Aucun message portant le libellé grandes occasions. Afficher tous les messages
Aucun message portant le libellé grandes occasions. Afficher tous les messages

Verrines de foie gras en croûte de pain d'épices sur pommes caramélisées au vin de Muscat





Recette aussi publiée sur le site de Canadian Tire
dans le cadre de ma participation à la Brigade de cuisine de Noël

Brigade de cuisine de Noël! Qu’est-ce que ça veut dire? Ça veut dire qu’à quelques minutes de partir célébrer mon anniversaire dans un beau b&b du Vermont, valises dans le coffre et GPS programmé à l’appui, je recevais deux mystérieux appareils de cuisine, que je devais tester et évaluer! Tout ça, commandité par Canadian Tire… et sa Brigade!

Les appareils à tester, dont je ne connaissais pas la nature, sont arrivés comme je partais en weekend; j’ai à peine eu le temps de tout déballer pour me faire une idée de ce que j’allais concocter avec un tel… blender? Blender. Oké. Bien. Pendant trois jours et deux nuits, je me suis fait des scénarios de recettes, de bouchées et de plats de Noël… j’ai dormi, rêvé, mangé et respiré "blender"!

Tout ça pour rien! Parce que de retour lundi, je me suis rendu compte que je m’étais honteusement fourvoyée! En fait, vous ferez certainement la même erreur que moi en arpentant les allées de votre Canadian Tire, lorsque vous tomberez nez-à-nez avec le Ninja® Kitchen System 1100. Eh, oui! On dirait un blender tout ce qu’il y a de plus normal, mis à part son apparence un peu plus moderne que traditionnelle. Mais détrompez-vous… moi dans tout les cas, je n’avais jamais rien utilisé de tel! Un pseudo-blender qui pulvérise oui, les fruits, les légumes, la glace, etc., comme tout bon blender le ferait. Mais tah nah nah! Le Ninja® Kitchen System 1100 hache, réduit en purée, fouette, mélange et pétrit!!! En réalité, il peut remplacer un batteur et un fouet à main, un blender, un robot culinaire et peut-être même… un batteur sur socle! Sacrilège! Je le mentionne, mais n’ai toujours pas essayé cette caractéristique du Ninja. Vous serez les premiers cependant, à connaître mes impressions lorsque ce sera fait et je suis bien consciente que ce sera là, le test ultime de cet engin! Jusqu’à maintenant toutefois, j’ai mélangé, haché et pulvérisé pour réaliser pâte à biscuits, confiture et chapelure.

Ce petit électro-ménager vient avec deux jarres: une première de 72oz pour les grandes quantités de liquides comme les soupes, les smoothies, etc. et une seconde de 40oz, pour la plupart des autres fonctions. Avec la grande jarre, on peut utiliser le fouet ou les lames à pulvériser pour obtenir des soupes et des smoothies bien lisses, mais aussi pour concasser la glace ou fouetter les mousses et la chantilly. Avec la plus petite jarre, on utilise les lames à pulvériser/hacher, la pale ou le crochet à pétrir pour hacher les légumes et les fruits, mélanger les pâtes à pains, à gâteaux, à tartes, à biscuits ou à crêpes, pulvériser la chapelure ou les noix, pétrir le pain ou la brioche! Bon, il ne passe pas l’aspirateur, ni ne borde les enfants, mais franchement j’avoue que jusqu’à maintenant, le Ninja® Kitchen System 1100 me semble extra pratique! …et je ne vous ai pas même mentionné sa puissance!

Parce que vous l’aurez devinez, même si c’est difficile à croire, la mention "1100" du Ninja® Kitchen System représente oui, oui… 1100 watts!!! C’est autant que mon aspirateur! ...Et 4 fois plus que le moins cher des plus réputés batteurs sur socle! Je vous jure qu’il m’a littéralement scié les jambes à la première pression du doigt! Avec une voile et quelques gilets de sauvetage, on pourrait faire le tour du monde à bord de ce truc! Toute sa magie réside donc dans sa puissance et dans son ingénieux couvercle qui s’emboîte sur les différentes lames/pales permettant ainsi des révolutions plus contrôlées sur toute la hauteur des jarres, et donc plus puissantes.

Simplement résumé, l’ensemble Ninja® Kitchen System 1100 comprend un socle/moteur extra puissant, deux jarres et cinq différentes lames/pales à double soutien. Pas plus, pas moins et surtout pas d’anneaux d’étanchéité, de fond amovible ou de petits machins trucs que le temps s’organise toujours pour perdre ou briser.

Plein d'autres aventures m'attendent avec le Ninja® Kitchen System 1100... restez-donc branchés pour la prochaine: Verrines de gaspacho à la salsa de prunes et crème de concombre, mini grilled cheeses de chèvre!

