Tarte aux pommes de terre et cheddar en croûte de bacon fumé à l'érable




On le surnomme The Shadow (L’Ombre) parce qu’il est à son meilleur lorsqu’il joue dans l’ombre des autres. Né en 1958 à Philadelphie, Kevin Bacon quitte le domicile familial à 18 ans pour entrer au Manning Street Actor’s Theater et à la célèbre école de théatre The Circle in the Square où il devient le plus jeune élève à apparaître dans une production. Deux ans plus tard il débute aux côtés de John Belushi, dans l’infâme comédie Animal House de John Landis. Les deux années qui suivent le voient accepter des rôles mineurs et sans importance dans Hero at Large et Friday the 13th. Kevin récréer son rôle de prostitué drogué joué dans la pièce Forty Deuce l’année précédente, pour Diner de Barry Levinson. Bien qu’il apparaisse par la suite dans quelques grands films qui lui permettent de démontrer la variété intrigante de ses habiletés théâtrales, c’est Footloose qui le propulse vers la gloire en lui apportant le statut d’icône adolescente; image de laquelle il aura d'ailleurs du mal à se défaire. De curieux échecs tels que Quicksilver en 1986 et White Water Summer en 1987, pavent son chemin vers Lemon Sky en 1987, où il rencontre Kyra Sedgwick qu’il marrie l’année suivante. Kevin amorce sa remontée et arrive à se défaire de son image de tombeur avec Tremors en 1989, puis avec Flatliners en 1990 et enfin avec JFK d’Oliver Stone, en 1991. Évitant de justesse le piège du Brat Pack des années ’80, ses rôles suivant JFK n’ont possiblement pas eu autant de succès, mais son public est alors déjà convaincu de son talent et le réclame. En 1995, il prouve sa solide expérience dans l’histoire vraie de Murder in the First, aux côtés de Gary Oldman. Sa performance est acclamée par la critique qui est à nouveau renversée lorsqu’il prend part à la distribution de Apollo 13, au courant de la même année. En prouvant qu’il pouvait jouer l’inélégance autant que la réalité, Kevin accepte un rôle sadique dans Sleepers, en 1996, puis opte pour le torride Wild Things, plus tard cette même année. En 1999, le drame A Stir of Echos lui amène de très bonnes critiques, quoique bien moindre que celles récoltées pour Mystic River en 2003. En plus de ses rôles dans Novocaine, Trapped, In the Cut et The Woodsman au cours des dernières années, Kevin part de temps à autres faire la tournée d’endroits peu connus avec un groupe qu’il a fondé en compagnie de son frère Michael: The Bacon Brothers. Rarement, peut-on affirmer la reconnaissance d’un acteur d’une telle prédominance, en le reliant à n’importe quel autre acteur simplement à travers son curriculum. Parce qu’en effet, il existe un jeu appelé Six Degrees of Kevin Bacon (ou The Oracle of Bacon), basé sur le concept du phénomène ou de l’étude du petit monde, et qui s’appuie sur le principe qu’en six étapes ou moins, tout acteur peut être relié à Kevin Bacon, à travers ses rôles. Six Degrees of Kevin Bacon est évidement un jeu de mots associé au concept philosophique des six degrés de séparation.

Jouer à The Oracle of Bacon
  • 1 livre bacon fumé à l’érable tranché fin (ou autre)
  • 4 à 5 pommes de terre moyennes non pelées tranchées en fines lamelles
  • 2 tasses cheddar fort râpé
  • 3 cuillerées à table ciboulette finement hachée
  • Sel et poivre au goût
Tapisser un moule à gâteau ou à tarte de 8 ou 9" légèrement beurré, des tranches de bacon; poser l’extrémité d’une tranche au centre du moule, l’autre extrémité vers l’extérieur et ainsi de suite pour toutes les autres tranches jusqu’à complètement recouvrir le moule (en prenant soin de faire légèrement chevaucher les tranches).

*Si les tranches de bacon semblent créer un centre trop épais, poser une tranche sur deux en retrait (mais toujours de façon à ne pas laisser d’ouverture).

Parsemer un peu de cheddar râpé au fond du moule ainsi tapissé.

Recouvrir le fromage d’une couche de lamelles de pommes de terre, saler, poivrer au goût et parsemer de ciboulette (attention, saler légèrement puisque le fromage et le bacon sont déjà salés).

Parsemer les pommes de terre d’un peu de fromage, puis à nouveau recouvrir de pommes de terre, de sel, de poivre et de ciboulette (et ainsi de suite pour le reste des ingrédients).

Refermer la tarte en rabattant harmonieusement les parties tombantes des tranches de bacon par-dessus les pommes de terre (à nouveau en les faisant légèrement chevaucher).

Sécuriser le centre des tranches de bacon à l’aide de quelques cure-dents, afin que le rétrécissement de la cuisson ne permette pas la formation d’ouvertures.

