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Burgers vietnamiens façon bistro




Nous ne savons pas tout à fait si les marionnettes aquatiques sont apparues dans d’autres pays avant d’arriver au Vietnam, mais nous savons qu’elles continuent de se multiplier et de gagner le cœur de leur public depuis le 10e siècle, dans un village du nord du Vietnam, sur le delta de la Rivière Rouge. Originalement, le village organisait une prestation de marionnettes aquatiques dans le but de célébrer l’arrivée du printemps. Les marionnettistes n’étant pas des professionnels mais des fermiers des environs, ceux-ci s’exerçaient avec des marionnettes qu’ils avaient eux-mêmes confectionnées. Les personnages des spectacles étaient surtout des hommes, des femmes et des enfants, jeunes et vieux, utilisés pour décrire des histoires de traditions vietnamiennes ainsi que celles d’héros nationaux qui résistaient alors aux envahisseurs. Dans ces histoires, les marionnettes cultivaient le riz, pêchaient le poisson et prenaient soin des canards. Certains animaux représentés incluaient le buffle, le poisson, la grenouille, la tortue, le phoenix et le dragon, et la seule connotation au monde extérieur, était le plus souvent une procession organisée en l’honneur d’un villageois qui revenait de la ville, après avoir complété un examen de mandarin. L’audience riait de bon cœur lorsqu’une marionnette à l’effigie d’un renard réussissait à attraper un canard, mais surtout lorsque l’oncle Teu, la marionnette servant de maître de cérémonie, racontait des blagues aux spectateurs. Les spectacles de marionnettes aquatiques sont probablement nés dans le but de célébrer et remercier la nature pour l’eau qui nourrissait les rizières et c’est aussi certainement pour cette raison, que la marionnette du dragon mythique, une image positive de la culture vietnamienne, y figurait souvent à titre de personnage principal. Le climat du delta de la Rivière Rouge étant très chaud et humide, les rivières y abondaient et chaque village comptait un étang ou un lac qui pouvait servir de théâtre aux marionnettes aquatiques. La température devait être clémente pour qu’un spectacle ait lieu, puisque les marionnettistes devaient se tenir debout dans l’eau, pendant des heures. Un décor théâtral, la plupart du temps celui d’un temple de village, séparait l’audience des marionnettistes qui travaillaient derrière un rideau de bambou. Ceux-ci manipulaient les pantins à l’aide de perches, à partir de l’extrémité du rideau de 2m, et pour garder les perches dans l’eau, les artistes devaient être physiquement très forts. Comme les fermiers du delta de la Rivière Rouge gagnaient leur vie en cultivant le riz, ceux-ci avaient un grand respect de la nature et de l’eau ainsi, leurs marionnettes présentaient ce même égard envers le travail bien fait, la persévérance, l’optimisme et la vie de famille, avec parfois quelques idées à double sens et une légère satire qui illuminaient un combat en le bien et le mal. Les marionnettes aquatiques incorporaient l’animisme vietnamien, autant que le bouddhisme, le taoïsme, mais surtout le confucianisme. Une audience moderne aujourd’hui assise dans les rizières et assistant à ce spectacle, aurait tôt fait de ressentir l’atmosphère spirituelle animée de panthéisme dans laquelle les fermiers vietnamiens de l’époque, évoluaient.


Marionnettes aquatiques de la Rivière Rouge - Vietnam

Carottes marinées
  • 3 cuillerées à table huile d’olive
  • 1 cuillerée à table vinaigre blanc
  • 1 gousse d’ail pressée
  • ½ cuillerée à thé moutarde de Dijon
  • 2 à 3 carottes râpées
Burgers
  • 1 livre porc haché
  • 3 gousses d’ail pressées
  • 1 piment jalapeno finement haché (sans les graines)
  • ½ cuillerée à table gingembre frais râpé
  • 1 cuillerée à table nuoc mam (sauce poisson vietnamienne)
  • 1 cuillerée à table sauce soya
  • 1 cuillerée à table sucre
  • 1 cuillerée à thé cinq-épices chinoises
  • Le jus et le zeste d’une demie lime
  • 4 pains à hamburgers au sésame
  • 4 cuillerées à table mayonnaise
  • 4 cuillerées à table pâté de foie
  • ½ concombre anglais finement tranché
  • 1 grosse poignée coriandre fraîche
Pour les carottes marinées

Dans un petit bol, bien mélanger les quatre premiers ingrédients.

