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Petits shortcakes au chocolat, oranges caramélisées et Chantilly à la marmelade de clémentine





Recette suggérée par Tania de Love Big, Bake Often
dans le cadre de ma cent-trentième participation aux TWD

Follow me, don't follow me
I've got my spine, I've got my orange crush
Collar me, don't collar me
I've got my spine, I've got my orange crush
We are agents of the free
I've had my fun and now its time to
Serve your conscience overseas
Over me, not over me
Coming in fast, over me

High on the roof,
Thin the blood,
Another one on the waves tonight,
Comin' in, you're home

We'd circle and we'd circle and we'd circle
To stop and consider and centered on the pavement
Stacked up all the trucks jacked up and
Our wheels in slush and orange crush in pocket
And all this here county
Hell any county it's just like heaven here
And I was remembering
And I was just in a different county
And all then this whirlybird
That I headed for I had my goggles pulled off
I knew it all I knew every back road and every truck stop

Orange Crush, R.E.M. – 1988


Vidéo de Orange Crush - R.E.M - 1988

Shortcakes

  • 1⅓ tasse lait
  • 1½ cuillerée à thé vanille
  • 1 gros œuf
  • 3⅓ tasse farine
  • ⅔ tasse cacao
  • 2 cuillerées à table poudre à pâte
  • ½ cuillerée à thé bicarbonate de sodium
  • Pincée de sel
  • ¾ tasse sucre
  • ¾ tasse beurre froid coupé en cubes

Garnitures

  • 1 ½ jus d’orange fraîchement pressé
  • ¾ tasse sucre
  • 8 oranges coupées en suprêmes
Framboises

  • Chantilly
  • 1½ tasse crème 35%
  • 2 cuillerées à table sucre glace
  • ½ cuillerée à thé vanille
  • 4 cuillerées à table marmelade de clémentine

Pour les shortcakes

Dans une jatte, à l’aide d’un fouet à main, battre le lait, la vanille et l’œuf, réserver.

Dans une grande jatte, bien mélanger la farine, le cacao, la poudre à pâte, le bicarbonate, le sel et le sucre.

Ajouter le beurre et à l’aide d’un coupe-pâte, couper le beurre dans les ingrédients secs jusqu’à l’obtention d’une texture grossière.

Ajouter les ingrédients liquides aux ingrédients secs et bien mélanger à la cuillère de bois, jusqu’à l’obtention d’une pâte molle (ne pas trop travailler la pâte!).

Déposer des portions de pâte sur une plaque de cuisson préalablement tapissée de papier parchemin, à l’aide d’une cuillère à glace, soit un peu plus de ¼ de tasse, en prenant soin de les espacer d’environ 2".

À l’aide du dos d’une cuillère mouillée, presser les boules de pâte légèrement, de façon à ce qu’elles aient 1" d’épaisseur.

Faire cuire au four sur la grille du centre, à 350° pendant 12 à 15 minutes.

Laisser complètement refroidir à température ambiante avant de couper sur l’horizontal, et garnir.

Pour les oranges caramélisées

Dans une petite casserole, amener à ébullition le jus d’orange et le sucre, sur un feu modéré.

Aux premiers bouillons, retirer du feu et couvrir les suprêmes d’oranges du sirop obtenu, réserver.

Pour la Chantilly

Dans une grande jatte, à l’aide d’un batteur électrique, battre la crème jusqu’à l’obtention de pics mous.

Ajouter le sucre glace et la vanille, et continuer de battre jusqu’à l’obtention de pics fermes.

Ajouter la marmelade et battre à nouveau quelques instants, jusqu’à homogène.

Garnir les parts inférieures des shortcakes d’une portion de Chantilly à la marmelade, puis que quelques suprêmes d’oranges égouttés et de framboises.

Chapeauter la garniture des parts supérieures des shortcakes, décorer de quelques fruits et d’un peu de sirop.





