à nouveau jusqu’à très bien incorporé.
Ajouter le beurre et battre encore quelques instants.
Ajouter les ingrédients secs au mélange d’œufs en deux étapes et en alternant avec le mélange de babeurre, en prenant de commencer et terminer avec les ingrédients secs.
À l’aide d’une maryse, plier les oignons caramélisés et les pommes séchées dans l’appareil obtenu.
Verser le tout dans un moule carré de 8x8’’ préalablement beurré ou tapissé de papier parchemin.
Faire cuire au four sur la grille du centre, à 350° pendant 30 minutes, ou jusqu’à ce qu’un cure-dent inséré au centre du pain en ressorte propre.
Laisser tiédir quelques minutes avant de démouler et complètement avant de couper en cubes pour servir sur une salade verte, si désiré.
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- 1 gros oignon haché
- 2 cuillerées à table beurre
- ½ tasse farine de maïs (la plus grossière)
- 1 tasse babeurre
- 1 tasse farine
- ¾ cuillerée à table poudre à pâte
- Pincée de bicarbonate de sodium
- Pincée de sel
- 2 œufs
- ¼ tasse sucre d’érable
- 1 cuillerée à table sirop d’érable
- 3oz fromage à la crème à température ambiante
- 1 cuillerée à table beurre fondu tiédi
- ¾ tasse pommes séchées hachées
Dans un bol, bien mélanger la farine de maïs au babeurre, réserver.
Dans un bol, bien mélanger la farine, la poudre à pâte, le bicarbonate et le sel, réserver.
Dans une jatte, battre les œufs jusqu’à pâles et épais, environ 3 à 4 minutes.
Ajouter le sucre et le sirop d’érable, continuer de battre jusqu’à crémeux.
Ajouter le fromage à la crème et battre à nouveau jusqu’à très bien incorporé.
Ajouter le beurre et battre encore quelques instants.
Ajouter les ingrédients secs au mélange d’œufs en deux étapes et en alternant avec le mélange de babeurre, en prenant de commencer et terminer avec les ingrédients secs.
À l’aide d’une maryse, plier les oignons caramélisés et les pommes séchées dans l’appareil obtenu.
Verser le tout dans un moule carré de 8x8’’ préalablement beurré ou tapissé de papier parchemin.
Faire cuire au four sur la grille du centre, à 350° pendant 30 minutes, ou jusqu’à ce qu’un cure-dent inséré au centre du pain en ressorte propre.
Laisser tiédir quelques minutes avant de démouler et complètement avant de couper en cubes pour servir sur une salade verte, si désiré.
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Bouillon d'idées :
cakes,
déjeuner,
entrées,
entrées froides,
farine de maïs,
oignons,
pain,
petit déjeuner,
pommes séchées
"Grilled cheese" à la compote de poires et d'oignons
Les historiens culinaires s’entendent généralement pour affirmer que la combinaison pain grillé et fromage, qu’elle soit de formes, de textures ou de saveurs différentes, est un plat connu depuis fort longtemps sur la plupart des continents et dans la majorité des cultures. On retrouve les premières recettes écrites et faisant référence à cette combinaison de pain et de fromages, dans d’anciens livres de recettes romains, et le grilled cheese moderne descendrait vraisemblablement de ces recettes. Mais qui a inventé le grilled cheese que l’on connaît aujourd’hui? Nul ne le saura, cependant il est possible de placer le grilled cheese moderne sur la ligne du temps. À l’évidence, le grilled cheese moderne composé de pain blanc tranché et de fromage fondu, aurait fait ses débuts dans les années '20. À cette époque, le pain tranché commençait tout juste à être abordable et le fromage américain peu cher, faisait son entrée dans les commerces. Les livres de bord remplis par les cuisiniers militaires du gouvernement américain, font d’ailleurs mention de centaines de "sandwiches au fromage" qui auraient été grillés à bord des navires, pendant la Seconde Guerre. Ces données font beaucoup de sens puisque ce sandwich était économique, facile à préparer, savoureux lorsque bien fait et surtout, il rencontrait les standards nutritionnels gouvernementaux. Au courant des années '40 et '50, ces sandwiches s’ouvrirent pour ressembler aux croques français; ceux-ci devinrent très populaires auprès des cafétérias scolaires et institutionnelles. Plus tard encore, dans les années ’60, la tranche de pain supérieure refit son apparition et devint le standard. Pourquoi? La raison n’est pas claire, mais l’on croit qu'il y a 50 ans, elle était la façon la plus économique de rendre le sandwich plus bourratif. Certaines personnes depuis, s’interrogent sur la différence entre un grilled cheese et un sandwich au fromage toasté. Sont-ils identiques? En apparence, les deux recettes donnent des résultats très similaires: du fromage fondu entre deux tranches de pain beurrées, tièdes et croustillantes. Mais les historiens affirment que le pain toasté est obtenu en le faisant griller devant une source de chaleur sèche telle un feu ou des braises, remplacés aujourd’hui par le grille-pain. Le pain grillé pour sa part est obtenu en la faisant cuire devant une chaleur irradiante, comme lorsque l’on fait cuire une pièce de viande sur ou sous un grill (les Nord-Américains disent "broil "). Un sondage des livres de recettes américains, révèle que le sandwich au fromage toasté aurait précédé le populaire grilled cheese; le terme écrit "grilled cheese" ne fait d'ailleurs pas son apparition avant les années '60. Mais il semble que ces anciennes recettes faisaient référence à un sandwich au fromage cuit sous le grill (ou « broil » pour les Américains). Et pour compliquer les choses davantage, il semble qu’il n’existe aucune corrélation entre le nom de la recette et la façon de l’apprêter; les méthodes de cuisson incluent à la fois le grill, le four, le poêlon et tout autre appareil similaire. Il est intéressant de noter qu’aucune livres de recettes recensés ne fait mention de "fried cheese", même si la méthode de nombreuses recettes était telle.