Déposer les carottes dans un contenant hermétique, et y verser la marinade préparée.

Ferme le contenant et laisser mariner au frigo au moins 3H, encore mieux toute une nuit, réserver.

Pour les burgers

Dans une jatte, bien mélanger le porc haché, l’ail, le piment jalapeno, le gingembre, le nuoc mam, la sauce soya, le sucre, les épices, le jus et le zeste de lime, avec les mains.

Façonner quatre galettes avec le mélange obtenu.

Faire cuire les galettes sur le barbecue ou à la poêle, environ 2 à 3 minutes de chaque côté, réserver.

Dresser les chaque burger en tartinant le pain inférieur d’une cuillerée à table de mayonnaise, recouverte de quelques fines tranches de concombre.

Poser une galette de viande sur les tranches de concombre, garnir d’un peu de carottes marinées et de feuilles de coriandre fraîche.

Tartiner chaque pain supérieur de pâté de foie, refermer le burger et servir aussitôt.


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Brochettes de veau au chipotle




Alors que le point de vue principal de la controverse porte sur le veau, il s’applique autant sur l’agneau que sur le chevreau, lorsque ceux-ci sont élevés à des fins de productions laitières. Évidemment, la viande du veau est la même que celle d’une vache immature et représente inévitablement un sous-produit de l’industrie laitière. Pour faire en sorte que les vaches donnent constamment du lait, elles doivent être gestantes et produire au moins un veau par année. Les veaux femelles sont la plupart du temps, élevées avec le troupeau et vendus à des fermes laitières, une fois matures; mais l’autre moitié des naissances qui est mâle, est souvent considérée comme indésirable par cette industrie. L’industrie laitière nécessitait autrefois un taureau pour féconder les vaches, une fois par année; mais dorénavant, les fermes reçoivent leurs «taureaux» en bouteilles afin d’économiser et d’éviter les problèmes causés par ces brutes au mauvais caractère. La seule option des producteurs laitiers est de vendre leurs veaux mâles aux abattoirs qui feront boucherie avant que les petits n’aient atteint la puberté, et c’est là qu’entre en jeu cette fameuse controverse. Les défenseurs des animaux, qui pour la plupart n’ont jamais rencontré de taureau de leur vie et ne s’intéressent que très peu au faits énumérés précédemment, clament haut et fort que les veaux sont maltraités. Ils affirment que les veaux sont élevés dans des conditions inhumaines, nourris de façon déséquilibrée pour les rendre anémiques et vaccinés avec des hormones et toutes sortes de produits dangereux. L’industrie du veau pour sa part nie toutes ces attaques et réplique en affirmant que les veaux sont très bien traités et toujours testés pour quelques résidus médicamenteux que ce soit. Alors, qui dit vrai? On dit, et avec raison, des défenseurs des animaux, qu’ils inventent souvent de fausses allégations et des exagérations mensongères en utilisant des photographies dont ils ne signalent ni la date, ni la provenance, dans le but d'obtenir un amer bénéfice émotionnel qui n’atteint la logique au final, qu’à court terme. Les défenseurs de l’industrie, avec leurs évidents intérêts économiques, sont aussi réputés pour l’exagération et la manipulation de leurs dires, malgré le fait qu’ils soient soumis à des analyses bien plus strictes de la part des gouvernements et de la presse. Il est évident que personne n'espère qu’au courant de leur courte vie, les veaux soient élevés dans des conditions inhumaines, mais la production de veaux ne s’arrêtera pas, ni ne déclinera, tant et aussi longtemps que le monde continuera d’acheter et de consommer lait, yogourt, beurre, crème et fromage. Au moment où un veau naît, d’énormes sommes d’argent on déjà été investies dans sa production, il serait donc absurde de tuer les mâles à la naissance et de jeter leurs carcasses aux poubelles.
  • ⅓ tasse chapelure nature
  • ⅓ tasse lait
  • 5 tranches bacon hachées
  • ½ tasse oignons hachés
  • 2 gousses d’ail pressées
  • 1 piment chipotle finement haché (en sauce adobo)
  • 1 cuillerée à thé cumin en poudre
  • 1 cuillerée à thé oregan séché
  • 2 cuillerées à table eau
  • 1 gros œuf légèrement battu
  • ¼ tasse persil frais haché
  • ¾ livre veau haché
  • ½ livre proc haché (ou bœuf)
Dans un bol, bien mélanger la chapelure et le lait, réserver.