Verrines de foie gras en croûte de pain d’épices sur pommes caramélisées au vin de Muscat
Portions : 4 petites verrines
Préparation : 15 minutes (au total)
Réfrigération : 1h30 (au total)
Cuisson : 20 minutes (au total)

Biscuits et chapelure
*Cette recette vous donnera assez de pâte pour faire la chapelure et les éclats des verrines, mais aussi 1 à 2 douzaines de biscuits supplémentaires. La quantité nécessaire aux verrines est d’environ ½ tasse de pâte à biscuits crue, mais elle pourrait aussi être remplacée par un pain d'épices du commerce, que l'on aurait préalablement fait griller.

  • 1½ tasse farine à gâteau
  • 1 cuillerée à thé gingembre moulu (ou au goût)
  • ½ cuillerée à thé cannelle moulue (ou au goût)
  • ½ cuillerée à thé cardamome (ou au goût)
  • Pincée de piment de la Jamaïque moulu (ou au goût)
  • Pincée de clou moulu
  • Pincée de muscade
  • Poivre noir moulu (au goût)
  • Pincée de bicarbonate de sodium
  • Pincée de sel
  • ¼ tasse beurre mou
  • ½ tasse de cassonade
  • 1 petit œuf battu
  • ¼ tasse mélasse
  • ¼ cuillerée à thé vanille

Pommes caramélisées

  • 3 cuillerées à table beurre
  • 3 cuillerées à table oignon finement haché
  • 1 grosse pomme à cuire hachée (Cortland, Granny Smith, etc.)
  • ¼ tasse canneberges séchées hachées
  • 2 cuillerées à table sucre
  • 3 cuillerées à table cassonade
  • 1 cuillerée à table vin de Muscat (Baumes de Venise, Rivesaltes, etc.)
  • Sel et poivre fraîchement moulu (au goût)

Foie gras

  • 1 tranche de foie gras frais déveiné (env. 100 grammes - compter 25gr/pers.)
  • Sel
  • 1 œuf battu
  • Chapelure de pain d’épices
  • Dés de pommes (pour le service)
  • Gros sel (pour le service)

Pour les biscuits et la chapelure

Dans un bol, bien mélanger la farine, les épices, le bicarbonate de sodium et le sel, réserver.

Dans la petite jarre du Ninja, crémer le beurre et la cassonade en quelques pulsions, afin d'obtenir une pâte épaisse.

Ajouter l’œuf et pulser quelques coups, puis la mélasse et la vanille, toujours en pulsant quelques coups.

Ajouter les ingrédients secs aux ingrédients liquides, pulsant que jusqu'à ce que tous les ingrédients soient humides et forment une boule molle (ne pas trop pulser!).

Transférer la pâte obtenue sur une pellicule plastique, l'envelopper, la presser légèrement et la réfrigérer au moins 1H.

Sur un plan de travail fariné, rouler environ ½ tasse de la pâte jusqu'à une épaisseur d'environ 3mm (1cm pour des biscuits), vous aurez alors un carré de pâte d’environ 25x25cm.

Transférer sur une plaque de cuisson préalablement tapissée de papier parchemin et cuire au four sur la grille du centre, à 350° pour 5 à 7 minutes (10 à 12 pour des biscuits plus épais) ou jusqu'à ce que le centre du biscuits soit ferme au toucher.

Laisser complètement refroidir avant de briser la moitié en éclats, et pulvériser l’autre en chapelure, dans la petite jarre du Ninja.

Pour les pommes caramélisées

Dans un petit poêlon, faire fondre le beurre sur un feu modéré et y faire tomber l’oignon jusqu’à translucide, environ 2 minutes.

Ajouter les pommes et poursuivre la cuisson 2 minutes en remuant de temps à autres.

Ajouter les canneberges, le sucre et la cassonade, bien mélanger et laisser caraméliser 2 à 3 minutes supplémentaires.

Déglacer au vin de Muscat et laisser réduire presque jusqu'à sec.

Diviser les pommes caramélisées dans 4 verrines, garnir de quelques pincées de chapelure et de croustillants éclats de pain d’épices, réserver.

Pour le foie gras

Couper la tranche de foie gras en 4 lamelles épaisses, les saler et les tremper dans l’œuf battu, puis dans la chapelure de pain d’épices en prenant soin de bien couvrir toute la surface du foie gras; bien couvrir et réfrigérer au moins 30 minutes.

Dans un poêlon anti-adhésif, faire dorer les lamelles de foie gras panées sur un feu moyen-fort, 30 secondes par côté, ou jusqu’à bien dorées et toujours fermes.

Déposer une lamelle de foie gras par verrine, garnir de dés de pomme et de gros sel, et servir aussitôt accompagné d’un vin de muscat, d’un champagne ou mieux encore, d’un Sauternes.




  Image Hosted by ImageShack.us

Verrines de gaspacho à la salsa de prunes et crème de concombre, mini grilled cheeses de chèvre




Recette aussi publiée sur le site de Canadian Tire
dans le cadre de ma participation à la Brigade de cuisine de Noël

Voilà… ça y est, nouvelle aventure.