Poser le moule sur une plaque de cuisson préalablement tapissée de papier d’aluminium et faire cuire au four sur la grille du centre, à 350° pendant 1H30, ou jusqu’à ce qu’un couteau inséré au centre de la tarte indique que les pommes de terre sont cuites et bien tendres.

*Si le gras du bacon s’accumule en trop grande quantité en cours de cuisson, sortir le moule du four, prudemment égoutter le gras en retenant la tarte et remettre au four pour le reste de la cuisson.

Laisser tiédir quelque peu avant de transférer sur une assiette de service (attention, le dessous de la tarte n’étant pas aussi croustillant que le dessus, peut être fragile).



IMPRIMER CETTE RECETTE (sans photo)

Feuilletés aux épinards et à la feta



I'm Popeye the Sailor Man,
I'm Popeye the Sailor Man.
I'm strong to the finich
Cause I eats me spinach.
I'm Popeye the Sailor Man.

I'm one tough Gazookus
Which hates all Palookas
Wot ain't on the up and square.
I biffs 'em and buffs 'em
And always out roughs 'em
But none of 'em gets nowhere.

If anyone dares to risk my "Fisk",
It's "Boff" an' it's "Wham" un'erstan'?
So keep "Good Be-hav-or"
That's your one life saver
With Popeye the Sailor Man.

I'm Popeye the Sailor Man,
I'm Popeye the Sailor Man.
I'm strong to the finich
Cause I eats me spinach.
I'm Popeye the Sailor Man.


Chanson theme de Popeye the Sailorman
extraite de Popeye the Sailor Meets Sinbad the Sailor - circa 1929

  • ½ livre épinards parés hachés
  • 2 gousses d’ail pressées
  • ½ oignon finement haché
  • 2 cuillerées à table beurre
  • 1 œuf
  • 2 cuillerées à thé persil frais haché
  • Sel et poivre au goût
  • 3oz feta émietté
  • 1 portion pâte feuilletée bien froide
Dans un grand poêlon, faire chauffer le beurre sur un feu modéré et y faire tomber l’oignon et l’ail jusqu’à translucides.

Ajouter les épinards et continuer la cuisson en remuant régulièrement, environ 5 minutes.

Transférer le tout dans une jatte et y ajouter l’œuf et le persil, saler et poivrer, bien mélanger.

Ajouter la feta, bien mélanger à nouveau.

Poser la pâte feuilletée froide, sur un plan de travail (rouler si nécessaire jusqu’à une épaisseur d’environ ¼ à ⅛".

Étendre le mélange d’épinards et feta sur la pâte feuilletée en laissant un espace d’environ ½" sur le pourtour de la pâte.

Rouler le tout relativement serré, envelopper dans une pellicule plastique et mettre au frigo environ 30 minutes.

Retirer la pellicule plastique, couper le rouleau en 6 rondelles d’environ 1½" d’épaisseur, puis les déposer à l’horizontale dans les 6 cavités d’un moule à muffins préalablement beurré.

Faire cuire au four sur la grille du centre, à 400° pendant 25 à 30 minutes ou jusqu’à bien gonflés et dorés.

Source : Healthy Tasty Chow


IMPRIMER CETTE RECETTE (sans photo)



Chocolat chaud parfumé au Chambord





Le Chambord est une liqueur à base de framboises macérées dans un alcool à 33%. Préparée à partir d’une recette secrète vieille de plus de 320 ans, créée vers 1685, alors que Louis XIV visitait le Château de Chambord dans la Vallée de la Loire, en France; on dit que le roi la préférait à toute autre liqueur. On sait tout de même qu’elle contient des framboises noires, des framboises rouges, des mûres, du cassis, des herbes, de la cannelle et du clou, macérés dans le cognac et sucré au miel d’acacia; sa couleur est d’un pourpre profond, sa texture celle d’un sirop léger, son arôme rappelle celui des framboises acides accompagné à la rondeur de baies mûres et suivi d’herbes et de fruits qui semblent former toutes les notes finales d’un fin chocolat. Son taux d’alcool est relativement faible pour une liqueur; elle est probablement assez sucrée pour être qualifié de «crème de framboise». Mais de façon surprenante, son goût n’est pas trop sucré: une harmonie de framboises fraîches et de confiture qui se complètent très bien pour enfin laisser en bouche un léger goût chocolaté de truffes et de miel sauvage. Douce et raffinée, ronde et solide à la fois, elle est tout simplement superbe. Elle se déguste sec, sur glace, accompagnée de champagne ou d’autres vins blancs, en cocktails ou en punch; elle entre dans la confection de plusieurs Martinis, dont le French Martini et le Hollywood Martini. Elle est fantastique au dessert, voire même versée directement sur les desserts comme le gâteau des anges, la glace à la vanille ou la bagatelle. Elle se prête bien à tout ce qui nécessite un coup d’éclat mûr et acidulé à la fois. Complètement naturelle et ne contenant aucun additifs, elle doit donc être bue dans les six mois suivant son ouverture; il serait de toute façon, bien difficile d’en garder une bouteille aussi longtemps! Pour rappeler sa nature et sa connotation royale, elle est présentée dans une superbe bouteille sphérique imitant l’insigne royal qu'est l'orbe.