Dans un grand poêlon, sur un feu modéré, faire cuire le bacon haché jusqu’à tendre, égoutter sur un papier absorbant.

Dans le même poêlon, faire cuire l’oignon, l’ail, le piment haché, le cumin et l’oregan dans le gras de bacon, jusqu’à ce que les oignons soient tendres, environ 3 minutes.

Ajouter l’eau, continuer la cuisson jusqu’à sec, en raclant le fond du poêlon afin de récupérer tous les sucs.

Dans une grande jatte, bien mélanger avec les mains, le mélange de chapelure, le mélange d’oignon, le veau, le porc, l’œuf et le persil.

Lorsque très bien amalgamé, façonner des boulettes d’une peu plus de 1’’, avec le mélange obtenu.

Déposer les boulettes sur une plaque de cuisson tapissée de papier parchemin et les faire cuire au four sur la grille du centre, à 350° pendant 10 minutes.

Retourner les boulettes, et continuer la cuisson pendant 5 minutes.

Laisser les boulettes tiédir quelques minutes et les enfiler sur les brochettes et remettre les brochettes sur la plaque de cuisson.

Repositionner la grille du four à 3 ou 4’’ du grill et faire griller les boulettes sous le grill pendant 2 à 3 minutes ou jusqu’à légèrement dorées.

Servir aussitôt avec une salade ou un accompagnement de légumes sautés.

Source : Jane Spice – déclinaison


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Burgers de chez Lucques garnis d'aïoli aux chipotles




Afin de profiter de chaque minute, déjà depuis l’école secondaire, Suzanne Goin a sauté directement dans le monde des arts culinaires en décrochant un stage à la prestigieuse Ma Maison de Los Angeles. Alors qu’elle jonglait avec ses cours à la Brown University, elle passait aussi beaucoup de temps entre les cuisines de L’Orangerie de Los Angeles et celles de Le Mazarin à Londres. Malgré un emploi du temps de globe-trotter très chargé, Goin a tout de même réussi à terminer ses études en Histoire, obtenant même une mention honorifique. Toujours en voyageant, c’est Chez Panisse à Berkeley et au non moins célèbre L’Arpège de Paris que sa carrière prend son essor. De retour aux États-Unis, Goin est nommée meilleur Creative Chef par le Boston Magazine en 1994, pour son expérience de chef chez Alloro. Elle retourne ensuite sur Los Angeles, où elle travaille pour Nancy Silverton et Mark Peel au Campanile, se hissant éventuellement jusqu’à la place de chef exécutif. En automne 1998, Goin est prête à ouvrir son propre restaurant. Lucques est alors ouvert avec sa partenaire d’affaires, Caroline Styne: un succès instantané. En un rien de temps, Lucques fait partie des 10 meilleures tables du pays selon des publications aussi prestigieuses que Gourmet et Saveur. En 1999, Goin elle-même est nommée un des meilleurs nouveaux chefs de l’année par le Food & Wine. Dans la poursuite de cette grande aventure, Goin et Styne ouvrent un second restaurant en 2002. En gardant le meilleur d’un restaurant au service complet et en le joignant à un bar à vins, le nouveau A.O.C. offre un menu de petits plats spécialisés dans les fromages et charcuteries, accompagnés de salades de saison et autres mets. Évidement nommé en l’honneur de l’Origine d’Appellation Contrôlée française, A.O.C. se vante d’offrir plus de 50 vins au verre. Le succès de Goin continue avec sa nomination à un prix de la James Beard Fondation en 2003, puis avec le lancement de son tout premier livre en 2005: Sunday Suppers at Lucques – Seasonal Recipes from Market to Table. Cette même année a aussi vu l’ouverture de Hungry Cat, une collaboration mari et femme, entre elle et le chef David Lentz. En 2007, le couple ouvre un second restaurant à Santa Barbara, puis une troisième association avec Styne voit le Tavern ouvrir en 2009… On est bien loin du temps où une jeune Suzanne d’à peine 10 ans, ouvrait une station de crêpes dans la cuisine familiale, pour servir les enfants du quartier!


