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Doubles spritz au chocolat et amandes, parfumés à l'Amaretto





Les gâteaux de toutes sortes et de toutes tailles, incluant les biscuits, ont fait partie des rituels des fêtes bien avant Noël. Dans l’Antiquité, les cuisiniers préparaient des pâtisseries sucrées pour marquer les occasions spéciales. Plusieurs de leurs recettes et ingrédients tels la cannelle, le gingembre, le poivre, les amandes, les fruits séchés et bien d’autres, ont été introduits en Europe vers le Moyen-Âge, où ils furent rapidement incorporés dans la tradition pâtissière européenne, tellement ils furent appréciés. Les biscuits de Noël tels qu’on les connaît aujourd’hui, tirent leur origine de ces recettes européennes moyenâgeuses. Les colons hollandais et allemands, créèrent l’emporte-pièce, les moules décoratifs et les décorations de Noël, que connaissent les Amériques modernes. Le lebkuchen allemand ou pain d’épices, fut probablement le premier gâteau/biscuit associé avec Noël. Les recettes de biscuits au sucre et autres confections du même genre, sont pour leur part, de tradition anglaise. Vers 1500, les biscuits de Noël étaient déjà très populaires partout en Europe; les familles allemandes préparaient alors le fameux lebkuchen ainsi que des biscuits spritz au beurre pour les Fêtes; en Suède, les papparkakors avaient la cote, alors qu’en Norvège les krumkakes, de petites et fines gaufrettes au citron, trônaient sur toutes les tables de Noël. Alors que les lois sur l’importation évoluèrent, de nombreux et très abordables ustensiles de cuisine allemands, firent leur entrée en Amérique entre 1871 et 1906, inondant les marchés de Noël; les emporte-pièces usinés contrairement à leur cousin fabriqués à la main, représentaient des sujets hautement stylisés, dépeignant souvent des thèmes laïques spécifiquement conçus pour être suspendus dans l'arbre de Noël. Toutes sortes de recettes facilitant l’emploi de ces ustensiles apparurent dans les livres de recettes; l’arrivée d’ustensiles si peu chers, fit alors place à une nouvelle mode, celle de formes variées de biscuits, jusqu’alors restés ronds ou carrés. Des cloches, des arbres de Noël, des chameaux, des cannelures, des fleurs, des dindes et de nombreuses autres formes élaborées, surpassèrent les recettes de biscuits elles-mêmes.

Biscuits
  • 1 tasse beurre pommade
  • 1 tasse sucre
  • ½ cuillerée à thé sel
  • 1 gros œuf
  • 1 cuillerée à table vanille
  • 2½ tasses farine

Garniture
  • 5 onces chocolat mi-sucré haché
  • ½ tasse crème 35%
  • 2 cuillerées à table garniture aux amandes
  • 1 cuillerée à table Amaretto (ou autre liqueur d’amande)

Pour les biscuits

Dans une grande jatte, à l’aide d’un batteur électrique, battre le beurre et le sucre, jusqu’à pâle et crémeux.

Ajouter le sel, l’œuf et la vanille, et battre à nouveau, jusqu’à bien incorporés.

À l’aide d’une cuillère de bois ou d’une maryse, ajouter la farine et bien incorporés.

Délicatement façonner la pâte en un grand cylindre et l’introduire dans la presse à biscuits.

En travaillant la pâte en plusieurs portions et selon les directives du manufacturier, distribuer les biscuits à travers la presse, sur une plaque de cuisson non beurrée, en les espaçant d’au moins 1".

Faire cuire au four sur la grille du haut, à 375° pendant 10 minutes, ou jusqu’à ce que les biscuits soient légèrement dorés.

Laisser complètement refroidir à température ambiante, avant de garnir.

Pour la garniture

Déposer le chocolat dans une jatte, réserver.

Dans une petite casserole, amener à ébullition la crème, la garniture aux amandes et l’Amaretto, sur un feu modéré, en remuant de temps à autres.

Aux premiers bouillons, verser la crème sur le chocolat et laisser ainsi reposer pendant quelques minutes.

À l’aide d’un maryse, mélanger le tout dans un mouvement de cercles concentriques, en commençant par le centre, jusqu’à bien homogène.

Laisser tiédir à température ambiante, jusqu’à l’obtention d’une texture épaisse et crémeuse.

Tartiner la moitié des biscuits d’une cuillerée à thé de ganache, et refermer le reste de biscuits par-dessus la ganache.

