Alors que le point de vue principal de la controverse porte sur le veau, il s’applique autant sur l’agneau que sur le chevreau, lorsque ceux-ci sont élevés à des fins de productions laitières. Évidemment, la viande du veau est la même que celle d’une vache immature et représente inévitablement un sous-produit de l’industrie laitière. Pour faire en sorte que les vaches donnent constamment du lait, elles doivent être gestantes et produire au moins un veau par année. Les veaux femelles sont la plupart du temps, élevées avec le troupeau et vendus à des fermes laitières, une fois matures; mais l’autre moitié des naissances qui est mâle, est souvent considérée comme indésirable par cette industrie. L’industrie laitière nécessitait autrefois un taureau pour féconder les vaches, une fois par année; mais dorénavant, les fermes reçoivent leurs «taureaux» en bouteilles afin d’économiser et d’éviter les problèmes causés par ces brutes au mauvais caractère. La seule option des producteurs laitiers est de vendre leurs veaux mâles aux abattoirs qui feront boucherie avant que les petits n’aient atteint la puberté, et c’est là qu’entre en jeu cette fameuse controverse. Les défenseurs des animaux, qui pour la plupart n’ont jamais rencontré de taureau de leur vie et ne s’intéressent que très peu au faits énumérés précédemment, clament haut et fort que les veaux sont maltraités. Ils affirment que les veaux sont élevés dans des conditions inhumaines, nourris de façon déséquilibrée pour les rendre anémiques et vaccinés avec des hormones et toutes sortes de produits dangereux. L’industrie du veau pour sa part nie toutes ces attaques et réplique en affirmant que les veaux sont très bien traités et toujours testés pour quelques résidus médicamenteux que ce soit. Alors, qui dit vrai? On dit, et avec raison, des défenseurs des animaux, qu’ils inventent souvent de fausses allégations et des exagérations mensongères en utilisant des photographies dont ils ne signalent ni la date, ni la provenance, dans le but d'obtenir un amer bénéfice émotionnel qui n’atteint la logique au final, qu’à court terme. Les défenseurs de l’industrie, avec leurs évidents intérêts économiques, sont aussi réputés pour l’exagération et la manipulation de leurs dires, malgré le fait qu’ils soient soumis à des analyses bien plus strictes de la part des gouvernements et de la presse. Il est évident que personne n'espère qu’au courant de leur courte vie, les veaux soient élevés dans des conditions inhumaines, mais la production de veaux ne s’arrêtera pas, ni ne déclinera, tant et aussi longtemps que le monde continuera d’acheter et de consommer lait, yogourt, beurre, crème et fromage. Au moment où un veau naît, d’énormes sommes d’argent on déjà été investies dans sa production, il serait donc absurde de tuer les mâles à la naissance et de jeter leurs carcasses aux poubelles.
Dans un grand poêlon, sur un feu modéré, faire cuire le bacon haché jusqu’à tendre, égoutter sur un papier absorbant.
Dans le même poêlon, faire cuire l’oignon, l’ail, le piment haché, le cumin et l’oregan dans le gras de bacon, jusqu’à ce que les oignons soient tendres, environ 3 minutes.
Ajouter l’eau, continuer la cuisson jusqu’à sec, en raclant le fond du poêlon afin de récupérer tous les sucs.
Dans une grande jatte, bien mélanger avec les mains, le mélange de chapelure, le mélange d’oignon, le veau, le porc, l’œuf et le persil.
Lorsque très bien amalgamé, façonner des boulettes d’une peu plus de 1’’, avec le mélange obtenu.
Déposer les boulettes sur une plaque de cuisson tapissée de papier parchemin et les faire cuire au four sur la grille du centre, à 350° pendant 10 minutes.
Retourner les boulettes, et continuer la cuisson pendant 5 minutes.
Laisser les boulettes tiédir quelques minutes et les enfiler sur les brochettes et remettre les brochettes sur la plaque de cuisson.
Repositionner la grille du four à 3 ou 4’’ du grill et faire griller les boulettes sous le grill pendant 2 à 3 minutes ou jusqu’à légèrement dorées.
Servir aussitôt avec une salade ou un accompagnement de légumes sautés.
Source : Jane Spice – déclinaison
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- ⅓ tasse chapelure nature
- ⅓ tasse lait
- 5 tranches bacon hachées
- ½ tasse oignons hachés
- 2 gousses d’ail pressées
- 1 piment chipotle finement haché (en sauce adobo)
- 1 cuillerée à thé cumin en poudre
- 1 cuillerée à thé oregan séché
- 2 cuillerées à table eau
- 1 gros œuf légèrement battu
- ¼ tasse persil frais haché
- ¾ livre veau haché
- ½ livre proc haché (ou bœuf)
Dans un grand poêlon, sur un feu modéré, faire cuire le bacon haché jusqu’à tendre, égoutter sur un papier absorbant.
Dans le même poêlon, faire cuire l’oignon, l’ail, le piment haché, le cumin et l’oregan dans le gras de bacon, jusqu’à ce que les oignons soient tendres, environ 3 minutes.
Ajouter l’eau, continuer la cuisson jusqu’à sec, en raclant le fond du poêlon afin de récupérer tous les sucs.
Dans une grande jatte, bien mélanger avec les mains, le mélange de chapelure, le mélange d’oignon, le veau, le porc, l’œuf et le persil.
Lorsque très bien amalgamé, façonner des boulettes d’une peu plus de 1’’, avec le mélange obtenu.
Déposer les boulettes sur une plaque de cuisson tapissée de papier parchemin et les faire cuire au four sur la grille du centre, à 350° pendant 10 minutes.
Retourner les boulettes, et continuer la cuisson pendant 5 minutes.
Laisser les boulettes tiédir quelques minutes et les enfiler sur les brochettes et remettre les brochettes sur la plaque de cuisson.
Repositionner la grille du four à 3 ou 4’’ du grill et faire griller les boulettes sous le grill pendant 2 à 3 minutes ou jusqu’à légèrement dorées.
Servir aussitôt avec une salade ou un accompagnement de légumes sautés.
Source : Jane Spice – déclinaison
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