Baisser le feu à moyen-doux, ajouter les lamelles de poires, saupoudrer le sucre et le thym et continuer de la cuisson pendant une dizaine de minutes en remuant de temps à autres, jusqu’à ce que le tout ait légèrement compoté, réserver.
Beurrer une tranche de pain aux oignons et la poser face beurrée vers le bas, sur une assiette.
Garnir le pain des fromages finement tranchés, de la quantité désirée de compote réservée, de lanières de jambon et refermer enfin le sandwich d’une seconde tranches de pain beurré, côté beurré vers le haut.
Faire cuire le sandwich dans un poêlon chauffé sur un feu moyen-doux, environ 5 minutes de chaque côté, en prenant soin de presser le sandwich à quelques reprises, à l’aide d’une spatule.
Trancher en deux, piquer d’olives et de caperons géants ou autres garnitures, au goût.
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- 1 poire ferme parée tranchée en lamelles
- 1 oignon moyen
- 2 cuillerées à table beurre
- 1 cuillerée à thé sucre
- 1 cuillerée à thé thym séché
- Gruyère et emmental finement tranchés (brie, cantal, ou autres)
- 3 à 4 tranches jambon blanc "forêt noire"
- Pain tranché aux oignons
- Beurre
- Olives, caperons géants, oignons marinés, etc. (facultatif)
Baisser le feu à moyen-doux, ajouter les lamelles de poires, saupoudrer le sucre et le thym et continuer de la cuisson pendant une dizaine de minutes en remuant de temps à autres, jusqu’à ce que le tout ait légèrement compoté, réserver.
Beurrer une tranche de pain aux oignons et la poser face beurrée vers le bas, sur une assiette.
Garnir le pain des fromages finement tranchés, de la quantité désirée de compote réservée, de lanières de jambon et refermer enfin le sandwich d’une seconde tranches de pain beurré, côté beurré vers le haut.
Faire cuire le sandwich dans un poêlon chauffé sur un feu moyen-doux, environ 5 minutes de chaque côté, en prenant soin de presser le sandwich à quelques reprises, à l’aide d’une spatule.
Trancher en deux, piquer d’olives et de caperons géants ou autres garnitures, au goût.
