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Pattes d'ours "déguisées"






Recette aussi publiée sur le blogue d'inspiration de Canal-vie

L’ours kodiak et l’ours polaire, sont les deux plus grands carnivores terrestres. On retrouve le kodiak – Ursus arctos middendorfi, une sous espèce de l’ours brun, exclusivement en Alaska dans l’Archipel Kodiak où sa population est d’environ 3000 et où il est isolé des autres ours depuis près de 12 000 ans. Un gros mâle, peut mesurer jusqu’à 3m lorsque debout sur ses pattes arrières et 1,5m lorsque sur ses quatre pattes. Il peut peser aux alentours de 700kg, soit près de 1500lbs après s’être gavé de saumons. Les femelles sont en général environ 20% plus petites que les mâles et 30% plus légères. Mais en captivité, les mâles et les femelles peuvent atteindre un poids bien plus lourd qu’à l’état sauvage. Tout comme plusieurs autres animaux, le kodiak hiberne en hiver, il est donc dans un état continu de dormance ou d’inactivité. Et contrairement à ce que l’on pourrait croire l'hibernation ne vient pas tant du fait que l’hiver soit si froid, mais plutôt du fait que la nourriture se fait très rare d’ailleurs, la chaude fourrure du kodiak est aussi essentielle à l’intérieur de sa tannière qu’à l’extérieur. Parcontre, l’hibernation de l’ours en général, est quelque peu différente de celle d’autres animaux. Les chauves-souris, les marmottes et la plupart des rongeurs prennent plusieurs semaines pour s’endormir profondément jusqu’à l’état de torpeur, leur métabolisme et leur température chutent drastiquement au dessous de la normale. La température de l’ours pendant l’hibernation, ne tombe qu’à quelques degrés de la température ambiante, son métabolisme est relativement haut et il arrive même qu’il se réveille durant les périodes plus chaudes de l’hiver, et sorte à l’extérieur, mais il ne mangera pas et donc n’éliminera pas non plus, tout au long de son hibernation. La durée de l’hibernation dépend toujours du climat, de l’endroit et de l’âge des bêtes, certains ours n’hibernent même pas du tout.

«Mieux vaut être dans le ventre de l'ours qu'entre ses crocs»

Aleksis KIVI

  • ½ t. mélasse
  • ½ t. saindoux
  • ½ t. sucre
  • ½ t. babeurre (ou lait additionné d’une c. à thé de jus de citron)
  • 1 œufs
  • 2 t. farine
  • 1 ½ c. à thé poudre à pâte
  • ½ c. à thé bicarbonate de soude
  • ½ c. à thé cannelle
  • ½ c. à thé gingembre moulu
  • ½ tasse chocolat haché (au goût)
  • 1 cuillerée à thé huile de coco

Dans un grand bol, à l'aide d'un batteur électrique, battre le saindoux, la mélasse et sucre jusqu’à mousseux.

Ajouter le babeurre et l’œuf, bien mélanger, réserver.

Dans un autre bol, mélanger le reste des ingrédients et les ajouter aux ingrédients liquides, bien mélanger.

Déposer par cuillèrées à table combles, sur une plaque à biscuits tapissée de papier parchemin.

Faire cuire sur la plus haute grille, à 350° pendant 15 minutes.

Laisser complètement refroidir à température ambiante, avant de glacer.
Faire fondre le chocolat et l'huile de coco au four micro-ondes à puissance maximale, par tranches de 30 secondes en remuant de temps à autres.

Tremper les pattes d'ours complètement ou partiellement dans le chocolat fondu et laisser figer à température ambiante, sur une plaque de cuisson tapissée de papier parchemin.

Avant que le chocolat ne fige complètement, poser quelques brisures de chocolat sur le côté des pattes d'ours, dans le but d'imiter des griffes.

Conserver dans un contenant hermétique.

*Donne environ 2 à 3 douzaines de biscuits (selon la taille des biscuits cuisinés).


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Biscuits aux chips et brisures de chocolat






Recette aussi publiée sur le blogue d'inspiration de Canal Vie

Osez le kitsch!

Le kitsch, c’est quoi?

On pourrait vaguement le traduire chez nous, par «kétaine», mais en réalité le kitsch est une forme d’art considéré inférieur, ou de mauvais goût, intimement lié à la culture populaire d'aujourd’hui. Le terme «kitsch» employé pour la première fois vers la fin du 19e siècle, n’est devenu populaire qu’après 1930, et n’a réellement pris son essor que dans les années ’50. Bien que son manque de raffinement soit encore de nos jours dénigré, le kitsch véhicule pourtant un sentiment nostalgique d’insouciance, parfois un peu maladroit, mais toujours sensible et très généreux.

