Novembre 2007. Comme Hansel et Gretel qui avaient suivi leurs miettes de pain laissées derrière, pour sortir de la forêt, en 2005 et 2006, le FBI aurait passé au crible un recueil d’informations compilé par plusieurs supermarchés de San Francisco, espérant que certaines archives de ventes de produits moyen-orientaux, les mèneraient sur la piste de terroristes iraniens! L’idée était de vérifier si des augmentations de ventes de produits, par exemple des ventes de falafels, combinées à d’autres informations, pouvaient les mener aux agents secrets iraniens de la région du sud de San Francisco ou de San José. Cette merveilleuse idée des officiels de l’antiterrorisme du FBI, les agent Mudd et Hulon, selon des sources bien informées, n’aurait pas fait long feu. Elle aurait été renversée par l’officier en chef de la division des investigations criminelles du FBI, l’agent Mason, qui disputait le fait que d’inclure quelqu’un sur une liste terroriste en raison de leur alimentation, était ridicule voire même, possiblement illégal. À cet effet, une vérification des archives de la Cour californienne, n’a pas révélé si la «piste falafels» avait engendré des poursuites judiciaires. Le porte-parole du FBI, Paul Bresson, n’a ni confirmé, ni nié le fait que le bureau aurait en effet contrôlé de telles informations; le FBI aurait par la suite nié le fait que d’avoir ainsi examiné les habitudes de dépenses des consommateurs, aurait pu générer autant d’agitation qu’en 2002, alors que le Pentagone avait été trouvé coupable du même genre d’accusations. Aussi ridicule que cela puisse paraître, le schéma des ventes des supermarchés utilisé par le FBI, démontre combien ceux-ci cherchent désespérément à interrompre tout complot terroriste, sur leur territoire.
Dans une jatte, faire une purée grossière du reste des pois chiches, à l’aide d’un pilon ou d’une fourchette.
Ajouter le contenu de la jarre du blender à la purée de pois chiches, bien mélanger.
Ajouter la chapelure, le cumin, les flocons de piments rouges, la poudre à pâte, 1 cuillérée à table d’huile d’olive, saler et poivrer au goût et bien mélanger à nouveau.
Façonner la pâte obtenue en une vingtaine de boules d’environ 1’’ de diamètre et déposer sur une plaque de cuisson tapissée de papier parchemin.
Enduire les falafels d’huile d’olive, à l’aide des doigts un d’un pinceau de cuisine.
Cuire au four sur la grille du centre, à 400° pendant 15 à 20 minutes, si désiré passer sous le gril quelques minutes pour dorer un peu plus.
Laisser tiédir et servir en pita, garnis au goût de tzatziki, tranches de tomates, d’oignons et de laitue.
IMPRIMER CETTE RECETTE (sans photo)
- 2 t. pois chiches en boîte bien égouttés
- ¼ t. coriandre fraîche
- ¼ t. persil frais
- 3 gousses d’ail
- Jus d’un demi citron
- ½ t. chapelure (type italienne)
- Sel poivre au goût
- ½ c. à thé cumin en poudre
- ½ c. à thé flocons de piments rouges
- 1 c. à thé poudre à pâte
- 3 c. à table huile d’olive
- 4 pains pita
- Tzatziki, tomates, oignons, laitue, feta, etc.
Dans une jatte, faire une purée grossière du reste des pois chiches, à l’aide d’un pilon ou d’une fourchette.
Ajouter le contenu de la jarre du blender à la purée de pois chiches, bien mélanger.
Ajouter la chapelure, le cumin, les flocons de piments rouges, la poudre à pâte, 1 cuillérée à table d’huile d’olive, saler et poivrer au goût et bien mélanger à nouveau.
Façonner la pâte obtenue en une vingtaine de boules d’environ 1’’ de diamètre et déposer sur une plaque de cuisson tapissée de papier parchemin.
Enduire les falafels d’huile d’olive, à l’aide des doigts un d’un pinceau de cuisine.
Cuire au four sur la grille du centre, à 400° pendant 15 à 20 minutes, si désiré passer sous le gril quelques minutes pour dorer un peu plus.
Laisser tiédir et servir en pita, garnis au goût de tzatziki, tranches de tomates, d’oignons et de laitue.
IMPRIMER CETTE RECETTE (sans photo)