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Macaroni au fromage à la toscane
À travers la région toscane, on retrouve des petites perles de villages qui ne cessent de surprendre le visiteur, à chaque détour: certaines petites églises referment de grands chefs-d’œuvres, les trattorias recèlent des meilleures recettes toscanes et dans les minuscules ateliers, les traditions artisanales respirent toujours. De la Terre di Arezzo, à travers la Terre Senesi et jusqu’à la campagne Maremme, il existe des endroits qui semblent avoir été figés dans le temps, où les vraies saveurs et l’atmosphère du passé tiennent bon. Enchanteresse, avec ses montagnes déferlantes et ses inoubliables panoramas, l’atmosphère médiévale de Montefioralle dans le Chianti, envoûte les visiteurs, la nourriture y est extraordinaire et les nombreuses fermes de la vallée donne naissance au Chianti Classico qui saura sans nul doute, éblouir. En suivant la route des vins pisans, on croise Montescudaio, une autre excellente production AOC. Mais le nectar des dieux n’est pas la seule raison de visiter la Toscane, ici, la nourriture, le vin, mais aussi l’histoire, s’unissent pour créer l’unique expérience. Célébrée non seulement pour ses contes de fée, mais aussi pour les couloirs, les tours, les tapis, les tuiles et les églises romanesques de ses centres historiques, la campagne de Aretine plonge ses visiteurs dans des temps médiévaux avec ses forteresses de Anghiari, de Catelsfranco di Sopra et de Loro Ciuffena. Au cœur de Casentino, le plus beau village de Toscane, l’immanquable profil de Poppi, se dessine au centre de ses splendeurs médiévales. En continuant vers Mugello, on croise Scarperia, un ensemble fortifié, protégé par deux immenses murs, qui abritent l’inestimable joyau architectural du 14e siècle, le Palazzo Vicaro. Dans la vallée du Serchio, un territoire riche de stations thermales, Barga et Coreglia Alteminelli unissent la nature à l’histoire en proposant des itinéraires incroyables, visant à faire découvrir le bijou de Toscane, les Alpes apuanes. Avec comme toile de fond bucolique les Apennins pistoians, encerclé par la forêt et de grands sommets, se trouve Cutigliano. La nature, la cuisine et les panoramas à couper le souffle, y sont accompagnés d’un héritage historique à ne pas manquer. Au centre de la campagne terreuse de Crete Senesi, un passage autrefois utilisé par la Via Francegena, quelques arrêts s’imposent: Buonconvento et Cetona, un des villages aux origines étrusques, du Val de Chiana. Dans une des perles de l’archipel toscan, où la mer, le ciel et la terre sont unis telles les couleurs de la palette du peintre, Giglio Castello règne sur l’horizon. La campagne Maremme offre elle aussi des panoramas rappelant celle des éleveurs toscans; un endroit suspendu dans le temps où dans les villages fortifiés de Pitigliano et Sorano, ainsi que dans la nécropole de Sovana, il est toujours possible d’admirer le majestueux témoignage de la civilisation étrusque.

Campagne toscane
Dans un poêlon, faire cuire la chair à saucisse sur un feu modéré, jusqu’à ce que celle-ci perde sa couleur rosée, transférer le tout dans une grande jatte avec les pâtes réservées.
Ajouter le pain, le fromage à la crème, les olives et la mozzarella, à l’aide d’une cuillère de bois, mélanger jusqu’à ce que le fromage à la crème enrobe bien tous les autres ingrédients, réserver.
Dans le même poêlon, faire fondre le beurre sur un feu modéré et y saupoudrer la farine.
Ajouter la sauge, le thym et le poivre de Cayenne, laisser cuire en remuant de temps à autre, jusqu’à ce que le tout dore et prenne une couleur ambrée.
Ajouter le lait d’un coup, augmenter le feu à moyen-fort et porter à ébullition en remuant constamment.
Aux premiers bouillons, retirer du feu, saler et poivrer au goût et verser sur le mélange de pâte réservé et touillant le tout légèrement.
Transférer le tout dans un grand plat allant au four, couvrir de papier d’aluminium et faire cuire au four sur la grille du centre, à 350° pendant 35 minutes.
Retirer le papier d’aluminium, tapisser le dessus des pâtes de fines tranches de tomates, parsemer le Pecorino et remettre au four, sous le grill pendant 15 minutes ou jusqu’à bien doré.
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Campagne toscane
- 2 tasses pâtes courtes (coudes, fusili, coquilles, etc)
- ½ livre chair à saucisse italienne
- 2 tasses pain italien coupé en gros cubes (fougasse, ciabatta ou autres)
- 1 paquet fromage à la crème type Philadelphia coupé en cubes (8oz)
- ¾ tasse olives noires dénoyautées
- 1 tasse mozzarella râpé (ou autre fromage au goût)
- 1 cuillerée à table beurre
- 1 cuillerée à table farine
- 1 cuillerée à thé sauge séchée
- 1 cuillerée à thé thym séché
- ½ cuillerée à thé poivre de Cayenne
- 1½ tasse lait
- Sel et poivre au goût
- 1 tomate bien mure finement tranchée
- ½ tasse Pecorino râpé
Dans un poêlon, faire cuire la chair à saucisse sur un feu modéré, jusqu’à ce que celle-ci perde sa couleur rosée, transférer le tout dans une grande jatte avec les pâtes réservées.
Ajouter le pain, le fromage à la crème, les olives et la mozzarella, à l’aide d’une cuillère de bois, mélanger jusqu’à ce que le fromage à la crème enrobe bien tous les autres ingrédients, réserver.
Dans le même poêlon, faire fondre le beurre sur un feu modéré et y saupoudrer la farine.
Ajouter la sauge, le thym et le poivre de Cayenne, laisser cuire en remuant de temps à autre, jusqu’à ce que le tout dore et prenne une couleur ambrée.