Le kitsch dans la cuisine

Le kitsch se transpose aujourd’hui dans de plusieurs sphères culturelles, y compris celle de la cuisine. De nombreuses recettes des décennies passées n’y ont d’ailleurs, pas échappé. Le célèbre aspic au Jell-O, le jambon Coca Cola, les boulettes porc-épic, les œufs à la diable, le pop corn rose, le poulet à la king, le glaçage bleu et toutes sortes d’autres recettes étranges comprenant du Velveeta, de la crème de menthe, des cornichons sucrés ou encore, des saucisses à hot-dog, ne sont que quelques unes des recettes qui ont propulsé le kitsch culinaire à son apogée. Ici, une recette oubliée des années '70, qui permettra de ne pas en perdre une miette!

  • 2 tasses farine
  • 1 cuillerée à thé bicarbonate de sodium
  • 1 tasse beurre
  • ¾ tasse sucre
  • ¾ tasse cassonade
  • 1 cuillerée à thé vanille
  • 2 gros œufs
  • 1½ tasse brisures de chocolat (de préférence mi-sucré)
  • 2¼ tasses miettes de chips nature

Dans un bol, bien mélanger la farine et le bicarbonate de sodium, réserver.

Dans une grande jatte, à l’aide d’un batteur électrique, battre le beurre jusqu’à bien crémeux, environ 2 minutes.

Ajouter le sucre et la cassonade, battre à nouveau jusqu’à bien aéré.

Ajouter la vanille et les œufs un à la fois, en battant au moins 1 minute après chaque addition.

Ajouter les ingrédients secs réservés et ne battre que jusqu’à ce qu’ils aient disparus dans la pâte (ne pas trop travailler la pâte!).

À l’aide d’une maryse, plier les brisures de chocolat et les miettes de chips dans la pâte obtenue.

Déposer la pâte par cuillerées à table, sur une plaque de cuisson, préalablement tapissée de papier parchemin, en prenant soin de les espacer d’au moins 1.5" (on peut aussi faire de plus grands biscuits en n'oubliant pas d'augmenter le temps de cuisson de quelques minutes).

Cuire au four sur la grille du haut, à 375° pendant 7 à 10 minutes, ou jusqu’à légèrement dorés.

Laisser tiédir 1 à 2 minutes avant de transférer sur une grille de refroidissement.

Conserver dans une boîte hermétique, jusqu’à 5 jours (les biscuits sont toutefois à leur meilleur, lorsque consommés dans les 48h suivant leur confection).

* Donne 6 douzaines de petits biscuits, ou 4 douzaines de plus grands.


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Tarte "Boîte de chocolats" noisettes et Frangelico





La vie est comme une boîte de chocolats; on ne sait jamais sur quoi on tombera. En général, les gens comprennent l’idée et l’acceptent en théorie, mais en pratique, spécialement en Occident où l’on croit forger son propre destin à travers le pouvoir du libre choix, le concept fait moins d’adeptes. Le pouvoir de décision de l’Ouest n’est cependant qu’un déni des réalités de la vie, qui pose une fausse impression d’être maître de notre destin, de notre futur, tels des capitaines de nos âmes. Au final, nous acceptons mal que notre vie ne soit qu’une réponse aux événements extérieurs qui nous touchent. Dans le monde de la Grèce Antique, il était compris que le caractère humain et la façon dont il est façonné, ne soit que le résultat des événements qui nous affectent, sans aucune possibilité de choix de notre part. À travers une illusion de contrôle, nous nous refusons donc à faire face aux circonstances réelles de la vie. On peut reconnaître de façon abstraite, que la vie est comme une boîte de chocolats, mais en n’atteignant pas notre but, nous arrivons à nous convaincre que l’échec n’a rien à voir avec soi, puisque vraisemblablement, nous sommes en charge de construire notre propre identité.
On ne choisit ni ses parents, ni son profil génétique, ni ses talents, ni ses qualités, pas plus que l’endroit de sa naissance ou encore la classe économique dans laquelle on grandit. De même, nous ne pouvons décider de la façon dont ceux qui nous entourent réagissent. Il est néanmoins certain que nous sommes responsables et que nos choix sont importants en ce qui à trait à l’impact qu’ils ont sur les autres, mais essentiellement, notre caractère se forme et se révèle plus clairement, dans notre façon de réagir à la nature inattendue de la vie, qu’à la façon dont nous la planifions et l’espérons. En réalité, le caractère humain est formé par les circonstances qui affectent chacun des choix qu’il fait, et la façon dont il répond à ces événements est largement due à ce qu’il aura précédemment répondu face à l’inattendu.