Restauratrice et chef, Suzanne Goin

Burgers
  • 1½ lb porc haché maigre
  • 4oz chair à saucisse italienne piquante
  • 2 tranches bacon hachées
  • ¼ t. échalotes hachées
  • ¼ t. huile d’olive
  • 2 c. à table persil frais haché
  • 2 c. à table thym frais
  • 1 c. à thé cumin
  • 4 pains à hamburgers (grillés)
Aïoli aux chipotles
  • ½ t. mayonnaise
  • 4 c. à table jus de citron
  • Zeste d’un citron
  • ¼ t. gousses d’ail pressées
  • 1 c. à table estragon
  • 1 à 2 piments chipotles hachés (piments en sauce adobo)
  • Tomates, oignons, fromage, cornichons, etc. (autres garnitures au goût)
Pour les burgers

Dans une grande jatte, bien mélanger tous les ingrédients.

Façonner 4 galettes d’environ ¾" d’épaisseur.

Faire cuire les galettes sur le barbecue ou dans un poêlon, jusqu’à ce que l’intérieur des galettes perdent leur couleur rosée, soit environ 7 minutes de chaque côté, pour un total de 13 à 15 minutes (ne retourner les galettes qu’une seule fois!).

Poser chaque galette sur un pain, garnir d’aïoli aux chipotles et d'autres garnitures au goût, et refermer le pain.

Pour l’aïoli

Dans un bol, bien mélanger tous les ingrédients, couvrir d’une pellicule plastique et laisser macérer au frigo au moins 1H avant d’en garnir les burgers.

Source : My recipes (burgers) - déclinaison


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Gâteau du poisson d'avril



Contrairement à la plupart des autres fêtes du calendrier grégorien, l’histoire du poisson d’avril, fêté le premier jour d'avril, n’est pas tout à fait claire. Il n’existe pas réellement d’année précise à laquelle le premier poisson d’avril fut fêté. Certains croient qu'avec le temps, son origine aurait évoluée de célébrations soulignant l’arrivée du printemps, chez diverses cultures. Mais la marque chronologique la plus près de son origine peut être identifiée par le changement du calendrier romain, pour le calendrier grégorien. C'est en 1582, en France, sous Charles IX, que le calendrier fut en effet remplacé; avant cette date, la nouvelle année était célébrée le premier avril, mais avec la réforme, le premier janvier devint le premier de l’an. Cependant, les communications étant ce qu’elles étaient à l’époque, les nouvelles voyageant à pieds ou avec une peu de chance à cheval, l’information pouvait parfois pendre des années avant d’être reçue. Il n'était donc pas rare de constater que plusieurs refusaient d’accepter les changements. Ce fut probablement le cas avec un changement aussi grand que celui d'un calendrier et donc, certains continuèrent de célébrer le nouvel an, en date du premier avril. Considérés arriérés par la majorité, ceux-ci se voyaient qualifiés de ridicules; ils devinrent les sujets de moqueries et de blagues et ce harcèlement aurait évolué avec le temps pour donner lieu à la tradition que nous connaissons aujourd’hui, de jouer des tours et faire des blagues, le premier jour d'avril venu. La tradition s’étendit plus tard en Angleterre et en Écosse et les colons l’introduire en Amérique. Aujourd’hui, la plupart des nationalités ont leurs spécialités de blagues et de canulars, que chacun complote aux dépends de ses amis et parents. Les blagues sont à présent pratique courante le jour du poisson d’avril; parfois simples, parfois élaborées, celles-ci durent souvent la journée entière. Et même si le premier avril n’est pas chômé, même si les écoliers n’ont pas congé, c’est un jour sans contredit rempli de plaisir et de drôleries, mais un jour où personne n’est à l’abri et donc, chacun se doit de rester vigilant, sinon il pourrait être la prochaine victime d'une machination, d'une magouille, d'une plaisanterie... du poisson d’avril!