Chambord, liqueur royale

Pour 4 chocolats chauds
  • ½ tasse sucre
  • ¼ tasse cacao de qualité
  • ⅓ tasse eau
  • 4 tasses de lait
  • ¾ cuillerée à thé vanille
  • 4 cuillerées à table Chambord
  • Guimauves de fantaisie (facultatif)
Dans une petite casserole, faire chauffer le sucre, le cacao et l’eau sur un feu modéré en remuant de temps à autres.

Aux premier bouillons, baisser le feu légèrement et laisser frémir 2 minutes.

Ajouter le lait et la vanille, laisser chauffer jusqu’à la température désirée (ne pas faire bouillir).

Verser une cuillerée à table e Chambord dans chacune des 4 tasses.

Compléter le tout avec le chocolat chaud, bien mélanger.

Faire légèrement mousser avec un agitateur et servir accompagné de petites guimauves de fantaisie si désiré.

Source : The Food Photographer


IMPRIMER CETTE RECETTE (sans photo)

Petits pains cacao-banane




Recette suggérée par Steph de Obsessed With Baking
dans le cadre de ma quatre-vingt-huitième participation aux TWD

Un midi, à la cafétéria d’une école menée par des religieuses catholiques, les enfants sont en ligne pour être servis. Les plateaux glissent le long du comptoir vitré, d’où sortent des portions de bœuf, de purée de pommes de terre et de haricots verts. En tête de ligne se trouvent les ustensiles, les serviettes de papier et un grand plateau couvert de tranches de pain. La mère supérieure au garde à vous tout près du pain, supervise l’heure du dîner en rappelant aux enfants: «Il n’est permit qu’une seule tranche de pain par élève et faites attention, Dieu vous regarde!» Les enfants tour à tour, ne se servent qu’une unique tranche de pain, bien trop effrayés de contrevenir aux ordres de la mère supérieure, ou de possiblement être victime de la colère de Dieu. Un peu plus loin en fin de ligne, les enfants trouvent les berlingots de lait et un plateau où s’empilent biscuits au chocolat et fruits frais. Un des élèves arrivé aux abords du plateau de biscuits, chuchote à son voisin: «Tu peux en prendre autant que tu veux, Dieu est occupé à surveiller le pain!».
  • 2 tasses farine
  • 1 tasse cacao
  • 2 cuillerées à thé poudre à pâte
  • Pincée de bicarbonate de sodium
  • Pincée de sel
  • ½ tasse beurre
  • 1 tasse sucre
  • ½ tasse cassonade
  • 2 gros œufs
  • 2 bananes bien mûres écrasées
  • 1 tasse babeurre
  • ½ tasse brisures de chocolat mi-sucré
Dans un bol, bien mélanger la farine, le cacao, la poudre à pâte, le bicarbonate de sodium et le sel, réserver.

Dans une grande jatte, à l’aide d’un batteur électrique, battre le beurre jusqu’à bien crémeux, environ 2 minutes.

Ajouter le sucre et la cassonade et continuer de battre pendant 2 minutes.

Ajouter les œufs un à un et les bananes en battant pendant 1 minutes après chaque addition.

Ajouter les ingrédients secs aux ingrédients liquides, en trois étapes et en alternant avec le babeurre (en commençant et en terminant avec les ingrédients secs).

Incorporer les brisures de chocolat à la maryse et diviser l’appareil obtenu dans les 12 cavités d’un moules à petits cakes, préalablement beurrés.

Faire cuire au four sur la grille du centre, à 350° pendant 40 à 45 minutes, ou jusqu’à ce qu’un cure-dent inséré au centre d’un cake en ressorte propre.

Laisser tiédir quelques minutes avant de démouler.

Source: Baking, From My Home to Yours - Dorie Greenspan - déclinaison


IMPRIMER CETTE RECETTE (sans photo)



Irrésistibles gaufres




You know, I don't know what it is
But everything about you is so irresistible.