Ajouter le lait d’un coup, augmenter le feu à moyen-fort et porter à ébullition en remuant constamment.
Aux premiers bouillons, retirer du feu, saler et poivrer au goût et verser sur le mélange de pâte réservé et touillant le tout légèrement.
Transférer le tout dans un grand plat allant au four, couvrir de papier d’aluminium et faire cuire au four sur la grille du centre, à 350° pendant 35 minutes.
Retirer le papier d’aluminium, tapisser le dessus des pâtes de fines tranches de tomates, parsemer le Pecorino et remettre au four, sous le grill pendant 15 minutes ou jusqu’à bien doré.
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Sandwiches Monte-Cristo
Recette aussi publiée sur le blogue d'inspiration de Canal-vie
[…] Et tous deux s'acheminèrent d'un pas rapide vers l'endroit indiqué. Arrivés là, ils se firent apporter une bouteille et deux verres. Le père Pamphile venait de voir passer Dantès il n'y avait pas dix minutes. Certains que Dantès était aux Catalans, ils s'assirent sous le feuillage naissant des platanes et des sycomores, dans les branches desquels une bande joyeuse d'oiseaux chantaient un des premiers beaux jours de printemps. À cent pas de l'endroit où les deux amis, les regards à l'horizon et l'oreille au guet, sablaient le vin pétillant de La Malgue, s'élevait, derrière une butte nue et rongée par le soleil et le mistral, le village des Catalans.
Alexandre DUMAS, extrait de Le Compte de Monte-Cristo
Bien que l’origine de ce sandwich soit quelque peu mystérieuse, la plupart s’entendent pour dire qu’il serait un dérivé du croque-monsieur français. Il aurait fait ses débuts dans le Sud de la Californie vers les années ‘40 et n’aurait vraisemblablement rien à voir avec le personnage mythique du roman d’Alexandre Dumas père, le Comte de Monte-Cristo. En effet dans le cas du sandwich, le nom 'Monte-Cristo' ne serait qu’une corruption linguistique volontaire de 'Croque-Monsieur'. Popularisé par le restaurant Blue Bayou de Disneyland dans les années ’60, le fameux sandwich ne cesse d’acquérir de nouveaux adeptes depuis ce temps. D’ailleurs, plusieurs restaurants et bistros contemporains américains l’inscrivent fièrement depuis quelques années, à la tête de leur menu.
Pour 4 sandwiches
[…] Et tous deux s'acheminèrent d'un pas rapide vers l'endroit indiqué. Arrivés là, ils se firent apporter une bouteille et deux verres. Le père Pamphile venait de voir passer Dantès il n'y avait pas dix minutes. Certains que Dantès était aux Catalans, ils s'assirent sous le feuillage naissant des platanes et des sycomores, dans les branches desquels une bande joyeuse d'oiseaux chantaient un des premiers beaux jours de printemps. À cent pas de l'endroit où les deux amis, les regards à l'horizon et l'oreille au guet, sablaient le vin pétillant de La Malgue, s'élevait, derrière une butte nue et rongée par le soleil et le mistral, le village des Catalans.
Alexandre DUMAS, extrait de Le Compte de Monte-Cristo
Bien que l’origine de ce sandwich soit quelque peu mystérieuse, la plupart s’entendent pour dire qu’il serait un dérivé du croque-monsieur français. Il aurait fait ses débuts dans le Sud de la Californie vers les années ‘40 et n’aurait vraisemblablement rien à voir avec le personnage mythique du roman d’Alexandre Dumas père, le Comte de Monte-Cristo. En effet dans le cas du sandwich, le nom 'Monte-Cristo' ne serait qu’une corruption linguistique volontaire de 'Croque-Monsieur'. Popularisé par le restaurant Blue Bayou de Disneyland dans les années ’60, le fameux sandwich ne cesse d’acquérir de nouveaux adeptes depuis ce temps. D’ailleurs, plusieurs restaurants et bistros contemporains américains l’inscrivent fièrement depuis quelques années, à la tête de leur menu.
Pour 4 sandwiches
- 8 tranches de pain ferme
- 2 c. à table beurre mou
- 8 fines tranches de jambon fumé
- 2 c. à table moutarde à l’ancienne
- 4 fines tranches de gruyère ou d’emmental
- 2 c. à table mayonnaise
- 8 fines tranches de dinde pressée
- 2 œufs
- 2 c. à table lait
- 1 c. à table moutarde de Dijon
- Sel et poivre au goût
- 2 c. à table huile d’olive
- 2 c. à table beurre
- Quelques olives vertes farcies au poivron (facultatif)
- Sirop d’érable, confitures ou compotes de fruits diverses au choix (facultatif)
Monter les sandwiches dans l’ordre suivant: tranche de pain beurrée, 2 tranches de jambon, moutarde à l'ancienne, 1 tranche de fromage gruyère (ou emmental), mayonnaise, 2 tranches de dinde pressée et enfin, la seconde tranche de pain beurrée.