Gâteau
  • 1 lb bœuf haché maigre
  • 1 lb porc haché maigre
  • 3 c. à table pâte de tomate
  • 4 gousses d’ail pressées
  • 1 oignons finement haché
  • 1 branche de céleri finement haché
  • 2 tranches bacon haché
  • 1 œuf battu
  • ½ t. chapelure (type italienne)
  • 1 c. à table sauce Worcestershire
Glace
  • 6 à 8 grosses pommes de terres rouges pelées coupées en cubes grossiers
  • Muscade
  • 4 c. à table mayonaise
  • 2 c. à table beurre
  • ½ t. lait
Garnitures
  • Tomates-cerises, pois verts, bacon émietté, carottes cuites hachées, etc.
Pour le gâteau

Dans une grande jatte, bien mélanger tous les ingrédients et les répartir dans deux moules à gâteau d’environ 9’’.

Bien presser le mélange de viande dans les moules et cuire au four sur la grille du centre, à 350° pendant environ 20 minutes ou jusqu’à ce qu’un thermomètre interne indique 160°F.

Laisser les pains de viande tiédir avant de démouler, réserver.

Pour la glace

Dans une grande casserole, faire cuire les pommes de terres à grande eau salée.

Égoutter, ajouter le reste des ingrédients et réduire en purée à l’aide d’un pilon.

Pour obtenir une glace bien lisse, passer la purée obtenue au mélangeur ou au mixeur.

Déposer un des pains de viande sur une assiette de servir et le recouvrir de moitié de la purée de pommes de terre et bien lisser.

Recouvrir la purée du second pain de viande et utiliser le reste de la purée pour recouvrir le gâteau de façon uniforme.

Garder au four à basse température jusqu’au moment de servir.

Décorer au goût de tomates-cerises, pois verts, bacon émietté, rosettes de purée, etc.


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Burgers de porc piquant à la relish de pêches au miel


En Amérique, le terme “relish” est utilisé autant en français, qu’en anglais. Ce terme fait référence à un condiment contenant du vinaigre, du sel et du sucre, mais il peut aussi contenir des fruits ou des légumes hachés tels que la relish de cornichons marinés. «Relish» est apparu dans le vocabulaire anglais, en 1798 et vient du vieux français «reles», aujourd’hui modernisé en «relais» et décliné en «laisser», «relaisser» ou «relayer». Tous ces termes en fait, décriraient la relish au sens du goût savoureux qu’elle laisse en bouche. Pour les Anglais, le terme relish fait surtout référence à une fine sauce marinée à base de vinaigre. Mais dans tous les cas, la relish est certainement le résultat du désir de garder les fruits et légumes du jardin pendant l’hiver, alors que ceux-ci ne sont disponibles que marinés ou en conserve. Mais quelle est la différence entre un condiment et la relish? «Techniquement, la relish est un condiment hautement savoureux» Alan Davidson. Malgré une distinction très faible, on utilise un condiment la plupart du temps, en petite quantité, comme pour la moutarde dans un sandwich. À l’opposé, on peut très bien manger la relish à la cuillère alors qu’elle accompagne un plat de viande, tout comme pour le chutney; il est assez improbable de manger la moutarde à la cuillère! Au plaisir des grands amateurs de relish, il en existe plusieurs types. Le Chow-chow, une préparation de légumes mélangés et marinés, et dont l’histoire remonterait au 19e siècle en Amérique. Son origine par contre, serait chinoise et aurait été à la base, une combinaison de zeste d’orange, de gingembre et d’autres ingrédients, macérés dans un sirop. La Piccalilli anglaise se distingue pour sa part, par les cornichons surs entrant dans sa fabrication. Macérés dans une sauce moutardée, elle peut aussi contenir chou, oignons, poivrons verts, tomates vertes, céleri, haricots verts, sucre, épices, vinaigre et même, peau de pastèque! Enfin, les chutneys du terme indien «catni» prononcé «chatni», auraient été introduits en Amérique par les marins empruntant à l’époque, la route des épices. Et finalement, la relish commune, la plupart du temps fabriquée à partir de cornichons sucrés, de poivron et d’oignons, mais aussi retrouvée en version salée, elle est très certainement le type de relish le plus commercialement connu en Amérique.