Toujours mettant en vedette le Ninja® Kitchen System 1100, duquel j'évalue les performances et résultats, en tant que membre de la Brigade de cuisine de Noël de Canadian Tire! Pour celle-ci j’ai haché, réduit en purée et fouetté, pour réaliser salsa, soupe et crème mousseuse! Nul besoin de vous en dire plus sur le Ninja® Kitchen System 1100, sauf que tout est dans ma première tentative: Verrines de foie gras en croûte de pain d'épices sur pommes caramélisées au vin de Muscat.... je persiste et signe!



Ninja® Kitchen System 1100 : socle/moteur, jarres 72 et 40oz, grande et petite lames, fouet, crochet et pale

Il ne me reste plus maintenant, qu’à décider de ce que je ferai de mon vieux blender, mon batteur à main et petit mon robot culinaire… vente de garage au printemps prochain, des intéressés?

Cette série dédiée à la Brigade de cuisine de Noël, rendue possible grâce à Canadian Tire, traite de mon expérience, de mes recettes et de mes trucs en lien avec des articles promotionnels. Si vous désirez laisser libre cours à votre potentiel culinaire, demeurez à l’affût de ma prochaine mission! Parce que je vous avais bien mentionné que DEUX mystérieux appareils sont arrivés chez moi, à la dernière minute...

Verrines de gaspacho à la salsa de prunes et crème de concombre, mini grilled cheeses de chèvre
Portions: 4 à 6 verrines moyennes
Préparation: 20 minutes (au total)
Cuisson: 10 minutes (au total)
Réfrigération: 1 heure (au total)

Gaspacho/salsa

  • 2 tomates moyennes épépinées
  • 2 prunes dénoyautées (rouges, noires ou autres)
  • 2 cuillerées à table d’oignons hachés
  • ½ poivron jaune (rouge ou orangé)
  • Jus d’une demie lime fraîchement pressée
  • Poignée de coriandre fraîche ciselée
  • Sel et poivre au goût
  • 1 gousse d’ail pressée
  • 1 cuillerée à table d'huile d'olive
  • 1 cuillerée à thé vinaigre de vin rouge
  • Quelques gouttes de sauce Worcestershire (au goût)
  • Quelques gouttes de Tabasco (au goût)
  • 3 cuillerées à table de purée de tomate (maison ou du commerce)
  • ½ tasse bouillon de bouillon de volaille (maison ou du commerce)

Crème de concombre

  • ½ concombre pelé épépiné et grossièrement tranché
  • ½ tasse bouillon de volaille (maison ou du commerce)
  • 1 cuillerée à thé jus de citron
  • 2 cuillerées à table crème 35%
  • Sel et poivre au goût

Grilled cheese

  • Pain noir (ou autre au goût)
  • Chèvre crémeux nature (ou autres au goût)
  • Huile d'olive
  • Coriandre fraîche et tomates cerises (pour le décor)

Pour le gaspacho et la salsa

Dans une jatte, bien mélanger une seule tomate coupée en fins dés, une seule prune coupée en fins dés, une cuillerée à table d’oignons hachés, la moitié du poivron coupé en fins dés, la coriandre ciselée et le jus de lime, saler et poivrer au goût, couvrir et réfrigérer au moins 1H.

Dans la jarre du Ninja, pulvériser le reste des ingrédients du gaspacho jusqu’à bien lisses, couvrir et réfrigérer au moins 1H.

Pour la crème de concombre

Dans une petite casserole, chauffer le bouillon de volaille, le jus de citron et le concombre sur un feu modéré; laisser mijoter à petits bouillons, jusqu'à ce que le concombre soit tendre, environ 5 à 7 minutes.

Retirer du feu laisser et laisser complètement refroidir avant de pulvériser au Ninja.

Ajouter la crème et pulvériser de nouveau jusqu’à bien lisse et mousseux, couvrir et réfrigérer au moins 1H.

Pour les grilled cheeses

Trancher le pain selon la forme désirée, tartiner de chèvre crémeux et faire griller à la poêle dans très peu d’huile chauffée sur un feu modéré, jusqu’à bien dorés et croustillants.

Décorer au goût de coriandre fraîche et de tomates cerises, réserver.

Pour le montage

Diviser la salsa au fond de 4 à 6 verrines, puis couvrir de gaspacho et enfin, de crème de concombre.

Utiliser un cure-dent ou quelque autre outil fin, pour pratiquer de petites entailles sur le côté de la verrines, dans le gaspacho, afin d'y faire couler de jolis filaments de crème de concombre.

Chapeauter chaque verrine d’un grilled cheese et servir bien frais avec une petite cuillère et une bonne bière fraîche ou encore, un vin blanc doux.


  Image Hosted by ImageShack.us

Gâteau de prince au chocolat et biscuits croquants







Recette aussi publiée sur le blogue d'inspiration de Canal vie

Les secrets les mieux gardés d’Angleterre.