Dans une grande assiette creuse, battre les oeufs, le lait et la moutarde de Dijon, saler et poivrer au goût.
Faire chauffer l'huile et le beurre dans un grand poêlon, à feu doux.
Tremper chaque côté des sandwiches rapidement dans le mélange d'oeufs et les déposer dans le poêlon chaud.
Faire dorer les sandwiches environ 2 minutes de chaque côté ou jusqu’à bien dorés.
Couper les sandwiches en triangles, piquer d'olives vertes et servir tièdes accompagnés de confiture, de compote ou de sirop pour faire trempette.
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Dans une grande assiette creuse, battre les oeufs, le lait et la moutarde de Dijon, saler et poivrer au goût.
Faire chauffer l'huile et le beurre dans un grand poêlon, à feu doux.
Tremper chaque côté des sandwiches rapidement dans le mélange d'oeufs et les déposer dans le poêlon chaud.
Faire dorer les sandwiches environ 2 minutes de chaque côté ou jusqu’à bien dorés.
Couper les sandwiches en triangles, piquer d'olives vertes et servir tièdes accompagnés de confiture, de compote ou de sirop pour faire trempette.
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Pouding au pain 4 étoiles, à la banane et au chocolat
Recette suggérée par Lauren de Upper East Side Chronicle
dans le cadre de la quarante-neuvième participation aux TWD
Votre pain contient-il des cheveux humains? Je ne vous demande pas si un de vos cheveux serait malencontreusement tombé dans la farine avec laquelle vous faite votre propre pain, mais plutôt si les acides aminées utilisées pour produire le pain que vous achetez en épicerie, contiennent des cheveux humains. Cela vous parait impensable? Qu’à cela ne tienne, sachez que certains des additifs utilisés dans les produits de boulangerie commerciale, contiennent bel et bien des cheveux humains! En effet, exception faite des pains dits «de grains entiers», on permet pour divers produits de boulangerie tels que les biscuits, les gâteaux et les pains, l’utilisation d’une farine connue sous l’appellation E920. Cette farine est additionnée d’un acide aminé appelé L-Cysteine qui lui est fabriqué à partir de sous-produits animaux tels que plumes, poils de porc et parfois même, cheveux humains; aujourd’hui on peut le produire synthétiquement, mais parait-il que l’utilisation de cheveux humains reste la plus riche source d’acides aminés possible puisqu’ils en contiennent 14%. Il existe une petite industrie en Chine qui produit différents additifs à partir de cheveux humains, mais en sommes nous vraiment surpris? Après la mélamine dans le lait, les cheveux dans le pain! Il ce trouve même qu’un rabbin aurait écrit un article sur le net à propos de l’acide aminé L-Cysteine, proclamant qu’il serait casher, en autant que les cheveux entrant dans sa composition ne viendraient pas de personnes décédées. Mais la question la plus importante étant «cet additif est-il utilisé chez plusieurs manufacturiers?». La réponse n’est pas claire, ni facile à obtenir, puisque la L-Cysteine aurait la propriété de complètement disparaître à la cuisson, ce qui n’obligerait pas les manufacturiers à en inscrire la présence au tableau des ingrédients. Les manufacturiers affirment ainsi, que cet additif ne constitue pas un ingrédient comme tel. Bien sûr, les agences de vérification de la qualité des aliments le nieront, en affirmant que le L-Cysteine doit absolument être inscrit au tableau des ingrédients, en plus de vous rassurer en insistant sur le fait que le L-Cystéine utilisé de nos jours serait le plus souvent d'origine synthétique, HUM? Et pour ceux qui aimeraient croire que l'utilisation du L-Cysteine serait spécifique à un pays en particulier, détrompez-vous. L'additif L-Cysteine est utilisé dans tous les pays où l'on retrouve quelque forme commerciale de pain que ce soit, sur les tablettes des supermarchés. Personne n'y échappe!
Dans une casserole à fond épais ou en cuivre, amener le lait et la crème à ébullition.
Pendant ce temps, dans une grande jatte, battre les œufs, les jaunes et le sucre au fouet à main.
Aux premiers bouillons du lait, retirer la casserole du feu et verser le quart du liquide dans le mélange d’œufs en battant constamment.
Ajouter le reste du lait et continuer de battre.