Chow-chow, Piccalilli, chutney et relish sucrée et salée

Relish
  • 2 pêches fraîches mûres pelées dénoyautées coupées en brunoise
  • 2 c. à table oignons finement hachés
  • 1 gousse d’ail finement émincée
  • 2 c. à table miel
  • 2 c. à table vinaigre de cidre
  • Pincée de poivre de Cayenne
  • Sel et poivre au goût
Burgers
  • 1½lb porc haché
  • 2 cuillerées à table coriandre fraîche hachée
  • ½ c. à thé poudre d’ail
  • 1 c. à thé poivre fraîchement moulu
  • 2 c. à thé ketchup
  • 1 piment chipotle fumé en sauce Adobo finement haché (ou 2 pour obtenir un burger TRÈS piquant!)
  • 1 c. à thé sel
  • 1 c. à table moutarde de Dijon
  • 3 c. à table miel
  • 4 pains à hamburger (de préférence aux oignons)
  • Chou vert émincé
Pour la relish

Dans un bol, mélanger tous les ingrédients de la relish, couvrir et mettre au frigo quelques heures avant l’utilisation.

Pour les burgers

Dans une jatte, bien mélanger les 9 premiers ingrédients des burgers et façonner 4 à 6 galettes d’environ ¾ de pouce d’épais.

Faire cuire les galettes sur le BBQ ou dans un peu d’huile à la poêle, 3 à 4 minutes de chaque côtés ou jusqu’à ce que la viande ait perdu sa couleur rosée à l’intérieur.

Garnir à hamburgers d’une galette, de quelques cuillerées à table de relish aux pêches et de chou vert émincé.


Source : Emeril Lagassé - déclinaison


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Burgers mexicains


Chico Fernandez sleepin' on his gun
dreams of Santa Anna fightin' in the Sun
drums so loud from all sides
makes it hard to dream
a'blue is fallin' hard and fast
makes it all seem real

mornin' come mornin'
Chico gotta have his share
mornin' sad morning'
said he must be there
mornin' sad mornin'
well I laughed and I cried
and I cry cry cry cry cried

mornin' sad mornin'
Mexican

Signorita's pinin'
Chico come on home
Santa Ana's losin'
n' you'll be first to go
Sam Houstan's laughin'
and Davey Crockett too
when Ana takes the Alamo
the first to go is you

mornin' come Mornin'
a chico gotta have his share
mornin' sad mornin'
heaven will be there.

mornin' sad mornin'
well I laughed and I laughed
Ha ha ha ha ha


Babe RUTH - "The mexican" de l'album EMI "Grand Slam" / 1972
Paroles Alan SHACKLOCK
Video "Samuraï Jack"
  • ¾ lb porc haché maigre
  • ¾ t. haricots mélangés en boîte égouttés légèrement écrasés (rouges, blancs, pois chiches ou autres au choix)
  • ½ t. fromage Cheddar finement râpé
  • 2 tranches bacon hachées
  • 1 œuf
  • ½ t. chapelure nature
  • 4 c. à table combles salsa mexicaine
  • 1 oignon vert finement haché
  • 1 c. à thé poudre de cumin
  • 1 c. à thé poudre d’ail
  • Sel et poivre au goût
  • Beurre ou huile (pour la cuisson)
  • 4 pains à burgers
  • Garnitures au choix (mayonnaise, salsa, tomates, laitue, oignons, cornichons, etc.)
Dans une grande jatte, mélanger tous les ingrédients et façonner 4 galettes bien compactes avec les mains.

Dans un grand poêlon, faire chauffer le beurre ou l’huile sur un feu modéré et y faire cuire les galettes, environ 7 minutes de chaque côté ou jusqu’à ce que la viande perde sa couleur rosée à l’intérieur.

Déposer les galettes sur la base des pains à burgers et garnir au goût.