Don't you try to tell me that he's not my type
To idle what I feel inside
When he makes me weak with desire
I know that I'm supposed to make him wait
Let him think I like the chase
But I can't stop fanning the fire
I know I'm meant to say no

But he's irresistible
Up close and personal
Now inescapable
I can hardly breath
More than just physical
Deeper than spiritual
His ways are powerful
Irresistible to me
I can hardly breath

Don't you think I'm trying to tell my heart what's right
That I should really say goodnight
But I just can't stop myself falling
Maybe I'll tell him that I feel the same
I don't want to play no game
Cause when I feel his arms wrapped around me
I know I'm meant to say no
I'm meant to say no

Can't you see
Whenever he's close to me
I really find it hard to breath
He's so irresistible
Baby you know
You're more than just spiritual
His kisses are powerful
He's so irresistible
You're so irresistible

Irresistible, Jessica SIMPSON – 2001


  • 1¾ tasse farine
  • 3 cuillerées à thé poudre à pâte
  • Pincée de sel
  • 2 jaunes d’oeufs battus
  • 1¾ tasse de lait
  • ½ tasse huile végétale
  • 2 blancs d’oeufs battus en neige ferme
Dans une jatte, bien mélanger les ingrédients secs, réserver.

Dans un bol, à l’aide d’un fouet à main, battre les jaunes, le lait et l’huile.

Ajouter les ingrédients liquides aux ingrédients secs en mélangeant bien.

Plier les blancs dans l’appareil obtenu en laissant quelques pointes de blancs non brisées.

Faire cuire dans un gaufrier bien chaud, jusqu’à bien dorées.

*Attention, l’appareil gonfle beaucoup et donne une gaufre légère et croustillante (ne pas trop remplir le gaufrier!).

*Donne environ 3 gaufres rondes de 10" de diamètre, ou 4 gaufres carrées de 8" de côté.

Source : Shari – Whisk: A Food Blog


IMPRIMER CETTE RECETTE (sans photo)



Cupcakes "pain perdu" glacés à l'érable et au bacon




Le «Poor Knight Pudding» ou «pouding du chevalier pauvre» est un plat très similaire au pain perdu français. Mais contrairement à la préparation du pain perdu, celle du Poor Knight Pudding ne requiert pas de mélanger le lait et les œufs ensemble. C’est plutôt dans un mélange de sucre, de lait et de sherry que le pain est premièrement trempé, puis dans un mélange de jaunes d’œufs battus, sans les blancs. On le fait ensuite frire à la poêle, jusqu’à bien doré des deux côtés pour enfin le servir saupoudré de sucre parfumé à la cannelle et accompagné de confiture. C’est le roi Édouard III qui aurait créé l’ordre des «Poor Knights of Windsor», pour venir en aide aux chevaliers tombés dans l’adversité financière. Plusieurs de ces chevaliers avaient utilisé leur propre armée privée, pour combattre au nom du roi d’Angleterre à la bataille de Crécy, en France. Nombreux de ces chevaliers furent capturés et durent vendre leurs domaine pour payer la rançon de leur libération, comme le voulait la pratique de l’époque. L’ordre avait résidence au château de Windsor, en Angleterre. En 1833, William IV renomma l’ordre pour «Military Knights», les «chevaliers militaires» et leur permis de porter la queue-de-pie rouge. L’ordre existe encore aujourd’hui et ses membres sont pour la plupart des officiers de grand mérite, souvent mariés, mais qui n’ont d’autres revenus que celui de leur pension militaire pour survivre. En échange de l’hébergement au château de Windsor, on leur confie différentes tâches incluant celle de la parade militaire présentée près de 52 fois par année.


Général Major Sir Michael Hobbs
Gouverneur des Military Knights de Windsor depuis 2000


Cupcakes
  • 1½ t. farine
  • 1½ c. à thé poudre à pâte
  • 1 c. à thé cannelle
  • Pincée de sel
  • ½ t. beurre à température ambiante
  • 1 t. sucre
  • 2 œufs
  • 1 c. à thé vanille
  • ½ t. babeurre
  • ½ t. pacanes grillées hachées
  • ½ t. raisins secs
Glace
  • ½ t. beurre à température ambiante
  • 1½ t. sucre glace
  • 2 à 3 c. à table sirop d’érable
  • Quelques tranches de bacon croustillant
Pour les cupcakes

Dans un bol, bien mélanger la farine, la poudre à pâte, la cannelle et le sel, réserver.

Dans une grande jatte, à l’aide d’un batteur électrique, battre le beurre jusqu’à bien crémeux, environ 2 minutes.

Ajouter le sucre et continuer de battre jusqu’à bien lisses, environ 2 minutes.

Ajouter les œufs un à un et la vanille, en battant une minute après chaque addition.

Ajouter les ingrédients secs aux ingrédients liquides en trois étapes, en alternant avec le babeurre, en prenant soin de commencer et terminer avec les ingrédients secs.

Incorporer les pacanes et les raisins secs à la maryse.

Diviser le tout dans les 12 cavités d’un moule à muffins, préalablement beurrées ou tapissées de caissettes de papier.

Faire cuire au four sur la grille du centre, à 350° pendant 20 à 25 minutes ou jusqu’à ce qu’un cure-dent inséré au centre d’un cupcake en ressorte propre.

Laisser complètement refroidir avant de glacer.