Ajouter le chocolat et battre à nouveau jusqu’à ce qu’il soit fondu.
Verser le tout sur les cubes de pain et laisser imbiber pendant 30 minutes en pressant de temps à autres, sur le dessus du pain afin de faire certain que les cubes seront bien imbibés.
Transférer le tout dans un plat allant au four d’environ 9x13", préalablement beurré.
Déposer le tout dans un second plat un peu plus grand et remplir celui-ci d’eau bouillante, jusqu’à la moitié du premier.
À nouveau, déposer ce bain-marie sur une plaque de cuisson et faire cuire au four sur la grille du centre, à 350° pendant 35 à 45 minutes ou jusqu’à ce que e pouding ait uniformément gonflé ou qu’un couteau inséré en son centre ressorte propre.
Servir chaud, tiède ou froid.
Source : Baking, From My Home to Yours - Dorie Greenspan - déclinaison
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- 12oz pain rassi coupé en cubes
- 3 à 4 bananes coupées en rondelles épaisses
- ⅔ t. raisins enrobés de chocolat
- 3 t. lait
- 1 t. crème 35%
- 3 œufs
- 4 jaunes d’œufs
- ½ t. sucre
- 6oz. chocolat mi-sucré finement haché
Dans une casserole à fond épais ou en cuivre, amener le lait et la crème à ébullition.
Pendant ce temps, dans une grande jatte, battre les œufs, les jaunes et le sucre au fouet à main.
Aux premiers bouillons du lait, retirer la casserole du feu et verser le quart du liquide dans le mélange d’œufs en battant constamment.
Ajouter le reste du lait et continuer de battre.
Ajouter le chocolat et battre à nouveau jusqu’à ce qu’il soit fondu.
Verser le tout sur les cubes de pain et laisser imbiber pendant 30 minutes en pressant de temps à autres, sur le dessus du pain afin de faire certain que les cubes seront bien imbibés.
Transférer le tout dans un plat allant au four d’environ 9x13", préalablement beurré.
Déposer le tout dans un second plat un peu plus grand et remplir celui-ci d’eau bouillante, jusqu’à la moitié du premier.
À nouveau, déposer ce bain-marie sur une plaque de cuisson et faire cuire au four sur la grille du centre, à 350° pendant 35 à 45 minutes ou jusqu’à ce que e pouding ait uniformément gonflé ou qu’un couteau inséré en son centre ressorte propre.
Servir chaud, tiède ou froid.
Source : Baking, From My Home to Yours - Dorie Greenspan - déclinaison
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pouding au pain,
poudings,
raisins,
Tuesdays With Dorie
Pouding au pain à la Reuben
Depuis toujours les ingrédients du classique sandwich Reuben, n’ont pas changés. D’ailleurs pourquoi altérer une combinaison gagnante telle que l’association de pain de seigle, «smoked meat», fromage Gruyère, choucroute marinée à la sauce Mille-Iles et moutarde de Dijon? L’immense succès de ce sandwich est encore de nos jours disputé par deux histoires concernant son origine, histoires qui d’ailleurs n’ont jamais pu être validées jusqu’à présent. L’une d’entre elle fait référence à Charles Schimmel, le propriétaire du Blackstone Hotel à Omaha au Nébraska. Celle-ci voudrait qu’en 1920, un très bon ami de Schimmel, Reuben Kolakofsky, en préparant des sandwichs pour ses amis de Poker, aurait manqué de laitue pour agrémenter ceux-ci. Il aurait donc tout simplement remplacé la laitue par de la choucroute. Kolakofsky, un épicier de gros, aurait aussi grillé les sandwichs, ce qui aurait eu pour effet d’atténuer le goût piquant de la choucroute et de faire fondre le Gruyère. Suite au succès du sandwich lors de la soirée de Poker, Schimmel ou peut-être son fils, inscrit éventuellement le fameux sandwich au menu de l'hotel où travaillait Fern Snider, en 1956. La serveuse connaissant l’enthousiasme de sa clientèle pour le «Reuben», l’inscrit au courant de l’année, au concours national des idées de sandwichs. Le Reuben remporta la première place et acquis dès lors, une incontestable popularité auprès des Américains. La seconde version de l’origine du Reuben, viendrait du fondateur du restaurant & delicatessen new yorkais, Reuben’s. Mais on croirait que celui-ci aurait utilisé du jambon au lieu du «smoked meat» et de la salade de chou, la «cole slaw» américaine. Le restaurateur de Manhattan aurait inventé ce sandwich en 1914, spécialement pour l’actrice Annette Seelos, qui sortait d’une séance de tournage avec Charlie Chaplin et qui, en entrant dans son restaurant, se serait écriée: «Reuben, fais-moi un gros sanwich! J’ai tellement faim, que le mangerais une brique!». Mais encore, cette histoire elle-même a une variante, celle où William Hamerly, un comptable de New York, aurait créé le sandwich en 1927, en l’honneur du proprio du Reuben’s, duquel il admirait énormément l’esprit charitable! Quoiqu’il en soit, le sandwich tient aujourd’hui une place de choix, un cran au-dessus de sa sœur le «Rachel», dans lequel le «smoked meat» (ou pastrami) est remplacé par du «corned beef» et la choucroute par de la salade de chou.
