Duos de dulce de leche






Recette suggérée par Jodie de Beansy Loves Cake
dans le cadre de ma quatre-vingt-seizième participation aux TWD

Laurel et Hardy, le premier duo comique d’Hollywood. Le «petit», Stan Laurel (1890-1965), en réalité Arthur Stanley Jefferson, vient au monde à Ulverton en Angleterre. Laurel brûlait les planches d’Angleterre et était la doublure de Charlie Chaplin, lorsque sa troupe le mena en tournée à travers les États-Unis vers 1910; il apparu pour la première fois au grand écran en 1917, dans le film muet Nuts in May. Le «gros», Oliver Norwell Hardy Jr (1892-1957), né à Harlem en Georgie, aux États-Unis, commence sa carrière de chanteur à l’âge de 8 ans. Il quitte plus tard le collège, pour se joindre à une troupe de troubadours avant de se laisser porter vers l’industrie du cinéma. En 1914, il fait ses débuts au cinéma dans Outwitting Dad. Même si par pure coïncidence, les deux comparses jouent ensemble dans le court métrage Lucky Dog en 1917, ils ne formeront pas leur duo avant 1927, avec Slipping Wifes. Ensemble, pendant trois décennies, ils feront plus de 100 films, 27 desquels seront de grandes productions; on considère généralement leur meilleur travail se situer entre 1927 et 1930. Entre 1927 et 1940, ils deviendront les vedettes les plus célèbres et lucratives de Hal Roach. Leurs personnalités contrastantes, leur maladresse chronique et les embarras désastreux dans lesquels ils se fourraient, ont fait d’eux un duo comique universellement populaire. Hardy était gras, vantard et prétentieux, alors que l’émotif Laurel se laissait tabasser, d’un air désorienté. En 1940, le tandem quitte le studio Roach et n’apparaîtra plus que dans quelques films à petits budgets pour 20th century Fox et MGM; Laurel et Hardy prendront leur retraite du cinéma en 1944, pour se consacrer par la suite, exclusivement à leurs spectacles. Près de 80 ans ont passés depuis la gloire de Laurel et Hardy et pourtant, ils influencent toujours notre temps; les robots C-3PO et R2D2 de Star Wars, ont été inspirés de nuls autres que «le petit» et «le gros».


Thème musical de Laurel & Hardy

Biscuits
  • 2½ tasses farine
  • 1 cuillerée à thé bicarbonate de sodium
  • Pincée de sel
  • 1 tasse beurre à température ambiante
  • ¾ tasse dulce de leche (plus pour la garniture)
  • ¾ tasse cassonade
  • ½ tasse sucre
  • 2 gros œufs
Garniture (Dulce de leche)
  • 1 boîte lait condensé sucré (Eagle Brand ou autres)
Pour les biscuits

Dans un bol, bien mélanger la farine, le bicarbonate et le sel, réserver.

Dans une jatte, battre le beurre, le dulce de leche, la cassonade et le sucre, à l’aide d’un batteur électrique, pendant 3 minutes ou jusqu’à bien aérés et mousseux.

Ajouter les œufs un à la fois en battant pendant une minute après chaque addition.

Ajouter les ingrédients secs et aux ingrédients liquides et ne les battre que jusqu’à amalgamés.

Déposer la pâte par cuillerées à thé sur une plaque de cuisson préalablement tapissée de papier parchemin, en prenant soin de laisser un espace d’au moins 1.5 ‘’ entre chaque biscuit.

Faire cuire au four sur la grille du centre, à 350° pendant 10 minutes ou jusqu’à légèrement dorés.

Laisser complètement refroidir avant de garnir.

Pour la garniture (dulce de leche)

Retirer le papier de la boîte de lait condensé sucré et ne pas ouvrir la boîte.

Poser la boîte dans une casserole haute et la couvrir d’eau (au moins 1’’ par-dessus de la boîte).

Amener la casserole à ébullition sur un feu modéré.

Aux premiers bouillons, baisser le feu à doux et laisser mijoter pendant 3 à 4H, dépendant de la caramélisation désirée (la cuisson de la boîte photographiée, était de 4H).

*Très important : veiller à ce qu’il y ait toujours au moins 1’’ d’eau par-dessus la boîte.

Retirer de la casserole et laisser complètement refroidir avant d’ouvrir.

*Le caramel peut être démoulé en ouvrant les deux côtés de la boîte.

Tartiner le dulce de leche sur la première moitié des biscuits, puis les refermer de la seconde.

*Donne environ une trentaine de biscuits doubles.

Source: Baking, From My Home to Yours - Dorie Greenspan - déclinaison


IMPRIMER CETTE RECETTE (sans photo)