Pour la glace

Dans une jatte, battre le beurre jusqu’à bien crémeux, environ 2 minutes.

Ajouter le sucre glace et battre jusqu’à bien amalgamés, environ 2 minutes.

Ajouter le sirop d’érable une cuillerée à la fois en battant quelques instants après chaque addition, afin de vérifier de la consistance désirée.

Glacer les cupcakes et les garnir d’un morceau de bacon croustillant.


IMPRIMER CETTE RECETTE (sans photo)



Lemon curd




Curdle : coaguler
Curd : caillot

Curdled (v.f. Sang-froid) - 1996: film de Reb Braddock mettant en vedette Alec Baldwin et Angela Jones. Une comédie noire, qui saura plaire aux amateurs de Tarantino.

«Après le crime du meurtrier, après la mort des vivants, quelqu’un doit nettoyer le massacre».

Dans cette comédie noire, une femme fascinée par le crime, vit une rencontre inattendue avec le savoir-faire d’un meurtrier. Gabriela, une immigrante colombienne vivant à Miami, est fascinée par les morts violentes depuis que petite, elle avait vu passer devant sa fenêtre, un cadavre en chute libre. Aujourd’hui, elle travaille pour un service de nettoyage spécialisé dans le récurage du sang, le ramassage des fragments d’os et le lavage de l’abomination, laissés sur les scènes de crimes. Tous les jours, on lui soumet un nouvel endroit à nettoyer. Et vient ce jour où elle est absolument ravie de découvrir qu’elle doit nettoyer la boucherie qu’avait laissée derrière, son tueur en série favori: le «tueur pur sang», nommé ainsi parce que ces victimes sont toutes de très riches femmes. Mais Gabriela ne sait pas que le tueur est toujours sur la propriété; il s’est maladroitement enfermé dans le cellier en tentant de prendre la fuite. Pendant que Gabriela travaille à rendre l’endroit à nouveau vivable, lui, démantèle les boulons de la serrure du cellier. Juste au moment où il s’apprête à émerger du cellier, alors qu'elle s’affaire à nettoyer, Gabriela trouve une pièce à conviction qui pourrait bien confirmer l’identité du tueur. Curdled est une version développée d’un court-métrage de Reb Braddock, tourné en 1991. En 1994, Quentin Tarantino obtient la permission de s’inspirer du court-métrage pour créer un des épisodes de son célèbre Pulp Fiction, en échange de son aide apportée au long-métrage de Curdled, ainsi que d'une brève apparition dans le film.


Affiche promotionnelle du film Curdled
  • Jus de 3 citrons
  • Zestes de 2 citrons finement râpés
  • 3 œufs
  • ¾ t. sucre
  • ⅔ t. beurre
  • 1½ c. à thé fécule de maïs
Dans un petit bol, diluer la fécule dans le jus de citron.

Dans une casserole, à l’aide d’un fouet à main, fouetter légèrement les œufs, ajouter le reste des ingrédients et bien mélanger.

Amener le tout à ébullition, sur un feu modéré, en fouettant constamment, environ 4 à 5 minutes.

Aux premiers bouillons, laisser cuire une minute supplémentaire, toujours en fouettant.

Retirer du feu et transférer dans un pot stérilisé.

Laisser complètement refroidir avant de mettre au frigo.

Servir accompagné de toasts, de brioche ou de scones.


IMPRIMER CETTE RECETTE (sans photo)


Burgers de chez Lucques garnis d'aïoli aux chipotles




Afin de profiter de chaque minute, déjà depuis l’école secondaire, Suzanne Goin a sauté directement dans le monde des arts culinaires en décrochant un stage à la prestigieuse Ma Maison de Los Angeles. Alors qu’elle jonglait avec ses cours à la Brown University, elle passait aussi beaucoup de temps entre les cuisines de L’Orangerie de Los Angeles et celles de Le Mazarin à Londres. Malgré un emploi du temps de globe-trotter très chargé, Goin a tout de même réussi à terminer ses études en Histoire, obtenant même une mention honorifique. Toujours en voyageant, c’est Chez Panisse à Berkeley et au non moins célèbre L’Arpège de Paris que sa carrière prend son essor. De retour aux États-Unis, Goin est nommée meilleur Creative Chef par le Boston Magazine en 1994, pour son expérience de chef chez Alloro. Elle retourne ensuite sur Los Angeles, où elle travaille pour Nancy Silverton et Mark Peel au Campanile, se hissant éventuellement jusqu’à la place de chef exécutif. En automne 1998, Goin est prête à ouvrir son propre restaurant. Lucques est alors ouvert avec sa partenaire d’affaires, Caroline Styne: un succès instantané. En un rien de temps, Lucques fait partie des 10 meilleures tables du pays selon des publications aussi prestigieuses que Gourmet et Saveur. En 1999, Goin elle-même est nommée un des meilleurs nouveaux chefs de l’année par le Food & Wine. Dans la poursuite de cette grande aventure, Goin et Styne ouvrent un second restaurant en 2002. En gardant le meilleur d’un restaurant au service complet et en le joignant à un bar à vins, le nouveau A.O.C. offre un menu de petits plats spécialisés dans les fromages et charcuteries, accompagnés de salades de saison et autres mets. Évidement nommé en l’honneur de l’Origine d’Appellation Contrôlée française, A.O.C. se vante d’offrir plus de 50 vins au verre. Le succès de Goin continue avec sa nomination à un prix de la James Beard Fondation en 2003, puis avec le lancement de son tout premier livre en 2005: Sunday Suppers at Lucques – Seasonal Recipes from Market to Table. Cette même année a aussi vu l’ouverture de Hungry Cat, une collaboration mari et femme, entre elle et le chef David Lentz. En 2007, le couple ouvre un second restaurant à Santa Barbara, puis une troisième association avec Styne voit le Tavern ouvrir en 2009… On est bien loin du temps où une jeune Suzanne d’à peine 10 ans, ouvrait une station de crêpes dans la cuisine familiale, pour servir les enfants du quartier!