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Panettone comme un pain perdu, marmelade de clémentines de Patrice Demers





À en juger du large éventail de saveurs qu’il nous offre à travers ses desserts plus astucieux les uns que les autres, il n’est pas surprenant d’apprendre que le trajet qui a mené Patrice Demers à la pâtisserie, soit saussi stupéfiant. Devoir choisir une seule passion entre la magie, la psychologie et l’art culinaire, relève effectivement d’un déroutant tour de passe-passe. Et c’est pourtant ce qu’à dû faire Patrice, alors qu’à 19 ans il décide, heureusement pour nous, de troquer les menottes houdiniennes et le carnet de notes freudien, pour enfiler la toque de pâtissier de l’École Hôtelière de Laval à Québec. Il entend à l’époque entamer ses études côté cuisine, mais une liste d’aspirants trop bondée, l’oblige alors à s’engager dans l’ardu programme de pâtisserie. Mais Patrice découvre dans cet art une passion quasi alchimique, un équilibre frisant la folie, qui l’incitent à poursuivre sa quête du côté édulcoré de la gastronomie. Aussi habile que Merlin, avec une application jungienne, il peaufine simultanément ses techniques en tant qu’apprenti dans un petit restaurant de Montréal: La Gaudriole. Sa recherche créative le conduit par la suite, à d’illustres adresses montréalaises, puis sa curiosité et son désir de perfectionnement, à découvrir le meilleur de l’Europe et des États-unis, pour enfin décrocher une place au bistro français Leméac, à Montréal. En 2003, Patrice se joint à trois collègues pour ouvrir Les Chèvres, où il prend le contrôle du chapitre pâtisserie en développant un style tout à fait à son image: simple, raffiné, distingué, toujours délicat et sans contredits, très recherché. En 2005, il ouvre Le Chou, puis se joint à l’équipe du Laloux en 2007, consolidant ainsi sa réputation sur la scène culinaire internationale en tant que nouveau et prometteur talent à la recherche de la parfaite fusion du sucré, du salé et de l’acidulé. Après deux ans chez Laloux, Patrice s’installe chez Newtown dans le but d’aider à sa réouverture et ce, peu de temps avant concrétiser un projet personnel, Les 400 coups, qui l’unira à ses complices, le chef Marc-André Jetté et l'excellente Marie-Josée Beaudoin.

Marmelade

  • 5 clémentines
  • 1 tasse sucre
  • ¾ tasse jus de clémentines (environ 8 clémentines)
  • Eau en quantité suffisante

Pain perdu

  • Panettone tranché épais
  • 4 œufs
  • ½ tasse sucre
  • 1 gousse de vanille grattée (les grains seulement)
  • 1 tasse crème 35%
  • 1 tasse lait
  • Beurre (pour la cuisson)
  • Crème fraîche (pour le service)

Pour la marmelade

Dans une casserole, déposer les clémentines qui auront été piquées à six endroits différents, à la pointe d’un couteau.

Couvrir les clémentines d’eau froide, porter à ébullition sur un feu modéré.

Aux premiers bouillons, retirer du feu, égoutter les clémentines et les couvrir d’eau froide à nouveau, afin de répéter le blanchiment deux autres fois.

Après 3 blanchiments, remettre les clémentines dans la casserole, ajouter le sucre, le jus de clémentines et assez d’eau pour couvrir les fruits.

Confire sur un feu doux pendant 2H (à petit bouillon soit, un léger frémissement).

Lorsque les clémentines semblent bien confites, retirer du feu, laisser tiédir quelque peu et mettre au frigo au moins 8H.

Égoutter les clémentines et les hacher finement, en prenant soin de réserver le sirop.

Transférer la purée de clémentines confites dans un pot et y ajouter assez de sirop pour obtenir la texture désirée.

Pour le pain perdu

Dans une jatte, à l’aide d’un fouet à main, battre les œufs, le sucre et la vanille jusqu’à légèrement mousseux.

Ajouter la crème et le lait, battre à nouveau jusqu’à homogène.