Conserver dans une boîte métallique, jusqu’au moment de servir.

* Donne environ 2 douzaines de biscuits doubles.




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Duos de dulce de leche






Recette suggérée par Jodie de Beansy Loves Cake
dans le cadre de ma quatre-vingt-seizième participation aux TWD

Laurel et Hardy, le premier duo comique d’Hollywood. Le «petit», Stan Laurel (1890-1965), en réalité Arthur Stanley Jefferson, vient au monde à Ulverton en Angleterre. Laurel brûlait les planches d’Angleterre et était la doublure de Charlie Chaplin, lorsque sa troupe le mena en tournée à travers les États-Unis vers 1910; il apparu pour la première fois au grand écran en 1917, dans le film muet Nuts in May. Le «gros», Oliver Norwell Hardy Jr (1892-1957), né à Harlem en Georgie, aux États-Unis, commence sa carrière de chanteur à l’âge de 8 ans. Il quitte plus tard le collège, pour se joindre à une troupe de troubadours avant de se laisser porter vers l’industrie du cinéma. En 1914, il fait ses débuts au cinéma dans Outwitting Dad. Même si par pure coïncidence, les deux comparses jouent ensemble dans le court métrage Lucky Dog en 1917, ils ne formeront pas leur duo avant 1927, avec Slipping Wifes. Ensemble, pendant trois décennies, ils feront plus de 100 films, 27 desquels seront de grandes productions; on considère généralement leur meilleur travail se situer entre 1927 et 1930. Entre 1927 et 1940, ils deviendront les vedettes les plus célèbres et lucratives de Hal Roach. Leurs personnalités contrastantes, leur maladresse chronique et les embarras désastreux dans lesquels ils se fourraient, ont fait d’eux un duo comique universellement populaire. Hardy était gras, vantard et prétentieux, alors que l’émotif Laurel se laissait tabasser, d’un air désorienté. En 1940, le tandem quitte le studio Roach et n’apparaîtra plus que dans quelques films à petits budgets pour 20th century Fox et MGM; Laurel et Hardy prendront leur retraite du cinéma en 1944, pour se consacrer par la suite, exclusivement à leurs spectacles. Près de 80 ans ont passés depuis la gloire de Laurel et Hardy et pourtant, ils influencent toujours notre temps; les robots C-3PO et R2D2 de Star Wars, ont été inspirés de nuls autres que «le petit» et «le gros».


Thème musical de Laurel & Hardy

Biscuits
  • 2½ tasses farine
  • 1 cuillerée à thé bicarbonate de sodium
  • Pincée de sel
  • 1 tasse beurre à température ambiante
  • ¾ tasse dulce de leche (plus pour la garniture)
  • ¾ tasse cassonade
  • ½ tasse sucre
  • 2 gros œufs
Garniture (Dulce de leche)
  • 1 boîte lait condensé sucré (Eagle Brand ou autres)
Pour les biscuits

Dans un bol, bien mélanger la farine, le bicarbonate et le sel, réserver.

Dans une jatte, battre le beurre, le dulce de leche, la cassonade et le sucre, à l’aide d’un batteur électrique, pendant 3 minutes ou jusqu’à bien aérés et mousseux.

Ajouter les œufs un à la fois en battant pendant une minute après chaque addition.

Ajouter les ingrédients secs et aux ingrédients liquides et ne les battre que jusqu’à amalgamés.

Déposer la pâte par cuillerées à thé sur une plaque de cuisson préalablement tapissée de papier parchemin, en prenant soin de laisser un espace d’au moins 1.5 ‘’ entre chaque biscuit.

Faire cuire au four sur la grille du centre, à 350° pendant 10 minutes ou jusqu’à légèrement dorés.

Laisser complètement refroidir avant de garnir.

Pour la garniture (dulce de leche)

Retirer le papier de la boîte de lait condensé sucré et ne pas ouvrir la boîte.

Poser la boîte dans une casserole haute et la couvrir d’eau (au moins 1’’ par-dessus de la boîte).

Amener la casserole à ébullition sur un feu modéré.

Aux premiers bouillons, baisser le feu à doux et laisser mijoter pendant 3 à 4H, dépendant de la caramélisation désirée (la cuisson de la boîte photographiée, était de 4H).

*Très important : veiller à ce qu’il y ait toujours au moins 1’’ d’eau par-dessus la boîte.