Restauratrice et chef, Suzanne Goin

Burgers
  • 1½ lb porc haché maigre
  • 4oz chair à saucisse italienne piquante
  • 2 tranches bacon hachées
  • ¼ t. échalotes hachées
  • ¼ t. huile d’olive
  • 2 c. à table persil frais haché
  • 2 c. à table thym frais
  • 1 c. à thé cumin
  • 4 pains à hamburgers (grillés)
Aïoli aux chipotles
  • ½ t. mayonnaise
  • 4 c. à table jus de citron
  • Zeste d’un citron
  • ¼ t. gousses d’ail pressées
  • 1 c. à table estragon
  • 1 à 2 piments chipotles hachés (piments en sauce adobo)
  • Tomates, oignons, fromage, cornichons, etc. (autres garnitures au goût)
Pour les burgers

Dans une grande jatte, bien mélanger tous les ingrédients.

Façonner 4 galettes d’environ ¾" d’épaisseur.

Faire cuire les galettes sur le barbecue ou dans un poêlon, jusqu’à ce que l’intérieur des galettes perdent leur couleur rosée, soit environ 7 minutes de chaque côté, pour un total de 13 à 15 minutes (ne retourner les galettes qu’une seule fois!).

Poser chaque galette sur un pain, garnir d’aïoli aux chipotles et d'autres garnitures au goût, et refermer le pain.

Pour l’aïoli

Dans un bol, bien mélanger tous les ingrédients, couvrir d’une pellicule plastique et laisser macérer au frigo au moins 1H avant d’en garnir les burgers.

Source : My recipes (burgers) - déclinaison


IMPRIMER CETTE RECETTE (sans photo)



Barres décadentes à l'avoine et au chocolat


Recette suggérée par Lilian de Confectiona's Realm
dans le cadre de ma quatre-vingt-septième participation aux TWD

L’avoine est excellente pour contrôler le diabète. Cette céréale offre un apport nutritif considérable sans surcharge de sucre. Elle représente une riche source de protéines, d’hydrates de carbone complexes et de fibres. Elle ne contient que très peu de gras et aucun cholestérol, ni sodium.

L’avoine aide à prévenir les maladies du cœur; les recherches ont prouvé que la consommation de produits à base de grains entiers d’avoine aide à réduire les risques de haute pression et de crises du cœur.

On croit que l’avoine prise sous forme médicinale, aurait des effets bénéfiques sédatifs qui aideraient à contrôler l’anxiété et les crises d’angoisse. Elle pourrait ainsi aider à contrôler l’envie de fumer.

L’avoine améliore la digestion. Elle est ainsi bénéfique et très consommée par les athlètes et les nouvelles mamans allaitant. L’avoine est aussi un aliment idéal pour les convalescents et les patients souffrant de toutes sortes de problèmes digestifs et gastriques.

L’avoine traite efficacement la constipation; elle est aussi un aliment très conseillé pour les gens faisant de l’embonpoint puisque celle-ci absorbe le surplus de gras d’une alimentation excessive.

Utilisé dans l’eau de la baignoire, l’avoine adoucit la peau et calme les démangeaisons cutanées. Dans une pâte pour les cheveux, elle fait briller et assouplit les cheveux.

Croûte
  • 2½ t. farine
  • 1 c. à thé bicarbonate de sodium
  • 1 c. à thé sel
  • 1 t. beurre
  • 2 t. cassonade
  • 2 œufs
  • 2 c. à thé vanille
  • 3 t. flocons d’avoine
  • 1 t. arachides salées hachées
Garniture
  • 1 bte. lait condensé sucrée
  • 2 t. brisures de chocolat mi-sucrées
  • 2 c. à table beurre
  • ¼ c. à thé sel
  • 1 c. à thé vanille
  • 1 t. raisins secs
  • ¾ t. arachides salées hachées
Pour la croûte

Dans un bol, bien mélanger la farine, le bicarbonate de sodium et le sel, réserver.

