Recette suggérée par Mandy de What the Fruitcake?
dans le cadre de ma vingt-quatrième participation aux défis Daring Bakers
Admirée au Louvre par plus de 6 millions de visiteurs chaque année, la magnificence de La Joconde réside dans le fait qu’à l’époque, de Vinci l’a peinte en employant une technique révolutionnaire. Cette technique très novatrice, connue sous le nom de «sfumato», consiste en un savant amalgame d'ombre et de lumière. Peinte au 16e siècle, entre 1503 et 1506 en Italie, La Joconde aussi connue sous le nom erroné de Mona Lisa popularisé par une biographie publiée 30 ans après la mort de de Vinci, représenterait Monna Lisa Gherardini, une jeune mère de 24 ans. Le mystère plane encore de nos jours, et les historiens ne s’accordent toujours pas pour dire que le modèle aurait bel et bien été la fameuse Monna Lisa, dont le riche mari, Francesco del Giocondo, aurait mandaté de Vinci pour peindre le portrait de sa femme. Certains seraient allés jusqu’à insinuer que le modèle aurait pu être de Vinci lui-même, version féminisée. Des études récentes démontrent que sous la peinture visible, se trouvent trois autres versions de La Joconde, pour une d’entre elles, de Vinci aurait posé la main de son modèle sur l’accoudoir de son siège, plutôt que de les avoir jointes comme sur le chef d’œuvre complété. Au moment de sa mort à Amboise, en 1519, de Vinci lègue à ses héritiers sa fameuse Joconde, dont François 1er fera l’acquisition par la suite, pour son château de Fontainebleau. Le tableau reste donc très longtemps parmi les collections royales françaises; à Versailles sous Louis XIV et aux Tuileries sous Napoléon, pendant le Premier Empire. En 1793, elle sera offerte au nouveau Museum Central des Arts du Louvre et devra une partie de sa célébrité internationale à son vol, commis en plein jour, en août 1911, par Vincenzo Peruggia, un employé du Louvre et peintre un peu fou, qui désirait la rendre à son pays d’origine. À peine deux ans plus tard, le tableau fut saisi lorsque l’escroc tenta de le vendre à Florence. Au cours de la Seconde Guerre Mondiale, le Louvre déplaça presque toutes ses œuvres pour les protéger; les tableaux furent envoyés par train, alors que les cadres restèrent sur place. Monna Lisa réside à présent en sécurité, dans la Grande Galerie du Louvre, sous une vitre pare-balle, dans un environnement à température contrôlée; elle est considérée comme une œuvre inestimable et ne peut donc être assurée.
dans le cadre de ma vingt-quatrième participation aux défis Daring Bakers
Admirée au Louvre par plus de 6 millions de visiteurs chaque année, la magnificence de La Joconde réside dans le fait qu’à l’époque, de Vinci l’a peinte en employant une technique révolutionnaire. Cette technique très novatrice, connue sous le nom de «sfumato», consiste en un savant amalgame d'ombre et de lumière. Peinte au 16e siècle, entre 1503 et 1506 en Italie, La Joconde aussi connue sous le nom erroné de Mona Lisa popularisé par une biographie publiée 30 ans après la mort de de Vinci, représenterait Monna Lisa Gherardini, une jeune mère de 24 ans. Le mystère plane encore de nos jours, et les historiens ne s’accordent toujours pas pour dire que le modèle aurait bel et bien été la fameuse Monna Lisa, dont le riche mari, Francesco del Giocondo, aurait mandaté de Vinci pour peindre le portrait de sa femme. Certains seraient allés jusqu’à insinuer que le modèle aurait pu être de Vinci lui-même, version féminisée. Des études récentes démontrent que sous la peinture visible, se trouvent trois autres versions de La Joconde, pour une d’entre elles, de Vinci aurait posé la main de son modèle sur l’accoudoir de son siège, plutôt que de les avoir jointes comme sur le chef d’œuvre complété. Au moment de sa mort à Amboise, en 1519, de Vinci lègue à ses héritiers sa fameuse Joconde, dont François 1er fera l’acquisition par la suite, pour son château de Fontainebleau. Le tableau reste donc très longtemps parmi les collections royales françaises; à Versailles sous Louis XIV et aux Tuileries sous Napoléon, pendant le Premier Empire. En 1793, elle sera offerte au nouveau Museum Central des Arts du Louvre et devra une partie de sa célébrité internationale à son vol, commis en plein jour, en août 1911, par Vincenzo Peruggia, un employé du Louvre et peintre un peu fou, qui désirait la rendre à son pays d’origine. À peine deux ans plus tard, le tableau fut saisi lorsque l’escroc tenta de le vendre à Florence. Au cours de la Seconde Guerre Mondiale, le Louvre déplaça presque toutes ses œuvres pour les protéger; les tableaux furent envoyés par train, alors que les cadres restèrent sur place. Monna Lisa réside à présent en sécurité, dans la Grande Galerie du Louvre, sous une vitre pare-balle, dans un environnement à température contrôlée; elle est considérée comme une œuvre inestimable et ne peut donc être assurée.