Tremper les tranches de panettone dans le mélange d’œufs en les retournant pour bien les imbiber du liquide.

Dans un poêlon, faire fondre une noisette de beurre sur un feu modéré et y faire dorer le panettone, 2 à 3 minutes par côté.

Terminer la cuisson au four sur la grille du centre, à 350°, pendant 4 minutes.

Servir chaque tranche de panettone, sur quelques cuillerées de marmelade de clémentines et garnir de crème fraîche.

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Verrines "tian" à l'orange sanguine





Recette suggérée par Jennifer de Chocolat Shavings
dans le cadre de ma dix-neuvième participation aux défis Daring Bakers

La signification de l’utilisation de fleurs d’oranger dans la couronne d’une mariée, reste plus ou moins controversée. Certains croient qu’elle fut introduite par les guerriers des Croisades qui l’auraient eux-mêmes prise des Sarazins. L’oranger portant simultanément ses fleurs et ses fruits, il était alors considéré comme un signe de prospérité très apprécié des Sarazins. De couleur blanche, la fleur d’oranger était aussi perçue comme un symbole d’innocence et de chasteté. Une légende espagnole raconte la tristesse de la fille du jardinier du palais royal. La jeune fille, en âge de se marier, n’avait pas de dote suffisante à offrir et son amoureux était trop pauvre pour, à lui seul, subvenir à leur future famille. Le roi, évidemment très riche, était la seule personne à posséder un oranger; celui-ci défendait à quiconque de l'approcher, encore moins d'y toucher. Mais un jour, un ambassadeur français vint visiter le monarque espagnol et le visiteur démontra beaucoup d’admiration pour ce fameux oranger dont il avait tant entendu parler. La fille du jardinier promit de lui en obtenir une bouture, s’il l’aidait à régler son problème de dote. Sans aucune réticence, l'ambassadeur lui paya une coquette somme en échange d’une bouture. Le jour de son mariage, la jeune fille avait à nouveau dérobé quelques rameaux de l'oranger et les portait avec fierté, couronnée d'un chapelet de fleurs de d’oranger, en reconnaissance de son bonheur. L’histoire ne raconte pas si le monarque, propriétaire de l’oranger, fut mis au courant de la transaction et il est bien probable que ce symbole fut adopté par les modistes français, sur le compte de sa beauté, plutôt que sur celui de sa signification. Autrefois, chez les Anglo-saxons, la couronne de la mariée était souvent constituée d’épis de maïs, une coutume originalement pratiquée par les Grecs pour solliciter la prospérité. Ces épis de maïs restaient la propriété de l’Église et étaient utilisés pour tous les mariages. Cette coutume subsiste toujours en Grèce, l’utilisation de fleurs d’oranger n’est donc pas pratiquée dans tous les pays, surtout pas en ce qui a trait aux mariages paysans. En Bavière, la mariée porte une couronne de perles, de verre ou d’or. En Norvège, en Suède et en France, c’est une couronne d’argent qui prévaut, alors qu’en Allemagne, il serait surprenant de ne pas voir de feuilles de myrte entremêlées aux roses rouges et blanches de la couronne de la mariée.

Sablés
  • 1 t. beurre
  • ½ t. sucre
  • ¼ t. sucre glace
  • 2 gros jaunes d’œufs à température ambiante
  • 2 t. farine
  • ½ c. à thé sel
  • Chocolat fondu (facultatif)
Marmelade
  • 5 à 6 clémentines tranchées en fine rondelles (peau incluse)
  • 3.5oz jus de clémentine fraîchement pressé
  • Sucre (en quantité égale au poids de l’orange)
  • 1 cuillerée à table pectine liquide
Caramel
  • 1½ tasse jus d’orange fraîchement pressé
  • 1 tasse sucre
Verrines
  • 4 oranges sanguines pelées à vif
  • 1 tasse crème 35%
  • 3 cuillerées à table eau tiède
  • 1 cuillerée à table gélatine neutre
  • 1 cuillerée à table sucre glace
  • 1 cuillerée à table marmelade
Pour les sablés

Dans un bol, bien mélanger la farine et le sel, réserver.