Retirer de la casserole et laisser complètement refroidir avant d’ouvrir.

*Le caramel peut être démoulé en ouvrant les deux côtés de la boîte.

Tartiner le dulce de leche sur la première moitié des biscuits, puis les refermer de la seconde.

*Donne environ une trentaine de biscuits doubles.

Source: Baking, From My Home to Yours - Dorie Greenspan - déclinaison


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Biscuits assortis - Milan et Whippet


Recette suggérée par Nicole de Sweet Tooth
dans le cadre de ma treizième participation au défis Daring Bakers

Une femme attendait à l’aéroport pendant la nuit, avec plusieurs heures à tuer avant d’embarquer à bord de son vol. Elle se rendit à la boutique de l’aéroport pour s’y procurer un bon livre et du coup, un sac de biscuits à grignoter. Contente d’avoir trouvé une façon de passer le temps, elle se déniche aussi un petit coin tranquille et confortable, et commence à lire. Bien qu’absorbée dans la lecture de son roman, elle réalisa que l’homme assis à côté d’elle, aussi effronté que cela puisse paraître, chipa un biscuit du sac placé entre eux. Elle fit semblant de ne pas l’avoir vu pour éviter une scène, et se replongea dans sa lecture. De temps à autres, elle levait les yeux pour regarder l’horloge au mur et picorer un biscuit. Mais le voleur continuait de gruger sa réserve! «Si je n’étais pas si gentille, je lui en aurais collé une depuis longtemps!» pensa-t-elle, en devenant de plus en plus irritée à mesure que les minutes passaient. Pour chaque biscuit qu’elle mangeait, le pillard en prenait un à son tour! Lorsqu’un seul biscuit restait au fond du sac, elle se demandait ce qu’il allait bien faire. Avec un grand sourire aux lèvres et un rire quelque peu nerveux, l’homme prit le dernier biscuit et le brisa en deux. Il lui en offrit une moitié et allait manger l’autre lorsqu’elle lui arracha des mains en le regardant de façon malveillante. «Quel culot!» pensa-t-elle «Il n'a même pas daigné me remercier». Elle n’avait jamais été aussi insultée et fut très soulagée d’entendre qu’on appelait les passagers de son vol. Elle plia bagage et se dirigea vers la porte d’embarquement, se refusant à regarder derrière, au risque de croiser le regard du voleur ingrat. Elle monta à bord de l’avion, trouva son siège et ouvrit son bagage pour y trouver son livre et enfin pouvoir le terminer en paix. Au moment où elle glissa la main dans son bagage, elle fut tellement surprise qu’elle en eut le souffle coupé. Là, sous ses yeux, se trouvait le sac de biscuits qu’elle avait acheté à la boutique de l’aéroport! «Si le mien est ici» grommela-t-elle désemparée, «L’autre était le sien, et il a voulu partager!». Trop tard pour s’excuser, elle réalisa à son grand malheur, que la voleuse ingrate, c’était elle.

Biscuits Milan

Biscuits
  • 12 c. à table beurre à température ambiante
  • 2 t. sucre glace
  • 2 c. à table vanille
  • 2 c. à table essence citron
  • 6 blancs d’œufs
  • 1½ t. farine
Garniture
  • ½ t. crème 35%
  • 8oz chocolat mi-sucré haché
  • Zeste d’une orange
Pour les biscuits

Dans une grande jatte, battre le beurre et le sucre jusqu’à pâle et crémeux, à l’aide d’un batteur électrique.

Ajouter les essences et les blancs d’œufs petit à petit en battant constamment.

Ajouter la farine et battre à nouveau, seulement jusqu’à incorporé (ne pas trop battre!).

Transférer l’appareil dans une poche à douille et sur une plaque de cuisson préalablement tapissée de papier parchemin ou d’un Silpat, disposer la pâte en sections de 1’’ pour chaque biscuit, en prenant soin de distancer chaque section de 2’’ (les biscuits s’étendent beaucoup).

*La tâche sera plus simple, si vous disposez d’un moule à boudoirs.

Faire cuire au four sur la grille du centre, à 350° pendant 10 minutes ou jusqu’à ce les bords soient bien dorés.

Laisser complètement refroidir avant de garnir.

Pour la garniture

Déposer le chocolat et le zeste d’orange dans un bol, réserver.

Dans une petite casserole ou au four micro-ondes, faire chauffer la crème jusqu’aux premiers bouillons.