Sablés
- 14 cuillerées à table beurre
- 1 tasse sucre
- 1 œuf
- 1 cuillerée à thé vanille
- 3 tasses farine
Glace royale
- 1 petit blanc d’œuf
- 1 tasse sucre glace (ou plus au besoin)
Fondant
- 1 paquet minis guimauves natures
- 2 cuillerées à table eau
- 1 paquet sucre glace
- Shortening (pour les mains)
- Fécule de maïs (pour le façonnage)
*L’image proposée sur la photo est obtenu par impression d’encre comestible sur feuille de sucre, disponible en pâtisserie.
Pour les sablés
Dans une grande jatte, à l’aide d’un batteur électrique, battre le beurre et le sucre jusqu’à crémeux (ne pas trop battre; trop d’air incorporé dans le mélange fera en sorte que les sablés s’étaleront à la cuisson).
Ajouter l’œuf et la vanille, et battre à nouveau, jusqu’à bien incorporés.
Ajouter la farine et battre jusqu’à ce que la pâte forme une masse épaisse.
Diviser la pâte en 2 ou 3 portions, rouler ses portions de pâte entre deux feuilles de papier parchemin.
Mettre les disques de pâte obtenus au frigo pendant 30 minutes.
Découper les formes voulues dans les disques de pâte et les déposer sur une plaque de cuisson préalablement tapissée de papier parchemin.
Couvrir et remettre le tout au frigo, de 30 minutes à 1H.
Faire cuire au four sur la grille du centre, à 400° pendant une dizaine de minutes, ou jusqu’à très légèrement dorés.
Laisser complètement refroidir à température ambiante avant de décorer.
Pour la glace royale
Dans une petite jatte, à l'aide d'un batteur électrique, battre le blanc d'œuf jusqu'à légèrement mousseux.
Ajouter le sucre glace petit à petit en battant constamment et jusqu'à consistance désirée, réserver.
Pour le fondant
Dans un grand bol allant au four micro-ondes, déposer les minis guimauves.
Ajouter l'eau et faire chauffer à puissance maximale pendant 2 minutes (remuer à mi-cuisson si le tout semble déborder).
Préparer un plan de travail recouvert du sucre glace moins une tasse.
Bien graisser vos mains et vos poignets avec le shortening.
À la sortie du four micro-ondes, ajouter la tasse de sucre glace réservée aux minis guimauves fondues, bien mélanger à l'aide d'une cuillère de bois.
Transférer le tout sur le lit de sucre glace en prenant soin de faire en sorte que la pâte ne déborde pas du lit.
Incorporer le sucre à la pâte, en ramenant toujours la pâte vers le centre et en faisant sûr qu'une certaine quantité de sucre glace reste sous la pâte, l'empêchant ainsi de coller au plan de travail.
Lorsque le sucre glace est complètement incorporé au fondant et qu'il est bien lisse, saupoudrer le plan de travail de fécule de maïs et rouler jusqu'à une épaisseur d'environ ¼ à ⅛''.
Pour l’assemblage
Badigeonner les sablés d’une mince couche de glace royale et y poser le fondant roulé et découpé à taille désirée.
Recouper les sablés au besoin, décorer au goût.
* L’image sur feuille de sucre doit être apposée peu de temps suivant son impression pour qu’elle adhère bien au fondant encore un peu humide; redécouper au besoin
The September 2010 Daring Bakers’ challenge was hosted by Mandy of “What the Fruitcake?!” Mandy challenged everyone to make Decorated Sugar Cookies based on recipes from Peggy Porschen and The Joy of Baking.
IMPRIMER CETTE RECETTE (sans photo)
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