Dans une grande jatte, à l’aide d’un batteur électrique, bien battre le beurre jusqu’à crémeux, environ 1 minute.

Ajouter la cassonade et battre à nouveau jusqu’à bien lisses, environ 2 minutes.

Ajouter la vanille et les œufs un à un en battant toujours au moins 1 minute après chaque addition.

Ajouter les ingrédients secs réservés aux ingrédients liquides en battant jusqu’à bien incorporés.

Ajouter les arachides et les flocons d’avoine à l’aide d’une maryse ou d’une cuillère de bois.

Étendre la pâte obtenue dans le fond d’un moule de 9x13’’ préalablement beurré ou tapissé de papier parchemin, en réservant 1½ à 2 tasses de la préparation qui seront utiliser en fin de recette.

Pour la garniture

Dans un bain-marie, une casserole à fond épais ou en cuivre, faire fondre le chocolat, le lait condensé sucré, le beurre et le sel, sur un feu doux.

Retirer du feu, ajouter la vanille, les raisins secs et les arachides.

Verser cet appareil sur la croûte.

Émietter la pâte réservée sur le dessus du chocolat (le résultat ne sera pas parfait).

Faire cuire au four du la grille du centre à 350°, pendant 25 à 30 minutes ou jusqu’à ce que la pâte du dessus soit dorée.

Laisser tiédir quelques instants avant de démouler.

Poser le tout sur une assiette, couvrir d’une pellicule de plastique et mettre au frigo au moins 2H avant de couper en une trentaine de barres.

Source: Baking, From My Home to Yours - Dorie Greenspan - déclinaison


IMPRIMER CETTE RECETTE (sans photo)



Cupcakes aux cerises et amandes





Madame Ranevsky et sa fille, Anya, sont de retour à Paris et découvrent que leur propriété sera bientôt mise en vente à l’encan, pour cause de dettes. Aux yeux de la famille entière, il est pratiquement impensable de perdre la cerisaie dont la blanche floraison fait partie intégrante de leurs souvenirs d’enfance. Mais Madame Ranevsky est complètement irresponsable et ne connaît pas la valeur de l’argent; sont frère Gaev n’est guère plus apte qu’elle en matière de finances. Varya, la belle-fille, est la seule qui soit assez pratique, mais comment une femme pourrait-elle gagner assez d’argent pour sauver leur domaine? Lopahkin, un ancien serf, est aujourd’hui devenue un riche propriétaire. Par admiration pour Madame Ranevsky et pour cette l’affection qui lui reste de leur enfance, il suggère de faire démollir la maison et raser la cerisaie, pour ensuite recouper la propriété en plusieurs lotissements qui pourraient être loués comme nouveaux sites des populaires villas. Il leur assure que la propriété entière serait très rapidement louée et que les revenus substantiels qu’elle rapporterait, leur permettraient de vivre où et comment ils l’entendraient. Mais la fierté familiale et son esprit de procrastination, les empêchent d’accepter cette suggestion, même s’il leur amour pour la cerisaie, leur permettrait d’en considérer la destruction. Tous, ils continuèrent de croire qu’un miracle sauverait leur cerisaie. Ainsi, le temps passe, jusqu’au jour de la vente. La grand-mère a envoyé mille cinq cents livres et Madame Ranevsky et son frère entretiennent de grands espoirs de pouvoir racheter leur propriété avec cet argent. Mais lorsque Gaev et Lopahkin reviennent de l’encan par contre, il est facile de lire sur le visage de Gaev que cette misérable somme avait été absurdement insuffisante. C’est Lopahkin en fait, qui a acheté la propriété, tout à fait satisfait d’être propriétaire du domaine où son grand-père et son père furent jadis esclaves. Maintenant que l’inévitable est arrivé, les différents membres de la famille se réajustent étonnamment bien. Madame Ranevsky se prépare à repartir sur Paris pour y vivre avec les mille cinq cents livres de la grand-mère; Gaev a trouvé un emploi à la banque et Varya, une position de gouvernante. Trofimov, l’ex-tuteur et perpétuel étudiant, se prépare à retourner à sa bien aimée université, et même la jeune Anya anticipe d’acquérir son indépendance. Ils se séparent donc tous, chacun en route vers son propre futur. Mais l’inefficience qui les caractérise, leur fait oublier Firs, l’ancien valet de chambre malade, qu’il enferment dans la maison, croyant que celui-ci avait déjà été envoyé à l’hôpital. Au loin, dans la cerisaie, on entend les premiers coups de hache…

Extrait de La cerisaie, pièce de théatre créée par
Anton CHEKHOV - 1903
La cerisaie fut originalement produite le 30 janvier 1904,
au Théatre d’Art de Moscou, sous la direction de Konstantin STANISLAVSKY.