Croûte
  • 1 tasse farine
  • Pincée de sel
  • 4 cuillerées à table beurre froid coupé en cubes
  • 4 cuillerées à table lard froid coupé en cubes
  • ¼ tasse eau glacée

Mousse
  • 3 onces chocolat mi-sucré haché
  • ½ tasse sucre glace
  • 2 cuillerées à table Frangelico (ou autre liqueur de noisette)
  • ½ tasse noisettes mondées grossièrement hachées
  • 3 blancs d’œufs
  • 3 jaunes d’œufs
  • Pincée de sel (ou de crème de tarte)

Garniture
  • Cacao
  • Chocolats assortis

Pour la croûte

Dans une jatte, bien mélanger la farine et le sel.

À l’aide d’un coupe-pâte, couper le beurre et le lard dans les ingrédients secs, jusqu’à l’obtention d’une texture grossièrement granuleuse.

Façonner un puits au centre du mélange et y verser l’eau.

Avec les mains ou une cuillère de bois, ramener les ingrédients secs vers le centre, de façon à bien les imbiber.

Continuer de travailler la pâte jusqu’à l’obtention d’une boule (ne pas trop travailler la pâte!).

Transférer la pâte sur une pellicule plastique, façonner un épais rectangle avec la pâte, la couvrir et la réfrigérer pendant au moins 1H.

Sur un plan de travail enfariné, rouler la pâte jusqu’à l’obtention d’un rectangle d’environ 7x12’’.

Poser l’abaisse dans un moule rectangulaire à fond amovible, préalablement beurré et fariné, et piquer le fond de croûte à plusieurs endroits, à l’aide d’une fourchette.

Mettre au congélateur une vingtaine de minutes.

Tapisser la croûte de papier parchemin et la remplir d’haricots secs ou de poids de cuisson.

Faire cuire au four sur la grille du centre à 350° pendant 20 minutes, retirer les poids et le papier parchemin et poursuivre la cuisson 15 à 20 minutes, ou jusqu’à ce que les bords de la croûte soient dorés.

Laisser complètement refroidir avant de garnir.

Pour la mousse

Dans la partie supérieure d’un bain-marie posé sur un feu modéré, faire fondre le chocolat.

Ajouter le sucre glace et bien mélanger à l’aide d’un fouet, jusqu’à homogène.

Toujours au fouet, ajouter le Frangelico et les jaunes d’œufs, un à un.

Retirer la partie supérieure du bain-marie, et laisser tiédir.

Dans une grande jatte, battre les blancs d’œufs jusqu’à bien fermes, en les serrant d’une pincée de sel ou de crème de tarte.

À l’aide d’une maryse, délicatement plier le tiers de l’appareil au chocolat dans les blancs, en prenant soin de ne pas les briser.

Délicatement plier le reste du chocolat et les noisettes mondées, toujours en prenant soin de ne pas briser les blancs.

Verser le tout dans l’abaisse et uniformiser de dessus de la mousse, à l’aide de la maryse.

Couvrir et réfrigérer toute une nuit.

Pour la garniture

Lorsque raffermi, légèrement saupoudrer le cacao sur la mousse et poser une vingtaine de chocolats de façon harmonieuse sur le dessus.

Couvrir et garder au frigo jusqu’au moment de démouler pour servir.


