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Brownies au miel et aux noix





Recette suggérée par Suzy de Suzy Homemaker
dans le cadre de ma cent-quarante et unième participation aux TWD

Les abeilles à miel sont responsables de la pollinisation de plus d’une centaine de différentes cultures, qui rapportent à divers pays, des milliards de dollars. Selon les scientifiques, la population mondiale d’abeilles à miel est toujours en déclin. Les chercheurs estiment qu’entre 2007 et 2008 seulement, près de 35% des colonies d’abeilles auraient disparues. Ils ajoutent que 70% de ces pertes seraient dû à un manque de nourriture. En effet, des études démontrent que leur déclin pourrait être dû au manque grandissant de biodiversité mondial. D’après les résultats obtenus, les abeilles qui se nourrissent d’une variété d’au moins cinq types de pollens, semblent avoir un meilleur système immunitaire, que celles qui ne se nourrissent que d’un seul type de pollen, même si celui-ci contient un plus haut taux de protéines. Dans le journal Biology Letters, les Français affirment d’ailleurs, que les abeilles nécessitent un système immunitaire entièrement fonctionnel pour de stériliser la nourriture destinée au reste de la colonie, ce qui protège la ruche contre les maladies. À partir de cette alimentation diversifiée, les abeilles produisent le glucose oxydase, qui sert à préserver le miel et protéger la nourriture des larves contre les infestations de microbes. Les abeilles ayant consommé plusieurs types de pollens auraient aussi emmagasiné plus de gras. Il faut savoir que les insectes en général, fabriquent des composantes chimiques anti-microbiennes à même leur gras corporel. D’autres études présentent le parallèle observé entre la disparition des colonies et celle des fleurs sauvages. Dans divers pays, on attribut ce déclin de la biodiversité à des causes variées telles que, l’infestation de mites, l’utilisation de pesticides et le changement climatique de la planète. Troublés par ce grand problème, les différents gouvernements tentent d’y trouver des solutions; le gouvernement Français a d’ailleurs annoncé l’an dernier, un projet qui visera à semer des fleurs sauvages le long des routes de France, en espérant contrevenir à ce fléau.

  • ½ tasse beurre
  • 4 onces chocolat noir grossièrement haché (ou mi-sucré)
  • 4 gros œufs
  • ½ cuillerée à thé sel
  • ⅔ tasse sucre
  • 1 tasse miel
  • 1 cuillerée à thé vanille
  • 1 tasse farine
  • 1 tasse noix grillées hachées

Dans la partie supérieure d’un bain-marie chauffée à feu modéré, faire fondre le beurre et le chocolat (retirer du bain-marie aussitôt fondu), réserver.

Dans une jatte, à l’aide d’un batteur électrique, battre les œufs et le sel jusqu’à mousseux.

Ajouter le sucre, le miel et la vanille, battre à nouveau jusqu’à homogène.

Ajouter le mélange de chocolat réservé, battre à nouveau quelques instants.

Ajouter la farine et ne battre que jusqu’à ce qu’elle ait disparue dans l’appareil (ne pas trop battre!).

À l’aide d’une maryse, plier les noix dans l’appareil obtenu.

Verser le tout dans un moule carré de 9x9’’, préalablement chemisé de papier parchemin.

Cuire au four sur la grille du centre, à 325° pendant 45 à 50 minutes, ou jusqu’à ce qu’un cure-dent inséré au centre du brownie, en ressorte propre.

Laisser tiédir avant de démouler et couper en parts de 2x2’’, ou réfrigérer au moins 1H avant de démouler et couper, pour une coupe bien nette.