Dans une grande jatte, battre le beurre et les sucres, jusqu’à bien aérés et mousseux.

Ajouter les jaunes d’œufs délicatement, à l'aide d'une maryse.

Ajouter les ingrédients secs aux ingrédients liquides en ne battant que jusqu’à incorporés.

Avec les mains, rassembler la pâte en une boule, l’envelopper dans une pellicule plastique et la mettre au frigo au moins 1H.

Laisser la pâte tiédir pendant 10 minutes à température ambiante et la rouler jusqu’à un peu moins .5", sur un plan de travail légèrement enfariné.

Découper les formes désirées, transférer les formes sur une plaque à cuisson préalablement tapissée de papier parchemin.

Faire cuire au four sur la grille du haut, à 350° pendant 15 à 20 minutes ou jusqu’à très légèrement dorés sur le pourtour.

Laisser complètement refroidir avant de tremper partiellement ou complètement dans le chocolat fondu, laisser figer sur une feuille de papier ciré, réserver.

Pour la marmelade

Blanchir les rondelles de clémentine dans l’eau bouillante, pendant 2 minutes.

Égoutter, laisser tiédir, blanchir à nouveau pendant 2 minutes, égoutter et laisser complètement refroidir.

Hacher les rondelles de clémentine le plus finement possible (ou au goût).

Peser les clémentines hachées et mesurer le même poids, en sucre.

Dans une petite casserole à fond épais ou en cuivre, sur un feu modéré, faire chauffer les clémentines hachées, le sucre, le jus et la pectine jusqu’à épaississement, environ 15 minutes, réserver.

Pour le caramel

Dans une petite casserole, faire chauffer le jus et le sucre sur un feu modéré.

Aux premiers bouillons, retirer du feu, verser la moitié du caramel sur les suprêmes d’orange et réserver le reste pour un autre usage.

Pour les verrines

Dans une grande jatte, battre la crème à l’aide d’un batteur électrique.

Lorsque la crème commence à épaissir, ajouter le sucre glace et continuer de battre jusqu’à ferme, réserver.

Dans un petit bol, saupoudrer la gélatine sur l’eau tiède et laisser gonfler pendant 5 minutes.

Une fois la gélatine gonflée, passer le bol au four micro-ondes pendant 15 secondes.

Ajouter la marmelade à la gélatine, bien dissoudre et laisser tiédir.

Ajouter le mélange de gélatine à la crème fouettée en battant constamment, réserver.

Pour l’assemblage

Égoutter les suprêmes d’orange et les disposer harmonieusement au fond de 4 grandes ou 8 petites verrines, au goût.

Diviser la crème également entre les verrines et la verser sur les suprêmes.

Mettre les verrines au frigo au moins 1H ou au congélateur une dizaine de minutes.

Ajouter environ quelques cuillerées à table de marmelade sur la crème de chacune des verrines et retourner au frigo jusqu'au moment de servir.

Servir bien frais accompagné d’un sablé chocolaté.

The 2010 March Daring Baker’s challenge was hosted by Jennifer of Chocolate Shavings. She chose Orange Tian as the challenge for this month, a dessert based on a recipe from Alain Ducasse’s Cooking School in Paris.