Blondies extra arachides





Recette suggérée par Nicole de Bakeologie
dans le cadre de ma cent-vingt-septième participation aux TWD
Elle est une magnifique blonde, lui, un séducteur cabotin. Lorsqu’ils tombèrent amoureux et se marièrent, son père milliardaire les déshérita aussitôt. Indomptés, ils s’installèrent dans la classe moyenne, elle devint rapidement mère et lui, l’employé souffre-douleur de son colérique patron, Mr J. C. Dithers. Le reste de l’histoire est gravée dans les annales de la bande dessinée américaine. Depuis la création de Blondie et Dagwood Bumstead en 1930, par le bédéiste Chic Young, leur comédie domestique a conquis le cœur des lecteurs en misant sur quatre thèmes universels: manger, dormir, élever les enfants et travailler. Aujourd’hui, 80 ans plus tard, ils règnent comme le couple le plus célèbre de l’histoire de la bande dessinée américaine. Le 8 septembre 1930, la première bande dessinée de Blondie voit le jour. Alors que Dagwood perd son héritage pour marier Blondie en 1933, son choix offrait au public une perspective rassurante, celle d’un rêve américain atteignable, personnifié par les Bumstead, sans sous, mais heureux d’un bonheur vécu à travers l’amour, l’humour et la persévérance. À travers les décennies, Young a toujours su actualiser les Bumstead; ils utilisent à présent des téléphones cellulaires. Blondie est devenue traiteur et travaille sur son portable. Dagwood possède un ordinateur au bureau et au lieu de courir après l’autobus comme il le faisait tous les matins, il participe maintenant au co-voiturage. Mais certaines choses ne changent pas, et la devise de Dagwood reste la même: «Dans le doute, faites la sieste!» Il adore faire la sieste; dormir et manger sont ses sports favoris. Il possède une ceinture noire dans l’art de dévaliser les buffets et se spécialise encore dans la construction de sandwichs aussi hauts que des gratte-ciels: aptitude qui lui a d’ailleurs value une entrée dans le dictionnaire. Il n’arrive jamais à obtenir la promotion qu’il espère depuis des lustres. Ces aspects du couple Bumstead restent la constante qui retient les fans et les critiques. En ne vieillissant pas, les Bumstead reflètent une intemporalité confortable, une douillette vision figée dans la fin des années ’30.

 
  • 1 tasse farine
  • 1 cuillerée à thé poudre à pâte
  • ½ cuillerée à thé bicarbonate de sodium
  • Pincée de sel
  • ½ tasse beurre d’arachide (crémeux ou croquant au goût)
  • 5 cuillerées à table beurre mou
  • ¾ tasse sucre
  • ¾ tasse cassonade
  • 2 gros œufs
  • 1 cuillerée à thé vanille
  • 1 tasse arachides salées hachées
  • 1 tasse brisures de chocolat

Dans un bol, bien mélanger la farine, la poudre à pâte, le bicarbonate et le sel, réserver.

Dans une grande jatte, à l’aide d’un batteur électrique, batteur le beurre d’arachide et le beurre jusqu’à bien crémeux, environ 2 minutes.

Ajouter le sucre et la cassonade, battre à nouveau jusqu’à aéré et mousseux, environ 2 minutes supplémentaires.

Ajouter la vanille et les œufs un à la fois en battant bien, au moins 1 minute après chaque addition.

À l’aide d’une maryse, plier les arachides hachées et les brisures de chocolat dans l’appareil obtenu.

Transférer le tout dans un moule de 8x8’’, préalablement tapissé de papier parchemin et toujours à l’aide de la maryse, bien uniformiser le dessus de la pâte.

Faire cuire au four sur la grille du centre, à 350° pendant 40 minutes ou jusqu’à qu’un cure-dent inséré au centre des blondies, en ressorte propre (si le dessus des blondies semble dorer trop rapidement, poser une feuille de papier d’aluminium sur le dessus du moule pour le reste de la cuisson.

Laisser tiédir quelques minutes, mettre au frigo au moins 1H avant de démouler et couper en gros cubes.



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Blondies riches et moelleux





Recette suggérée par Nicole de Cookies on Friday
dans le cadre de ma cent-treizième participation aux TWD

It's been a hard day in the city
It affects you in the most peculiar way
Dull day don't seem pretty
We've said all that there is to say
And if you were to ask me questions
You don't really want to know
Your concern is just for show
Your name's a number, just press a button
Your memories lost but they've not forgotten

They try to break our lust for passion
They try to tell us that it's not in fashion

And if you were' to ask me questions
What are we fighting-for?
We're just breaking down the door

It doesn't really matter
I've been through this all before
It doesn't really matter

They fight in England and Northern Ireland
The police they try to hold us still
They can bleed us and they can feed us
But you know they'll never control our will
And if you were to ask that question
What are we fighting for?
We're just breaking down the door

Doesn't Really Matter, Platinum Blonde - 1984


Vidéo de Doesn't Really Matter - 1984
du groupe Canadien Punk-New Wave Platinum Blonde

  • 2 tasses farine
  • 1½ cuillerée à thé poudre à pâte
  • Pincée de sel
  • Pincée de bicarbonate de sodium
  • 1 tasse beurre à température ambiante
  • 1½ tasse cassonade
  • ½ tasse sucre
  • 2 gros œufs
  • 1 tasse brisures de chocolat mi-sucré
  • 1 tasse noix de coco râpée
  • 1 tasse noix de Grenoble hachées
  • ½ tasse brisures de Skor
Dans un bol, bien mélanger la farine, la poudre à pâte, le sel et le bicarbonate de sodium, réserver.