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Super burgers végétariens





Depuis quelques années déjà, Hellmann’s fait la promotion de son mouvement "Mangez vrai", visant à sensibiliser les Canadiens à consommer des produits locaux, dans le but de supporter l’économie via les producteurs régionaux et d’ainsi soutenir l’environnement; une noble et bienveillante idée, à la fois risquée. S’il est nécessaire d’analyser nos habitudes alimentaires en se questionnant par exemple, sur la distance que parcourent les fraises pour arriver dans nos assiettes au beau milieu de l’hiver, il n’est tout de même pas évident de comprendre ce que cette démarche aurait à voir avec la mayonnaise. Un lien tangible existe pourtant entre Hellmann’s et l’idée de consommer localement, dans le fait qu’Hellmann’s pour produire sa mayonnaise, utilise des œufs provenant de l’Ontario et du Québec, ainsi que l’huile de canola des Prairies. Mais Hellmann’s et leurs partenaires osent aussi, avec une très intéressante initiative. Essentiellement, ils essaient d’associer leur produit à un style de vie; un concept visant à déployer leurs efforts et leur argent dans une cause admirable, plutôt qu’à forcer leur marque dans nos cuisines. Ils veulent surtout que les Canadiens en parlent, et s'ils atteignent leurs buts, les producteurs locaux seront relancés, les consommateurs seront mieux informés, plus conscients de ce qu’ils achètent et Hellmann’s en tirera l’avantage de s’être approprié une plus grande partie du marché ainsi que de nouveaux consommateurs qu’évidemment, ils espèrent fidèles. Mais cette campagne est risquée en terme de marketing traditionnel, parce la marque Hellmann’s ne tient pas une si grande part du marché, ce qui pourrait vouloir dire qu’ils dépensent beaucoup pour ne retirer que peu, ou même pas du tout, de reconnaissance envers leur marque. Qu’elle soit sincère ou ingénieuse, la stratégie de la campagne "Mangez vrai", à tout de même plusieurs composantes très encourageantes. Au courant de l’été dernier, chaque fois que quelqu’un cautionnait le mouvement "Mangez vrai" sur leur site web en promettant de s’engager à préparer, acheter et consommer des aliments locaux, Hellmann’s versait 25 cents au groupe torontois Evergreen, une entreprise sociale à but non-lucratif qui créer des jardins urbains d’un océan à l’autre en souligant l’importance de la qualité environnementale de nos villes, pour la santé et le bien-être. Chaque fois qu’un internaute utilisait le libellé #REALFOOD pour parler de la consommation locale sur Twitter, Hellmann’s versait 25 cents supplémentaire. La plupart du temps, nos choix alimentaires se limitent à ce que les supermarchés offrent, et dans cet esprit, Hellmann’s offrait un total de $100 000 en subventions dans le cadre du mouvement "Mangez vrai", afin d’appuyer les initiatives qui unissent les familles canadiennes, les enfants et les vrais aliments au sein de leur communauté. Mais au final, on peut se demander comment le mouvement "Mangez vrai" pourrait être réellement avantageux dans notre quotidien. Avec les gouvernements qui coupent dans les budgets, l’économie en souffrance, le gouffre toujours grandissant entre les moins et les mieux nantis, si une multinationale veux s’investir et s’avancer au-delà de ses propres intérêts, en tentant une nouvelle approche dans la façon de changer nos habitudes alimentaires, possiblement même pour le mieux, alors pourquoi pas? Et si toute cette démarche créer un débat de société, c’est encore mieux… pour nous, notre santé, notre environnement, notre pouvoir d’achat et bien sûr, pour Hellmann’s.

  • 1½ tasse cerneaux de noix (de Grenoble ou autres au goût)
  • 1 tasse flocons d’avoine
  • ⅓ tasse chapelure (maison ou du commerce)
  • 1 oeuf
  • ¼ tasse lait
  • ½ oignon haché
  • 2 gousses d’ail pressées
  • ½ cuillerée à thé sauge
  • ½ cuillerée à thé sel
  • Poivre au goût
  • Huile d’olive
  • 2 tasses bouillon de légumes
  • Pains à hamburgers, tomates, avocats, oignons, laitue, mayonnaise, etc.