Le titre et les apparences.

On ne connaît toujours pas le titre royal qui sera attribué à l’épouse du prince William de Galles, lors de leur mariage, le 29 avril prochain. Le monde entier devra attendre l’annonce des officiels de la reine, qui ne se révéleront que le matin même de la cérémonie. Quoique l’on ignore aussi tout de la robe de mariée la plus attendue de la planète, on sait cependant que c’est la mariée elle-même, Kate Middleton, qui l’aura dessinée. Les experts prédisent toutefois une robe modeste, traditionnelle et moderne à la fois, comprenant dentelle haute couture, broderies et col monté. Vous devrez être à l’écoute pour avoir la chance d’enfin accéder aux secrets les mieux gardés d’Angleterre!

Pour les impatients gourmands.

Heureusement pour les amoureux de desserts, on connaît déjà la saveur et l’apparence que prendront les gâteaux des tourtereaux. Le gâteau officiel, conçu dans la plus pure tradition pâtissière britannique, se veut une confection élaborée sur de multiples étages, garnie de fruits confits, glacée de crème et de motifs floraux. Mais un second gâteau fait beaucoup jaser, celui du marié. En effet, le prince William aurait spécifiquement demandé qu’un gâteau tout droit sorti de son enfance, soit confectionné pour la réception donnée au Palais de Buckingham. La reine Élisabeth et son petit-fils, adorent tout particulièrement ce gâteau, qui leur étaient préparé tous les dimanches à l’heure du thé, par le chef du palais, Darren McGrady. Le chef lui-même affirme encore aujourd'hui, ne pas savoir combien de temps cette confection peut être gardée au réfrigérateur, puisqu’elle ne dure jamais plus de 10 minutes! ...À défaut d'avoir été invités au mariage royal, gâtez vous majestueusement!

Gâteau
  • 7 onces biscuits «Digestifs» brisés en morceaux de ½" (½ paquet)
  • 2 onces pacanes grillées grossièrement hachées
  • 2 onces noix du Brésil grillées grossièrement hachées
  • 12 cerises confites coupées en deux
  • 7 onces chocolat noir haché (ou mi-sucré, au goût)
  • ½ tasse beurre
  • 1 cuillerée à table sirop de maïs clair

Glace
  • 2.5 onces chocolat noir haché
  • ¼ tasse crème 35%
  • 1 cuillerée à table beurre
  • 2 onces chocolat blanc fondu
  • Perles de sucre, dragées, paillettes colorées, etc. (pour le décor)

*À noter que la garniture du gâteau original ne comprend que des biscuits.

Pour le gâteau

Dans une grande jatte, bien mélanger les morceaux de biscuits, les pacanes, les noix du Brésil et les cerises confites, réserver.

Dans la partie supérieure du bain-marie posé sur un feu modéré, faire fondre le chocolat, le sirop de maïs et le beurre, jusqu’à lisse et homogène.

Retirer la partie supérieure du bain-marie et verser le mélange de chocolat dans les ingrédients secs réservés.

Bien mélanger le tout de façon à complètement enrober tous les ingrédients de chocolat.

Petit à petit, transférer le tout en étalant la préparation au fur et à mesure (et de façon à éviter les vides et les bulles d’air) dans un moule à charnière de 6", préalablement chemisé de pellicule plastique (pour arriver à chemiser le moule plus facilement, le beurrez légèrement avant de poser la pellicule plastique).

À l’aide du dos d’une fourchette, presser fermement sur le tout (quelques biscuits craqueront sous la fourchette, mais le fond du gâteau deviendra son dessus au démoulage).

Réfrigérer au moins 3 heures (encore mieux toute une nuit) avant de démouler pour glacer.

Pour la glace

Poser le chocolat noir haché dans un bol, réserver.

Dans une petite casserole, faire chauffer la crème, sur un feu modéré.

Aux premiers bouillons, retirer la casserole du feu et verser la crème chaude sur le chocolat; laisser ainsi reposer 2 minutes.

À l’aide d’un petit fouet à main, mélanger la préparation jusqu’à ce que le chocolat soit complètement fondu et que le tout soit bien lisse.

Ajouter le beurre et continuer de remuer jusqu’à l'obtention d'une texture lisse et homogène.

Démouler le gâteau, le renverser sur une assiette de service et peler la pellicule plastique.

Verser la glace sur le gâteau et uniformiser à l’aide d’un maryse ou d’une spatule à glacer.

Réfrigérer jusqu’à bien ferme.

Décorer au goût, de chocolat blanc fondu, de perles de sucre, de dragées et/ou de paillettes colorées.