Dans une grande jatte, à l’aide d’un batteur électrique, battre le beurre, la cassonade et le sucre jusqu’à pâles et crémeux, environ 3 minutes.

Ajouter la vanille et les œufs, un à la fois, en battant au moins une minutes après chaque addition.

Ajouter les ingrédients secs aux ingrédients liquides en 2, 3 étapes, et en prenant soin de ne battre que jusqu’à amalgamés (ne pas trop battre!).

À l’aide d’une maryse, plier les brisures de chocolat, la noix de coco, les noix de Grenoble et les brisures Skor, jusqu’à bien incorporés.

Transférer le tout dans un moule de 9x13’’ préalablement beurré, bien uniformiser le dessus de l’appareil à l’aide de la maryse.

Faire cuire au four sur la grille du centre à 325°, pendant 40 à 45 minutes.

Laisser tiédir quelques minutes avant de démouler, mettre au frigo jusqu’à bien refroidi.

Couper en une trentaine de parts.

Source: Baking, From My Home to Yours - Dorie Greenspan - déclinaison


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BRRRownies




Recette suggérée par Karen de Welcome to our Crazy Blessed Life

dans le cadre de ma cent-douzième participation aux TWD

Vous avez certainement déjà sucé un bonbon à la menthe pour ensuite boire une verre d’eau qui vous semblait d’abord simplement fraîche, mais qui pourtant avait rendu votre déglutition difficile tellement elle s’était avérée glaciale? Le phénomène se répète de la même façon, lorsqu’on se brosse les dents avec un dentifrice à la menthe. Savez-vous pourquoi? En fait, sur notre langue se trouve une molécule que les scientifiques on a récemment nommée CMR1, pour Cold-Menthol Receptor et qui réagit aux changements de températures. Cette molécule est identique à celles retrouvées partout sur notre peau; celles qui détectent la sensation de froid ou de fraîcheur. Une fois déclenchée, cette molécule envoie un message au système nerveux vers le cerveau qui lui, interprète le «froid». Le menthol à son tour déclenche aussi cette sensation. Il n’y a pourtant aucune raison pour que le menthol agisse de cette façon, il s’agit plutôt d’un curieux accident biologique. De la même façon, on peut considérer que les piments forts qui déclenchent les récepteurs de chaleur, soit aussi un accident biologique. En mâchant un chewing-gum à la menthe, une petite quantité de menthol reste dans la bouche, même après l’avoir jeté. Ce menthol garde les récepteurs sensibles pendant un certain moment. En buvant de l’eau froide ou même chaude, les récepteurs toujours sensibles se remettent en marche, ce qui donne l’impression d’une fraîcheur glaciale, voir même d’une chaleur étrangement rafraîchissante. Même si la science n’a pas terminé n’étudier tous les tenants et aboutissants de la molécule CMR1, il est à présent un plus simple de comprendre pourquoi une verre d’eau tiède au touché, peut-être glacé à avaler!
  • 5 cuillerées à table beurre à température ambiante
  • 6 onces chocolat mi-sucré haché (ou un mélange de noir et de ni-sucré)
  • ⅔ tasse sucre
  • 2 œufs
  • 1 cuillerée à thé vanille
  • ⅓ tasse farine
  • Pincée de sel
  • 1 tasse brisures de chocolat à la menthe (type York Peppermint Patties ou autres)
  • Brisures de chocolat à la menthe (facultatif)
  • Feuilles de menthe fraîche (pour le décor)
Dans un bain-marie modérément chauffé, faire fondre le beurre et le chocolat en remuant doucement de temps à autres.

Retirer du feu la partie supérieure du bain-marie, aussitôt que le chocolat est fondu.

Ajouter le sucre et mélanger doucement à l’aide d’une fouet à main.

Ajouter les œufs un à la fois en mélangeant doucement après chaque addition.