Dans la jarre du blender ou au robot culinaire, pulvériser les noix jusqu'à finement texturées.

Dans une grande jatte, bien mélanger avec les mains, la mouture de noix et tous les ingrédients sauf l’huile d’olive et le bouillon de légumes.

Façonner 4 grandes galettes avec l’appareil obtenu, couvrir d'une pellicule plastique et mettre au frigo au moins 1H, avant de cuire.

Dans un poêlon, faire chauffer un peu d’huile sur un feu modéré et y faire dorer les galettes de chaque côté.

Ajouter le bouillons de légumes et laisser mijoter à couvert, pendant 25 minutes.

Égoutter les galettes sur des papiers absorbants, monter les burgers et les garnir au goût de tomates, avocats, oignons, laitue, mayonnaise, etc.




Blondies riches et moelleux





Recette suggérée par Nicole de Cookies on Friday
dans le cadre de ma cent-treizième participation aux TWD

It's been a hard day in the city
It affects you in the most peculiar way
Dull day don't seem pretty
We've said all that there is to say
And if you were to ask me questions
You don't really want to know
Your concern is just for show
Your name's a number, just press a button
Your memories lost but they've not forgotten

They try to break our lust for passion
They try to tell us that it's not in fashion

And if you were' to ask me questions
What are we fighting-for?
We're just breaking down the door

It doesn't really matter
I've been through this all before
It doesn't really matter

They fight in England and Northern Ireland
The police they try to hold us still
They can bleed us and they can feed us
But you know they'll never control our will
And if you were to ask that question
What are we fighting for?
We're just breaking down the door

Doesn't Really Matter, Platinum Blonde - 1984


Vidéo de Doesn't Really Matter - 1984
du groupe Canadien Punk-New Wave Platinum Blonde

  • 2 tasses farine
  • 1½ cuillerée à thé poudre à pâte
  • Pincée de sel
  • Pincée de bicarbonate de sodium
  • 1 tasse beurre à température ambiante
  • 1½ tasse cassonade
  • ½ tasse sucre
  • 2 gros œufs
  • 1 tasse brisures de chocolat mi-sucré
  • 1 tasse noix de coco râpée
  • 1 tasse noix de Grenoble hachées
  • ½ tasse brisures de Skor
Dans un bol, bien mélanger la farine, la poudre à pâte, le sel et le bicarbonate de sodium, réserver.

Dans une grande jatte, à l’aide d’un batteur électrique, battre le beurre, la cassonade et le sucre jusqu’à pâles et crémeux, environ 3 minutes.

Ajouter la vanille et les œufs, un à la fois, en battant au moins une minutes après chaque addition.

Ajouter les ingrédients secs aux ingrédients liquides en 2, 3 étapes, et en prenant soin de ne battre que jusqu’à amalgamés (ne pas trop battre!).

À l’aide d’une maryse, plier les brisures de chocolat, la noix de coco, les noix de Grenoble et les brisures Skor, jusqu’à bien incorporés.

Transférer le tout dans un moule de 9x13’’ préalablement beurré, bien uniformiser le dessus de l’appareil à l’aide de la maryse.

Faire cuire au four sur la grille du centre à 325°, pendant 40 à 45 minutes.

Laisser tiédir quelques minutes avant de démouler, mettre au frigo jusqu’à bien refroidi.

Couper en une trentaine de parts.

Source: Baking, From My Home to Yours - Dorie Greenspan - déclinaison


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Biscuits "volcan" au café




Recette suggérée par McDuff de Lonely Sidecar
dans le cadre de ma quatre-vingt-deuxième participation aux TWD