Transférer le tout dans une grand plat allant au four, préalablement beurré, réserver.
Dans une jatte, battre les œufs légèrement, ajouter le lait, la crème, la moutarde et l’ail, saler et poivrer, bien battre à nouveau et verser le tout sur le mélange de pain, «smoked meat», fromage et olives.
Parsemer des graines de carvi et laisser imbiber pendant au moins 15 minutes.
Faire cuire au four sur la grille du centre, à 350° pendant 45 minutes à 1H.
Servir chaud, tiède ou froid, avec de la choucroute et des cornichons à l’aneth.
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- 5 t. pain rassis coupé en cubes
- 5 fines tranches de «smoked meat» coupé en morceaux
- 1 t. fromage Gruyère coupé en cubes
- ½ t. olives vertes dénoyautées tranchées
- 3 œufs
- 1½ t. lait entier
- 1 t. crème 15%
- 3 c. à table moutarde à l’ancienne
- 3 gousses d’ail pressées
- Sel et poivre au goût
- 1 c. à table graines de carvi
Transférer le tout dans une grand plat allant au four, préalablement beurré, réserver.
Dans une jatte, battre les œufs légèrement, ajouter le lait, la crème, la moutarde et l’ail, saler et poivrer, bien battre à nouveau et verser le tout sur le mélange de pain, «smoked meat», fromage et olives.
Parsemer des graines de carvi et laisser imbiber pendant au moins 15 minutes.
Faire cuire au four sur la grille du centre, à 350° pendant 45 minutes à 1H.
Servir chaud, tiède ou froid, avec de la choucroute et des cornichons à l’aneth.
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Bouillon d'idées :
graines de carvi,
Gruyère,
moutarde,
oeufs,
olives,
pain,
pastrami,
plats principaux,
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smoked meat
Pain aux tomates, fromage et basilic
Recette aussi publiée sur le blogue d'inspiration de Canal-vie
Célébrée le 4e mercredi du mois d’août, depuis 1945, la « Tomatina » attire plus de 30 000 touristes chaque année dans la petite ville espagnole de Buñol, commune de Valence dans le Nord de l’Espagne. Née d’un malentendu entre groupes de jeunes, cette bagarre « à la tomate » fut prohibée par les autorités pendant plus de 7 ans au courant des années « Franco ». Mais la popularité de cette fête avait été telle, que dès les années ’70, la Plaza del Pueblo vit revenir des milliers de gantés armés de lunettes de protection, venus ...lancer la tomate!
« Tomate : un légume très timide qui rougit en prenant des formes. »
Maxime ALLAIN
Dans un autre bol, mélanger ensemble la farine, le basilic, le sel, le soda et la poudre à pâte.
Ajouter graduellement les ingrédients secs aux ingrédients liquides en alternant avec le jus de tomate: ajouter 1/3 farine et mixer, ajouter 1/3 jus et mixer, ajouter 1/3 farine et mixer, ajouter 1/3 jus et mixer, etc. bien battre au batteur électrique après chaque addition.
Incorporer le fromage et verser le tout dans un moule à pain légèrement beurré et enfariné.
Cuire au four à 350° pendant environ 45 minutes à 1 heure ou jusqu’à ce que le test du cure-dent réussisse.
Laisser refroidir au moins 5 minutes avant de démouler et trancher.
Source : Canadian Living Cook Book
Célébrée le 4e mercredi du mois d’août, depuis 1945, la « Tomatina » attire plus de 30 000 touristes chaque année dans la petite ville espagnole de Buñol, commune de Valence dans le Nord de l’Espagne. Née d’un malentendu entre groupes de jeunes, cette bagarre « à la tomate » fut prohibée par les autorités pendant plus de 7 ans au courant des années « Franco ». Mais la popularité de cette fête avait été telle, que dès les années ’70, la Plaza del Pueblo vit revenir des milliers de gantés armés de lunettes de protection, venus ...lancer la tomate!