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Burgers améliorés de Mme Carrée


La chaîne de restaurants McDonald’s ne tient pas le même menu, partout autour du monde. Les restaurants McDonald's de divers pays ont le choix d’offrir ou non, les items servis en Amérique. Mais lorsque vous entrez dans un restaurant McDonald’s à l’étranger, attendez-vous à y retrouver certains items plus exotiques, au menu. Voici une liste d’items plus rarement retrouvés chez McDonald’s.


Inde

Les Indiens considère la vache comme un animal sacré et donc, la vente de bœuf étant défendue en Inde, les burgers qu’on y retrouve, appelés « Maharaja Mac » sont préparés avec de l’agneau ou du poulet. On y retrouve aussi un burger végétarien inconnu des États-Unis, le burger McAloo Tikki.


Norvège

Dans un pays où le poisson est constamment à l’honneur, vous retrouverez un burger/sandwich préparé avec du saumon et une sauce à l’aneth.


Allemagne

Vous retrouverez en Allemagne, la plupart des items du menu Américain, mais avec en plus, le luxe d’une bonne bière allemande!


Canada

Dans certaines parties du Canada, on peut retrouver un sandwich appelé McLobster ou McHomard en français. Il s'agit d’un petit pain oblong fourré d’un garniture de homard et mayonnaise.


Japon

Au Japon, McDonald’s offre plusieurs items cherchant à plaire à sa clientèle locale, tel le Filet-O-Ebi (un burger de crevettes), le burger Koroke (un mélange de pommes de terre pilées, de chou et de ketchup), les Chiki-Ebi (des croquettes de crevettes) ainsi qu’un lait frappé au thé vert.


Chili

Au Chili, les burgers de McDonald’s sont servis non pas avec du ketchup, mais bien avec de la pâte d’avocat ou plutôt, un genre de guacamole.


Costa Rica

Au Costa Rica, McDonald’s offre des portions de riz ainsi qu’un mélange de riz et de haricots espagnols, appelés Gallo Pinto.

Grèce

En Grèce, les burgers sont servis sur des pains pita, McDonald’s y sert d'ailleurs ce qu’ils appellent un Greek Mac.


Hong Kong

Voici un autre endroit ou McDonald’s offre du riz. Les locaux y retrouvent des Rice burgers dans lesquels le pain est remplacé par deux galettes de riz.


Israël

McDonald’s tient trois restaurants cachères en Israël, où le cheeseburger et les produits laitiers n’y sont pas servis puisque le judaïsme défend à ses fidèles de consommer « le petit de la vache dans le lait de sa mère ». On y offre donc, le McShawarma préparé avec du poulet et servis un pain pita.


Uruguay

En Uruguay, McDonald’s offre le McHuevo, le mot espagnol « huevo » signifiant un « œuf » en français, il s'agit ici d’un petit burger régulier, chapeauté d’un œuf.


Suisse

Question de ne pas manquer à la tradition helvète, les restaurants McDonald's de Suisse offrent des Raclette burgers, contenant bien évidement le fromage vedette du canton du Valais: la Raclette.

Évidemment, certains items mentionnés ci-haut, semblent bien plus “santé” que ce que l’on retrouve habituellement chez McDonald’s, on pourrait même croire qu’avec un peu d’effort, la chaîne internationale serait en mesure d’offrir bien mieux que ce que l’on connaît déjà et ainsi, améliorer sa réputation. En attendant, faites vos burgers vous-mêmes et soyez ainsi certains de ce que vous consommez!
  • ½ lb bœuf haché maigre
  • ½ lb porc haché maigre
  • 2 oignons verts émincés
  • 2 tranches bacon coupées en fins morceaux
  • 1½ c. à thé sauce soya
  • 1 c. à table pâte de tomates
  • ½ c. à thé poudre d'ail
  • Poivre au goût
  • 4 pains à hamburgers (maison ou du commerce)
  • Garnitures au choix (ketchup, mayonnaise, fromage, laitue, etc.)
Bien mélanger les 8 premiers ingrédients dans une grande jatte et former 4 boulettes bien fermes, d'une épaisseur d'environ 1".

Dans un poêlon, faire cuire les boulettes (sans gras) sur un feu moyen-fort, environ 7 à 8 minutes de chaque côté ou jusqu’à ce que l’intérieur des boulettes ait perdu sa couleur rosée.

Dresser les burgers au goût.


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