  Image Hosted by ImageShack.us

Coeurs à la crème classiques, sur coulis de framboise au Grand Marnier





Recette aussi publiée chez Isabelle de Les gourmandises d'Isa
dans le cadre de ma participation au concours "Saint-Valentin"
organisé en collaboration avec les Éditions du Chêne



Dans ses écrits, l’anthropologue Helen Fisher, affirme que l’amour romantique excite dans la chimie cérébrale, trois endroits spécifiques du cerveau, associés à de puissantes hormones et tous reliés au sentiment de récompense et de plaisir. Ces trois systèmes cérébraux associés, résultent en une décharge d’hormones qui provoquent l’augmentation des battements du cœur, la moiteur des mains ainsi que le sentiment de connexion, impliqués dans l’amour romantique naissant. La libido, associée à une classe d’hormones appelées androgènes, plus particulièrement à la testostérone (que les femmes produisent aussi); la confiance, générée par l’ocytocine et enfin, l’élément clé du noyau accumbens du cerveau, l’amour, engendré par la dopamine, contribuent tous à l’évolution de la chimie d’une relation amoureuse. Mais cette chimie de la relation romantique n’est pourtant pas dessinée pour durer, et ne subsiste que de six mois à trois ans, nous laissant par la suite le soin de prendre la décision de terminer la relation, ou de la poursuivre à un niveau différent. En considérant qu’il est facile de rester coincé dans la recherche d’un amour romantique, en errant à travers les différents épisodes qui mènent à son aboutissement, la partie la plus déplorable du procédé reste qu’une insensibilité à un certain niveau de dopamine peut se développer et nous maintenir dans un état d’insatisfaction constante. Pour se sortir de cet immobilisme, le physiologiste Robert Epstein, propose de s’engager en couple, dans des exercices intimes. Epstein qui depuis de nombreuses années, étudie la chimie des relations en se basant par exemple, sur les mariages arrangés en Inde qui démontrent une réussite de 95%, estime qu’en pratiquant des exercices de construction de l’amour, même les couples qui ne se sont pas fréquentés auparavant, peuvent atteindre une relation d’amour profond. Selon les recherches effectuées, les couples de longue date gardent une relation chimique très similaire à celle des nouveaux couples, seulement moins fébrile. À ceux qui pourraient croire que cette étape plus mature de l’amour romantique vient naturellement, Epstein répond qu’une relation romantique plus mature, nécessite une attention constante, telle la pratique du «regard de l’âme», ou encore de la «synchronisation du rythme cardiaque». Toujours selon Epstein, ces exercices gravitent autour des «quatre piliers de la relation»: engagement, attentes réalistes, connaissance intime et savoir-faire essentiel à la relation. Mais pour en savoir plus à ce propos, répondre à vos questions, voire même tenter la pratique de ces exercices au sein de votre couple, rendez-vous sur DrRobertEpstein.com


Entrevue réalisée par CBS News, avec Dr Robert Epstein - "Règles de l'amour"

  • 1 tasse fromage mascarpone
  • 1¼ tasse crème 35%
  • Zeste d’un demi citron finement râpé
  • ½ cuillerée à thé vanille
  • 1 cuillerée à table Chambord (ou autre liqueur de framboise)
  • ⅓ tasse sucre glace
  • 1 tasse coulis de framboise sans grains (maison ou du commerce)
  • 2 cuillerées à table sucre glace (si le coulis n’est pas sucré)
  • ¼ tasse crème 10%
  • 2 cuillerée à table Grand Marnier (ou autre liqueur d’orange)
  • Framboises fraîches, zestes de citron, bonbons divers, feuilles de menthe, etc. (pour le décor)

Dans une jatte, à l’aide d’un batteur électrique, battre le mascarpone et ¼ de tasse de crème, jusqu’à bien lisse et crémeux.

Ajouter le zeste de citron, la vanille et le Chambord, et battre jusqu’à bien incorporés, réserver.

Dans une jatte, à l’aide d’un fouet électrique, fouetter la crème jusqu’à l’obtention de pics mous.

Ajouter le sucre glace et fouetter à nouveau, jusqu’à l’obtention de pics fermes.

À l’aide d’un maryse, plier la crème dans le mélange de mascarpone réservé, jusqu’à bien incorporé.

Diviser l’appareil obtenu dans 4 moules de silicone en forme de cœur (ou un seul plus grand), préalablement légèrement huilés.

Cogner fermement les moules sur un comptoir, afin d’en faire sortir les bulles d’air.

Mettre au congélateur au moins 8H avant de démouler (les moules auront aussi pu être chemisés d’étamine pour faciliter le démoulage et éviter la congélation; remplacer alors le temps de congélation par le même temps de réfrigération).

Démouler les cœurs sur des assiettes à dessert, réserver couverts, au frigo.

Dans un bol, mélanger le coulis de framboise, le sucre glace, la crème et le Grand Marnier, réserver.

Au moment de servir, s’assurer que les cœurs à la crème sont bien tendres (décongelés), et les arroser du coulis.

Décorer si désiré, de framboises fraîches, de zeste de citron, de bonbons divers, de feuilles de menthe ou autres, au goût.