*Donne une cinquantaine de petits fours

Source: Alain Ducasse - déclinaison


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Vodka à la clémentine


Connu depuis le 17e siècle, le terme « vodka » serait un dérivé russe de «voda», soit «eau». On croit que son ancêtre, l’eau-de-vie, fut initialement introduite en Russie par les marchands génois, en route vers la Lithuanie. Ces marchands en traversant par la Russie et auraient été les invités du Prince Dmitry Ivanovich, alors surnommé Donskoy, suite à sa victoire sur l’armée Tartare-Mongole, aux abords de la rivière Don. Flattés par l’hospitalité du gouverneur moscovite, les Génois lui offrirent des tonneaux contenant cette fameuse eau-de-vie. Les Russes cependant, n’auraient pas été impressionnés par ce jus de raisin fermenté et distillé; l’hydromel et la bière étaient alors, bien plus populaires auprès du peuple. En 1429, d’autres étrangers introduirent leur eau-de-vie en Russie, mais cette fois-ci, sous la bannière d'une cure universelle, et la boisson fut très appréciée à la cour du jeune Prince Vasily II Vasilievitch. Mais comme celle-ci était très forte, on la dilua avec de l’eau et c'est vers le 15e siècle, que l'on commença dans les monastères russes, la production de vodka à base d’une des matières premières les plus abondantes de Russie : le grain. Mais ce n’est que vers la fin de ce siècle, et d’après les règles du monopole de l’alcool de Ivan III, que les Russes exportèrent pour la première fois, cette même vodka qui allait bientôt, conquérir le monde. À travers l’histoire russe, les façons de produire la vodka et le droit de la vendre en payant un pourcentage à l’état (qui pouvait grandement enrichir les détenteurs de permis), furent constamment attribués, puis retirés. Ce qui n’empêcha pas l’état, nombre d'aristocrates, de nobles et de riches marchands de faire fortune en distillant la vodka. Il n’est donc pas surprenant de constater que la vodka produite alors par la noblesse qui utilisait pour ce faire, les meilleurs ingrédients, était d’une qualité insurpassable. Il est aussi très intéressant de noter que contrairement aux vodkas produites par l’état, les vodkas «maison» étaient le plus souvent, aromatisées. Pour produire cette vodka «maison», l’alcool était distillé par trois fois, de l’eau et diverses plantes y étaient ensuite ajoutées, puis la vodka était distillée une quatrième et dernière fois. Selon les historiens, les tables des nobles russes de l’époque étaient couvertes de carafes et de décanteurs contenant tant de saveurs de vodka, qu’il nous serait aujourd’hui, impossible d’imaginer une telle variété. Les gourmets sophistiqués faisaient même leur point d’honneur d’avoir en toute circonstance, une vodka parfumée pour chaque lettre de l’alphabet russe! Cerise et poire, mûre et noisette, carvi et aneth, cerise de terre et sauge, un nombre incroyable de baies, de racines et de noix étaient entraient dans la confection de cette boisson traditionnelle russe! …Et presque chaque propriétaire avait sa propre spécialité!

En 1992, la délivrance du décret de l’abolition du monopole de l’état sur la vodka par le président Boris Yeltsin, noyait la Russie dans une production de vodka de piètre qualité, résultant en des boissons quasi dangereuses. L’effet de cette «fausse vodka» à grande échelle fut tellement apparente et les pertes financières si grandes, qu’après une année seulement, soit en 1993, un nouveau décret présidentiel fut émis, faisant état de la réinstauration du monopole de l’état sur la production, le stockage ainsi que la vente de tous les produits alcoolisés russes.
  • 3 t. vodka
  • ½ t. jus de clémentines fraîchement pressé (environ 3 clémentines)
  • ¼ t. jus de citron fraîchement pressé
  • t. sucre
  • 1 citron tranché en rondelles
  • 2 clémentines tranchées en rondelles
Dans une petite casserole, faire chauffer le jus de clémentine, le jus de citron et le sucre jusqu’à ce que ce dernier soit dissout, laisser tiédir.

Verser le tout dans un contenant hermétique, ajouter la vodka, les rondelles de clémentines et de citron.

Laisser reposer le tout à température ambiante, pendant au moins 2 semaines.

Tapisser une passoire de coton à fromage et filtrer le tout.

Verser le vodka à la clémentine dans une belle bouteille de verre et garder au frigo jusqu’au moment de servir.

Source : Ricardo Larivée



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