Ajouter la vanille et mélanger vigoureusement quelques secondes, jusqu’à ce que l’appareil soit lisse et luisant.

Ajouter la farine et le sel, bien incorporer.

À l’aide d’une maryse, plier les brisures de chocolat à la menthe dans l’appareil obtenu.

Transférer le tout dans un moule carré de 8’’ préalablement tapissé de papier parchemin.

Faire cuire au four sur la grille du centre, à 325° pendant 30 minutes ou jusqu’à ce que le dessus devienne matte et légèrement croûté.

Laisser tiédir à température ambiante quelques minutes, avant de mettre au frigo pendant 1H ou jusqu’à complètement ferme.

Démouler, peler le papier parchemin et couper en 16 parts.

Garnir de quelques brisures de chocolat à la menthe et d’une feuille de menthe fraîche.

Source: Baking, From My Home to Yours - Dorie Greenspan - déclimaison


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Biscuits "Chockablock"



Recette suggérée par Mary de Popsicles and Sandy Feet
dans le cadre de ma cent-unième participation aux TWD

«Chock-a-block» est un terme anglais qui signifie que les éléments d’un ensemble sont tellement serrés les uns contre les autres qu’il est impossible de les bouger. On pourrait traduire ce terme par l'image «plein à craquer». L’origine du terme est très ancienne et relève du vocabulaire nautique de la langue anglaise.

La déviation du mot «chock» n’est pas tout à fait claire, mais on croit que le terme viendrait de «chock-full» ou «choke-full» qui signifie «être plein à en étouffer». Cette expression date du 15e siècle et est d’ailleurs citée dans Morte Arthur, vers 1400: «Charottez chokkefulle charegyde with golde». Elle fut employée plus tard pour désigner les cales de bois (chocks) servant à maintenir les objets en place. Ces cales étaient autrefois utilisées sur les navires comme le suggère An Universal Dictionary of Marine, de William Falconer en 1769: Cale (chock), un type de taquet de bois servant à tenir en place un fût ou tout autre objet lourd, lorsque le navire est en mouvement. Aussi, «block and tackle» désigne le système de poulie utilisé sur les navires pour remonter les voiles, mais il est possible que cette expression vienne de ce fameux taquet utilisé ici pour vérouiller la poulie.

«Chock-a-block» est aussi une expression des militaires anglais de la Seconde Guerre Mondiale – «choka» ou «chocker», signifiant «être à bout», «en avoir ras le bol» ou encore «être déçu».
  • 1½ tasse farine
  • 1 cuillerée à thé poudre à pâte
  • ½ cuillerée à thé bicarbonate de sodium
  • Pincée de sel
  • ¼ tasse beurre à température ambiante
  • ¼ tasse shortening végétal
  • ½ tasse sucre
  • ½ tasse mélasse
  • 2 gros œufs
  • 1½ tasse flocons d’avoine
  • 1 tasse fruits séchés (canneberges, abricots, raisins secs, etc.)
  • 1 tasse noix hachées (pacanes, amandes, noix de Grenoble, etc.)
  • 2 tasses brisures de chocolat mi-sucré
Dans un bol, bien mélanger la farine, la poudre à pâte, le bicarbonate et le sel, réserver.

Dans une grande jatte, à l’aide d’un batteur électrique, battre le beurre et le shortening jusqu’à crémeux.

Ajouter le sucre et continuer de battre jusqu’à mousseux et aéré.

Ajouter la mélasse, battre à nouveau jusqu’à bien incorporé.

Ajouter les œufs un à la fois en battant au moins une minute après chaque addition.

Ajouter les flocons d’avoine et le ingrédients secs, continuer de battre à vitesse réduite jusqu’à amalgamés.

À l’aide d’une maryse, ajouter les fruits secs, les noix et les brisures de chocolat, bien incorporer.

Déposer la pâte par cuillerée à table comble (ou un peu plus) sur une plaque de cuisson préalablement tapissée de papier parchemin (en prenant soin de laisser un espace d’environ 1’’ entre chaque biscuit).

Faire cuire au four sur la grille du centre, à 325° pendant 15 à 18 minutes ou jusqu’à légèrement dorés.

Laisser tiédir quelques instants avant de servir ou de ranger dans un contenant hermétique.

*Donne environ 2 douzaines de très gros biscuits ou 3 douzaines de biscuits moyens.

Source: Baking, From My Home to Yours - Dorie Greenspan - déclinaison


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