Image Hosted by ImageShack.us

Risotto alla milanese sur effiloché de canard confit à la confiture d'oignons et canneberges




Recette aussi publiée chez Isabelle de Les gourmandises d'Isa
dans le cadre de ma participation au concours "Riz et risottos"
organisé en collaboration avec le Groupe Modus



Situé dans le nord de l’Italie, au cœur de la Lombardie, Milan compte près de un million et demi de résidents, qui peuvent aujourd’hui se vanter d’habiter la capitale mondiale de la mode. Les historiens estiment que la ville aurait été colonisée par les Celtes 600 ans av. J.-C., quelques 400 ans avant d’être conquise par les Romains, qui en firent la capitale de leur empire occidental, au 4e siècle. Au cours du 11e siècle, on lui attribua un statut semi indépendant. Après les invasions française et autrichienne, et une complète indépendance durement acquise en 1859, Milan se vit pourtant devenir un important bastion allemand, au cours la Seconde Guerre Mondiale. Pendant près de six ans, on lui infligea des bombardements extrêmes, des souffrances terribles qui anéantirent d’importantes portions de son patrimoine architectural. Mais depuis de 25 avril 1945, les Milanais se sont donnés corps et âme pour reconstruire une accueillante et très élégante métropole, et malgré les pertes énormes d’autrefois, certains trésors restent. Le Dôme de Milan, construit dans le style de la fin de l’époque gothique, arbore près de 1000 statuts et de son clocher, une vue imprenable de la cité. Toute aussi impressionnante, l’Église Santa Maria delle Grazie, qui abrite le célèbre tableau de de Vinci, La Cène, a aussi su résister à l’emprise allemande. Les alentours de Porta Ticinese valent aussi le détour, comme leurs quartiers vieillots ont été presque entièrement épargnés par la colère des hommes. Aujourd’hui, Milan est reconnu pour le chic et le raffinement de ses habitants qui promeuvent l’abondance de ses boutiques Armani, Gucci, Fendi, Prada et de nombreux autres grands noms, chez qui les fashionistas venus d’un peu partout autour du monde, peuvent eux aussi, suivre les dernières tendances.


Milan, Lombardie, Italie

Confiture

  • 1 gros oignon tranché en fines lamelles
  • 1 cuillerée à table huile d’olive
  • 2 cuillerées à table sucre
  • ½ tasse vin blanc sec
  • 1 tasse canneberges fraîches (ou congelées, décongelées)
  • 2 cuillerées à table vinaigre balsamique
  • 1 cuillerée à thé thym séché
  • Sel au goût

Canard

  • 3 cuisses de canard confit de préférence emballées sous vide (maison ou du commerce)

Risotto

  • 3 tasses bouillon de poulet (maison ou du commerce)
  • 1 tasse eau
  • 1 petit oignon finement haché
  • 3 cuillerées à table beurre divisées
  • 1½ riz arborio (ou carnarolli)
  • ½ tasse vin blanc sec
  • ¼ cuillerée à thé safran
  • ¼ tasse parmesan finement râpé

  • Canneberges fraîches, thym frais, fond de canard, copeaux de parmesan, etc. (pour le décor)

Pour la confiture

Dans une casserole, faire chauffer l’huile sur un feu modéré et y faire tomber l’oignon saupoudré du sucre, en remuant de temps à autres, jusqu’à translucide et caramélisé, environ 7 minutes.

Ajouter le vin, bien mélanger et laisser réduire du tiers.

Ajouter les canneberges, le vinaigre balsamique et le thym, bien mélanger et laisser mijoter jusqu’à ce que les canneberges commencent à compoter et que le tout ait bien épaissi.

Rectifier l’assaisonnement en salant au goût, laisser tiédir, réserver.

Pour le canard

Dans une grande casserole, déposer les cuisses de canard dans leur emballage, couvrir d’eau et amener à ébullition.

Aux premiers bouillons, baisser le feu et laisser mijoter 5 minutes, ou le temps de réchauffer la viande.

Retirer les emballages de l’eau, les égoutter et en sortir les cuisses.

Désosser la viande et l’effilocher minutieusement à l’aide de deux fourchettes.

Couvrir d’une feuille de papier d’aluminium, réserver au chaud (le canard pourrait être réchauffé et effiloché pendant la préparation du risotto, afin d’éviter qu’il ne se dessèche).

Pour le risotto

Dans une casserole, chauffer le bouillon et l’eau sur un feu modéré.

Lorsque bien chaud, baisser le feu et le garder à petits frémissements.

Dans un grand poêlon, faire fondre 2 cuillerées à table de beurre sur un feu modéré, et y faire tomber l’oignon jusqu’à translucide, en remuant de temps à autres, environ 5 minutes.

Ajouter le riz et poursuivre la cuisson jusqu’à ce que la peau des grains soit translucide et légèrement dorée, en remuant souvent et de façon à bien les enrober de beurre, environ 3 minutes.

Ajouter le vin blanc et remuer constamment jusqu’à ce que le riz ait complètement absorbé le vin.