Son cratère crache une lave d’un vif orangé, sa fumée noire se mélange aux nuages puis, il teinte la nuit sombre d’un halo rougeâtre. Culminant à 1200' au-dessus du calme tropical dans le détroit de la Sonde en Indonésie, le plus terrifiant des tous les volcans du monde s’agite à nouveau. Il y a 126 ans, le Krakatoa montrait ses premiers signes d’éruption imminente le 20 mai 1883; ce jour-là, un bateau allemand rapporte avoir vu une colonne de fumée noire et des cendres, s’élevant à plus de 7 miles au-dessus de l’île de Krakatoa. Mais le volcan n’avait pas donné signes d’éruption depuis deux siècles et les habitants locaux loin de s’imaginer la suite, se réjouirent plutôt du spectacle pyrotechnique en célébrant l’événement. Quelques mois plus tard, le 26 août, une série d’explosions retentirent en éjectant des débris à plus de 22 miles dans le ciel. Tôt le lendemain matin, d’autres explosions engloutirent les deux tiers de l’île, dans la mer; les détonations étaient si fortes qu’elles furent entendues à 4500 miles de là, au Sri Lanka et à 1600 miles, à Perth dans l’ouest de l’Australie. Quatre mille cinq cents personnes furent alors tuées par la faute du Krakatoa, mais encore bien plus dévastateur fut le tsunami de 130' de haut, qui suivi. Au total 36 417 personne on perdu la vie dans cette éruption, 90% par le tsunami. Avec une force explosive 13 000 fois plus grande que celle de la bombe atomique qui a anéanti Hiroshima, l’éruption du Krakatoa de 1883, a aussi radicalement altéré le climat et les températures globales pendant de nombreuses années; aucun volcan à ce jour n’a dépassé sa force, pas même le spectaculaire Mont Saint Helens des années '80. Serons-nous témoin des horreurs d’une nouvelle éruption du Krakatoa, près d’un siècle et demi après la dernière? Les scientifiques croient que si tel était le cas, l’impact serait bien plus dévastateur que celui du 19e siècle; les archives officielles démontrent qu’en 1883, le gigantesque tsunami qu’a généré l’éruption, a détruit 165 villes et villages et en a gravement endommagé 132 autres. Considérant la population actuelle comprise entre les îles de Java et de Sumatra dans l’archipel indonésien, une nouvelle éruption pourrait toucher des centaines de milliers d’habitants. De plus, la dernière éruption de Krakatoa a eu un effet extraordinaire sur la planète; la température globale moyenne a chuté de plus de 1,2°C, l’énorme quantité de dioxyde de sulfure pompée dans l’atmosphère s’est transformée en nuages, reflétant une bien plus grande lumière solaire, qu’à l’habitude. En novembre 2007, le Krakatoa s’est remis à cracher violemment à nouveau, mais les habitants de la région ont cru avoir échappé au désastre lorsqu’il s’est calmé l’an dernier. Mais ce printemps 2009, Anak Krakatoa – l’enfant de Krakatoa, s’est mis à gronder de nouveau. D’étonnantes photos publiées en septembre 2009, prouvent que les restes de ce qui fut jadis un énorme volcan, bouillonnent et débordent à nouveau.




Photos du volcan Anak Krakatoa, île de Krakatoa, archipel indonésien - 2009
  • 1 t. amandes émondées grillées (éffilées, entières ou hachées)
  • 1 t. noix de Grenoble grillées hachées
  • 2 gros blancs d’œufs
  • 1 t. sucre
  • 2 c. à thé expresso instantané
Dans une casserole à fond épais ou en cuivre, mélanger tous les ingrédients et faire chauffer sur un feu modéré en remuant constamment.

Lorsque le mélanger est chaud au toucher, retirer la casserole du feu.

Déposer le mélange par cuillérées à thé combles sur une plaque de cuisson préalablement tapissée de papier parchemin.

Faire cuire au four sur la grille du centre, à 350° pendant 20 minutes ou jusqu’à bien gonflés et dorés.

Laisser tiédir 5 minutes avant de transférer sur une grille et complètement refroidir.

*Donne 2 à 3 douzaines de biscuits
**Ne pas réfrigérer.

Source: Baking, From My Home to Yours - Dorie Greenspan - déclinaison


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