« Tomate : un légume très timide qui rougit en prenant des formes. »
Maxime ALLAIN
- ½ t. beurre
- ¼ t. pâte de tomate
- 2 c. à table cassonade
- 2 œufs
- 2 t. farine
- 2 c. à thé basilic
- 1 c. à thé sel
- 1 c. à thé poudre à pâte
- 1 c. à thé soda à pâte
- ½ t. jus de tomate
- ½ t. fromage râpé (Gruyère, Emmental, Cheddar fort ou autre au choix)
Dans un autre bol, mélanger ensemble la farine, le basilic, le sel, le soda et la poudre à pâte.
Ajouter graduellement les ingrédients secs aux ingrédients liquides en alternant avec le jus de tomate: ajouter 1/3 farine et mixer, ajouter 1/3 jus et mixer, ajouter 1/3 farine et mixer, ajouter 1/3 jus et mixer, etc. bien battre au batteur électrique après chaque addition.
Incorporer le fromage et verser le tout dans un moule à pain légèrement beurré et enfariné.
Cuire au four à 350° pendant environ 45 minutes à 1 heure ou jusqu’à ce que le test du cure-dent réussisse.
Laisser refroidir au moins 5 minutes avant de démouler et trancher.
Source : Canadian Living Cook Book
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Pain aux bananes et noix "Homes & Gardens 1962"
"Hé! psst... t'as une banane dans l'oreille!"
"Hein, quoi? qu'est-ce que tu dis?"
"T'as une banane dans l'oreille!"
"Comment?"
"Je te répète que tu as une banane dans l'oreille!"
"Pardon, veux-tu répéter?"
"TU AS UNE BANANE DANS L'OREILLE!"
"PARLE PLUS FORT, J'AI UNE BANANE DANS L'OREILLE!"
"Hein, quoi? qu'est-ce que tu dis?"
"T'as une banane dans l'oreille!"
"Comment?"
"Je te répète que tu as une banane dans l'oreille!"
"Pardon, veux-tu répéter?"
"TU AS UNE BANANE DANS L'OREILLE!"
"PARLE PLUS FORT, J'AI UNE BANANE DANS L'OREILLE!"
- 1/3 t. shortening
- 1/2 t. sucre
- 2 oeufs légèrement battus
- 1 3/4 t. farine tout usage
- 2 c. à thé poudre à pâte
- 1/2 c. à thé sel
- 1/4 c. à thé soda à pâte
- 1 t. bananes mûres pilées
- 1/2 t. noix hachées
- 1/2 t. raisins secs
Battre ensemble le shortening et le sucre: ajouter les oeufs et bien mélanger.
Mélanger la farine, la poudre à pâte, le sel, le soda à pâte (et la canelle).
Ajouter les ingrédient liquides aux ingrédients secs en alternant avec la banane pilée.
Ajouter les noix (et les raisins).
Verser dans un moule à pain beurré et cuire à 350° pendant 50 minutes, sur la grille du centre.
Source : Homes & Gardens 1962
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Pouding au pain à la tomate
Les effets de la publicité télévisée sur les jeunes auditeurs peuvent être mesurés en partie par la retransmission de cette prière, attribuée à un petit garçon du Nevada :
« […] Donne-nous aujourd’hui notre pain cuit lentement, enrichi de vitamines, protéiné, nourrissant, délicieux et sain …de ce jour! […] »
- 1 baguette rassie coupée en cubes
- 1½ t. fromage cheddar rapé
- 2 œufs battus
- 1 t. crème 35%
- ½ t. lait
- Thym, basilic, sauge au goût
- Sel et poivre
- 1 bte. tomates étuvées (jus inclus)
- 1 bte. pâte de tomate concentrée
- 1 oignon finement haché
- 2 gousses d’ail pressées
- 1 c. à table beurre
- 1 tomate tranchée
Déposer les cubes de pain dans un moule à pouding y mélanger le fromage rapé, réserver.
Dans un petit poêlon, faire chauffer le beurre et y faire fondre l’oignon et l’ail jusqu’à tendres.
Dans un bol, bien mélanger les œufs battus, la crème, le lait, les fines herbes, les tomates étuvées, la pâte de tomate, l’oignon, l’ail, saler et poivrer au goût.
Verser l’appareil dans le moule à pouding et laisser le pain imbiber la préparation pendant 30 minutes.
Mettre le tout au four sur la grille du milieu, dans un plat allant au four et rempli d’eau, à 350° pendant 50 à 60 minutes.
Après 30 minutes de cuisson, étaler les tranches de tomates sur le dessus du pouding et retourner le tout au four pour les 15 minutes restantes.
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entrées,
entrées chaudes,
entrées froides,
oeufs,
pain,
poudings,
tomates,
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