Ajouter le bouillon de poulet par ½ tasse et jusqu’à épuisement, en remuant régulièrement et en laissant après chaque ajout, le temps au riz d’absorber presque complètement le bouillon (le temps de cuisson total sera de 18 à 25 minutes, en tenant compte que le risotto doit être crémeux à l’extérieur et al dente au centre).

Ajouter le safran, le reste du beurre et le parmesan, bien incorporer en remuant constamment pendant 1 à 2 minutes supplémentaires.

Pour le montage

Dans quatre cercles posés sur quatre assiettes de service, déposer quelques cuillerées à table de confiture d’oignons et canneberges; bien uniformiser en pressant à l’aide du dos d’une cuillère.

Ajouter une généreuse portion de canard confit effiloché sur la confiture, toujours en pressant bien le tout.

Couvrir le canard d’une portion de risotto, et presser à nouveau afin de bien comprimer l’ensemble.

Retirer les cercles en pressant le risotto, toujours à l’aide du dos d’une cuillère.

Si désiré, décorer de canneberges fraîches, de brins de thym, de copeaux de parmesan et d’un peu de fond de canard.


Image Hosted by ImageShack.us

Cupcakes "Marie-Antoinette" à l'eau de rose, pistache et framboise






Recette aussi publiée chez Isabelle de Les gourmandises d'Isa
dans le cadre du concours "Cupcakes" 
organisé en collaboration avec le Groupe Modus



Marie-Antoinette adorait le parfum. En fait, le parfum était très populaire auprès de la royauté française, avant même que la future reine ne passe le seuil de Versailles. Ramenons-nous donc, bien avant, du temps de Catherine de Médicis. À l'époque, le monde de la parfumerie italienne, soudainement pris d’assaut par de nouvelles fragrances d’herbes, de plantes et de fleurs, était en plein essor. Un réputé fabriquant de poisons pour la Cour italienne, arriva en France via les bagages de la grande Catherine, venue pour marier Henri II, en 1533. Malgré ses antécédents d’empoisonneur, celui-ci sembla avoir assez de versatilité pour changer quelques notes à ses concoctions et faire carrière dans la parfumerie royale. Mais pour les Bourbons, le parfum n’était toujours pas considéré un art, mais plutôt une nécessité médicale, parce que malgré l’opulence des palais français, ceux-ci comptaient quelques lacunes, pour le moins qu'on puisse dire, au niveau de leur plomberie. Une façon pour les narines royales de survivre à un tel environnement, était de régulièrement s’appliquer quelques gouttes de parfum sous le nez. Au moment où la peste frappa la France, en 1347, on avait d'ailleurs cru que le parfum protégerait les privilégiés qui pouvaient se le payer. Cette idée de masquer l’odeur de la maladie, s'était rapidement transformée en fabrication de gants parfumés. Pendant plusieurs années, les aristocrates français portèrent des gants imbibés de parfum, afin de n’avoir qu’à lever le doigt à leur nez pour se préserver des assauts olfactifs qui les entouraient. Aussi, la ganterie et la parfumerie françaises sont encore de nos jours, des arts tout à fait reliés. Lorsque Marie-Antoinette entre en scène, les parfums floraux font rage, et bien qu’ils aient longtemps été réservés à la famille royale, ils furent tout aussi hors de prix lorsque plus largement distribués. Les historiens relatent que Marie-Antoinette aurait étroitement  collaboré avec le parfumeur royal, à la création d’un parfum dont la formule documentée, pourrait éventuellement refaire surface un jour. Mais si la maison Houbigant n’a toujours pas relancé le fameux parfum de Marie-Antoinette, peut-être est-ce parce que la légende veut que la reine du «règne de la terreur» ait été démasquée lors de sa tentative d’évasion un soir de juin 1791, justement en raison de son parfum; on raconte même, qu’elle en aurait glissé un flacon dans son décolleté, quelques temps avant de monter sur l’échafaud: mortel slogan, non?

Cupcakes

  • 1¾ tasse farine
  • 2 cuillerées à thé poudre à pâte
  • ¼ cuillerée à thé sel
  • ¾ tasse lait
  • 2 cuillerées à table eau de rose 3 gros œufs
  • 1¼ tasse sucre
  • 4 cuillerées à table pâte de pistache
  • Quelques cuillerées à table de confiture de framboise (avec ou sans les grains)

*Donne 4 gros cupcakes, 8 moyens et 16 petits (voir à ajuster la taille des moules, pour augmenter ou diminuer la quantité de cupcakes requis).

Crème au beurre

  • 1 œuf
  • ¼ tasse sucre
  • ½ tasse beurre à température ambiante coupé en cubes
  • Quelques gouttes d’eau de rose (de vanille ou d’essence d’amande, au goût) facultatif

Fondant

  • ½ paquet de guimauves natures
  • 2 cuillerées à table eau
  • ½ paquet de sucre glace
  • Quelques gouttes de colorants divers (au goût)
  • Shortening (pour les mains)
  • Fécule de maïs (pour le façonnage)

Glace

  • 2 cuillerées à table beurre mou
  • 1 tasse sucre glace (plus ou moins, au besoin)

Pour les cupakes

Dans un bol, bien mélanger la farine, la poudre à pâte et le sel, réserver.