Verser la crème chaude sur le chocolat, attendre quelques minutes et remuer doucement jusqu’à ce que tout le chocolat soit fondu.

Laisser tiédir jusqu’à tartinable.

Tartiner la moitié des biscuits de la garniture et refermer ceux-ci avec la seconde moitié.

Garder les biscuits dans une boîte métallique ou une jarre.

*Donne 2 à 3 douzaines de biscuits.


Biscuits Whippet

Biscuits
  • 3 t. farine
  • ½ t. sucre
  • Pincée de sel
  • ¾ c. à thé poudre à pâte
  • ½ c. à thé bicarbonate de sodium
  • 12 c. à table beurre à température ambiante
  • 3 œufs légèrement battus
Guimauve
  • ¼ t. eau
  • ¼ t. sirop de maïs
  • ¾ t. sucre
  • 1 c. à table gélatine nature
  • 2 c. à table eau froide
  • 2 blancs d’œufs à température ambiante
  • ¼ c. à thé vanille
Couverture
  • 12oz chocolat mi-sucré
  • 2oz huile végétale
Pour les biscuits

Dans un bol, mélanger la farine, le sucre, le sel, la poudre à pâte et le bicarbonate de sodium.

À l’aide d’un coupe-pâte, couper le beurre dans les ingrédients secs jusqu’à l’obtention d’une texture sableuse.

Ajouter les œufs et bien mélanger.

Façonner la pâte obtenue en un disque, l’envelopper dans une pellicule plastique et le réfrigérer au moins 1H (ou jusqu’à 3 jours).

Rouler la pâte sur un plan de travail légèrement enfariné, jusqu’à une épaisseur de ⅛’’ et découper les formes désirées à l’emporte-pièce.

Transférer les biscuits sur une plaque de cuisson préalablement tapissée de papier parchemin ou d’un Silpat.

Faire cuire au four sur la grille du haut, à 375° pendant 10 minutes ou jusqu’à bien dorés.

Laisser complètement refroidir, réserver.

Pour la guimauve

Dans une casserole, mélanger l’eau, le sirop de maïs et le sucre, amener à ébullition et faire bouillir jusqu’à ce que le thermomètre indique 235°.

Pendant ce temps, saupoudrer la gélatine sur l’eau froide et laisser gonfler pendant 5 minutes.

Retirer le sirop du feu et y ajouter la gélatine dissoute.

Battre les blancs d’œufs en neige ferme et y verser le sirop bouillant en battant constamment.

Ajouter la vanille et continuer de battre jusqu’à bien ferme.

Transférer l’appareil dans une poche à douille et créer des rosettes de guimauve sur chaque biscuit réservé.

Pour la couverture

Dans un bain-marie, faire fondre le chocolat additionné d’huile.

Un à un et délicatement, tremper les biscuits à la guimauve dans le mélange et les disposer sur une plaque à cuisson tapissée de papier ciré ou d’un Silpat.

Réfrigérer les biscuits trempés quelques minutes au frigo, afin de faire raffermir la couverture (ne pas les laisser trop longtemps au frigo, afin d’éviter la condensation).

*Donne environ 2 douzaines de biscuits.

The July Daring Bakers' challenge was hosted by Nicole at Sweet Tooth. She chose Chocolate Covered Marshmallow Cookies and Milan Cookies from pastry chef Gale Gand of the Food Network.


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Biscuits "World Peace" en sandwiches à la glace "Poire Belle Hélène"