Cupcakes
  • ⅔ t. farine
  • 1 c. à table poudre à pâte
  • ½ c. à thé bicarbonate de sodium
  • Pincée de sel
  • ½ t. beurre à température ambiante
  • ½ t sucre
  • 2 gros œufs
  • 1½ c. à thé essence d'amande pure
  • ⅓ t. cerises confites hachées
  • 1 t. poudre d’amandes
Glace
  • 2 t. sucre glace
  • 2 c. à table beurre à température ambiante
  • 1 c. à thé vanille
  • 2 c. à table lait
  • 9 cerises au marasquin (pour le décor)
Pour les cupcakes

Dans un bol, bien mélanger la farine, la poudre à pâte, le bicarbonate de sodium et le sel, réserver.

Dans une grande jatte, battre le beurre jusqu’à bien crémeux, environ 2 minutes.

Ajouter le sucre et battre à nouveau jusqu’à bien lisse, environ 1 minutes.

Ajouter l'essence d'amande et les œufs un à la fois en battant au moins 1 minute après chaque addition.

Ajouter les cerises confites et battre à nouveau quelques instants.

Ajouter les ingrédients secs aux ingrédients liquides et battre jusqu’à bien incorporés.

Ajouter la poudre d’amandes en pliante à l’aide d’une maryse.

Transférer la pâte obtenue dans les 9 cavités d’un moule à muffins préalablement beurrées ou tapissées de cassettes de papier.

Faire cuire au four sur la grille du centre à 350°, pendant 25 minutes ou jusqu’à ce qu’un cure-dent inséré au centre d’un cupcake, en ressorte propre.

Laisser complètement tiédir avant de glacer.

Pour la glace

Dans un jatte, à l’aide d’un batteur électrique, battre la moitié du sucre glace, le beurre, la vanille et le lait jusqu’à l’obtention d’une consistance crémeuse.

Ajouter le reste du sucre glace petit et en battant toujours, jusqu’à consistance désirée.

Glacer et décorer d’une cerise chaque cupcake si désiré.

* Donne 9 cupcakes réguliers

Source : Easy Cupcakes


IMPRIMER CETTE RECETTE (sans photo)



Oeufs en coupes



Comment écaler un œuf cuit dur, en moins de 30 secondes
Explications en huit étapes rapides.

1. Frapper légèrement chaque extrémité de l’œuf pour ensuite retirer un peu de la coquille, sur une surface d’environ 1,5cm à chaque extrémité.

2. Rouler l’œuf entre les mains ou sur une surface solide afin de légèrement détacher la coquille de l’œuf (cette étape pourra éventuellement être omise, avec un peu de pratique).

3. Tenir l’œuf dans votre main droite en gardant la plus petite extrémité vers vous.

4. Avec le pouce et l’index, former un cercle autour de la partie écalée de la plus petite extrémité (veiller à ce que le pouce se trouve par-dessus le index).

5. En laissant à découvert la partie écalée de la plus grande extrémité, placer la main gauche sous et autour de la main droite, pour l’entourer et faire certain que l’œuf soit ainsi scellé entre les deux mains (cette étape pourra être omise avec un peu de pratique; la main gauche pourra alors servir à recevoir l'œuf glissant hors de sa coquille).

6. Amener les mains à la bouche et poser les lèvres de façon étanche sur le pouce et l’index.

7. Prendre une grande respiration et souffler très fort jusqu’à ce que l’œuf glisse hors de sa coquille (cette étape peut être répétée au besoin).

8. Rincer l’œuf sous l’eau pour éliminer toute trace de coquille.


  • 4 tranches de pain frais (croûtes enlevées)
  • Beurre
  • 4 tranches de jambon blanc
  • Quelques feuilles d’épinards tendres
  • ¼ t. fromage râpé (gruyère, emmental, etc.)
  • 4 œufs
À l'aide d'un rouleau à pâte, presser les tranches de pain frais afin de bien les aplatir.

Beurrer un seul côté de chaque tranche de pain et les insérer dans les 4 cavités d’un moule à muffins (côté beurré vers le bas) de façon à obtenir des coupes.

De la même façon, tapisser ces coupes de pain des tranches de jambon blanc.

Déposer quelques feuilles d’épinards tendres au fond et sur les parois intérieures des coupes.

Déposer environ une cuillerée à table de fromage râpé sur les épinards, au fond de chaque coupe.

Casser un œuf dans l’espace restant de chaque coupe.

Faire cuire au four sur la grille du centre à 350°, pendant 25 à 30 minutes ou jusqu’à ce que les œufs soit cuits (les jaunes peuvent ou non rester coulants, au goût).

Démouler délicatement et servir aussitôt.


IMPRIMER CETTE RECETTE (sans photo)