Dans une petite casserole, amener à ébullition le lait et l’eau de rose, sur un feu modéré.

Pendant ce temps, dans une grande jatte, à l’aide d’un batteur électrique, battre les œufs et le sucre jusqu’à pâle et mousseux.

Ajouter les ingrédients secs aux ingrédients liquides et battre jusqu’à bien incorporés.

Aux premiers bouillons du lait, retirer du feu et verser en mince filet dans l’appareil, en battant constamment.

Ajouter le beurre et battre à nouveau quelques instants.

Diviser la moitié de la pâte dans 2 grandes cassettes à cupcakes, 4 moyennes et 8 minis.

Ajouter la pâte de pistache au reste de l’appareil, battre jusqu’à incorporée, et diviser le reste dans les autres caissettes, soit à nouveau 2 grandes cassettes à cupcakes, 4 moyennes et 8 minis.

Faire cuire au four sur la grille du centre, à 350° pendant 25 minutes pour les grandes caissettes, 20 minutes pour les moyennes et de 10 à 15 minutes pour les minis.

Laisser complètement refroidir à température ambiante avant de garnir.

Pour la crème au beurre

À l’aide d’un mélangeur électrique, battre les œufs et le sucre au bain-marie, jusqu’à 150°F.

Continuer de battre hors feu (hors bain-marie), jusqu’à refroidi, soit environ 85°F, ajouter la vanille (ou autre essence) et battre jusqu’à bien incorporé.

Lorsque complètement refroidi, ajouter le beurre, un cube à la fois, toujours en continuant de battre, réserver à température ambiante.

Pour le fondant

Dans un grand bol allant au four micro-ondes, déposer les guimauves.

Ajouter l'eau et faire chauffer à puissance maximale pendant 2 minutes (remuer à mi-cuisson si le tout semble déborder).

Préparer un plan de travail recouvert du sucre glace moins une tasse (environ 1cm d’épaisseur).

Bien graisser vos mains et vos poignets avec le shortening.

À la sortie du four micro-ondes, ajouter la tasse de sucre glace réservée aux minis guimauves fondues, bien mélanger à l'aide d'une cuillère de bois.

Transférer le tout sur le sucre glace du plan de travail en prenant soin que la pâte ne déborde pas du sucre glace.

Incorporer le sucre à la pâte, en ramenant toujours la pâte vers le centre et en faisant sûr qu'une certaine quantité de sucre glace reste sous la pâte, l'empêchant ainsi de coller au plan de travail.

Lorsque le sucre glace est complètement incorporé au fondant et qu'il est bien lisse, procéder à la coloration désirée en ajoutant quelques gouttes de colorant à une certaine portion de fondant et en la façonnant à la main afin d'y faire pénétrer le colorant uniformément.

Garder le fondant dans un sac hermétique à température de la pièce, jusqu’à utilisation.

Pour la glace

Dans une petite jatte, à l’aide d’un batteur électrique, battre le beurre jusqu’à bien crémeux.

Ajouter le sucre glace par petites quantités, de façon à n’utiliser que le nécessaire; au besoin ajouter un peu de sucre glace ou de lait, pour obtenir la texture désirée.

Transférer dans une poche à douille, munie d’une très petite ouverture, réserver.

Pour le montage

Retirer les caissettes de 4 cupcakes moyens et 4 minis.

Trancher les cupcakes moyens en 3 sur l’horizontale.

Tartiner le dessus des parties inférieures et centrales, de confiture de framboise et remonter les cupcakes ainsi garnis, si désiré en alternant les saveurs: pistache, eau de rose, pistache.

À l’aide d’une spatule à glacer, poser une mince couche de crème au beurre sur les parois et dessous des cupcakes moyens sans caissettes, parois et dessus des minis cupcakes sans caissettes, ainsi que le dessus de tous les autres cupcakes.

Mettre le tout au frigo au moins 1H, le temps de raffermir la crème au beurre.

Pendant ce temps, sur un plan de travail saupoudré de fécule de maïs, rouler le fondant à présent coloré, jusqu'à une épaisseur d'environ ¼ à ⅛''.

À l'aide d’un gabarit ou d’autres emportes-pièces, découper les pièces de fondant nécessaire pour recouvrir les parois et les dessous des cupcakes sans caissettes, ainsi que le dessous de tous les autres.

Façonner le reste du fondant selon les décors choisis.

Recouvrir la crème au beurre des pièces de fondants, bien lisser la surface du fondant avec les doigts et poser les décors à l’aide de la glace réservée.


IMPRIMER CETTE RECETTE (sans photo)