Recette suggérée par Jessica de Cookbookhabit
dans le cadre de ma trente-huitiême participation aux TWD
Le jovial leader de millions de bouddhistes autour du monde, celui qui croit que le dessein de la vie est d'être heureux, le Dali Lama, s’est rallié aux scientifiques pour discuter de comment le stress peut affecter notre santé. Le moine de 74 ans, vêtu de ces tuniques traditionnelles a répondu aux questions de trois grands scientifiques dont Deepak Chopra, oeuvrant dans le domaine de la santé mentale. Le Dalai Lama affirme que la présence précoce du stress sur l’enfant, soit émanant de la pauvreté ou de quelconques abus, mène à des émotions négatives telles que la peur, la jalousie et la colère, qui évoluent toutes plus tard, en violence. Essentiellement, le Dalai Lama croit que pour arriver à une forme de paix mondiale, chaque humain devra trouver sa paix intérieure, la tolérance et la compassion. Il croit qu’une fois développée, la compassion mènera à un dialogue plus significatif qui lui-même, mènera à un monde moins violent. «Pour comprendre le dialogue significatif, vous-mêmes devez comprendre les intérêts des autres et les respecter comme s’ils étaient ceux de vos propres frères et sœurs; considérez aussi les autres comme faisant partie intégrante de votre être» déclare-t-il. Il dit aussi que les gens peuvent prendre exemple sur les soins d’une mère envers son enfant, pour comprendre la compassion réelle. Chopra, qui étudie les connections entre le coprs et l’esprit en relation avec la santé, demande: «Est-ce que la paix mondiale viendrait si la société ennoblissait la profession de mère?», ce à quoi le Dalai Lama répond en ricanant: «Oui, c’est très bien.» Le Dalai Lama croit que même les enfants qui ont souffert d’abus peuvent guérir et apprendre à changer leur perspective négative en une attitude positive. «Faites l’effort. Travailler dur. Soyez unis. Vous devriez savoir que vous avez la responsabilité de travailler ensemble.» dit-il. Après la recontre, le Dalai Lama discute de la façon de cultiver le bonheur : «Je crois que le bonheur et le succès dépendent de notre vision du monde; l’argent, le pouvoir et même la santé, sont secondaires. Si votre état d’esprit est calme et en paix, alors vous jouissez vraiment de la vie.» Suite à une insurrection contre la domination chinoise, le Dalai Lama s’est exilé dans le nord de l’Inde, fuyant le Tibet ou il est par contre, toujours très révéré.
  • 1¼ t. farine
  • ⅓ t. cacao non sucré
  • ½ c. à thé bicarbonate de sodium
  • 11 c. à table beurre doux à température ambiante
  • ⅔ t. cassonade
  • ¼ t. sucre
  • ½ c. à thé fleur de sel
  • 1 c. à thé vanille
Dans un bol, tamiser la farine, le cacao et le bicarbonate ensemble, réserver.

Dans une grande jatte, battre le beurre à vitesse moyenne jusqu’à léger et crémeux.

Ajouter le sucre, la cassonade, la vanille et le sel, battre à nouveau pendant 2 minutes.

Ajouter les ingrédients secs aux ingrédient liquides en un coup, couvrir la jatte d’un linge propre pour éviter l’explosion de farine, et battre ainsi couvert environ 5 fois, pendant une à deux secondes à chaque fois.

Vérifier le résultat; s’il reste encore beaucoup de farine en surface de la pâte, continuer de battre quelques coups de une à deux secondes (pour une texture idéale, éviter de trop travailler la pâte une fois la farine ajoutée).

Transférer la pâte sur une plan de travail propre, la façonner en une boule et l'envelopper dans une pellicule plastique.

Façonner la boule ainsi enveloppée en en un rouleau de 3" de diamètre par environ 5" de long.

Réfrigérer au moins 3H ou jusqu’à 3 jours (le rouleau peut aussi être congelé jusqu’à 2 mois).

Peler le pellicule plastique du rouleau et le couper en rondelles d’environ ¼" d’épaisseur (les rondelles peuvent craquer à la coupe, mais bien positionnées sur la plaque de cuisson, rien n’y paraîtra après la cuisson).

Déposer les rondelles sur une plaque de cuisson tapissée de papier parchemin ou d’un Silpat, en laissant environ 1" entre chaque biscuit.

Faire cuire au four sur la grille du haut, à 325° pendant 10 à 12 minutes (les biscuits n’auront pas l’air cuits, ni fermes, mais ils seront prêts!)

Laisser tiédir quelques minutes et servir tièdes ou à température ambiante.

Pour transformer les biscuits en sandwiches à la glace, tartiner le dos d'un biscuit de glace "Poire Belle Hélène" ramollie quelques minutes à température ambiante et refermer le sandwich d'un second biscuit superposé.

Répéter ces opération pour tous les sandwiches et garder au congélateur, individuellement enveloppés de pellicule plastique.

*Donne environ 6 à 8 gros sandwiches

Source: Baking, From My Home to Yours - Dorie Greenspan - déclinaison


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Sablés de Linz au chocolat



Recette suggérée par Noskos de Living the Life
dans le cadre de ma vingt-neuvième participation aux TWD

Avec l’arrivée de l’Avent, la ville de Linz est déjà toute en liesse à l’idée d’être la capitale européenne officielle de la culture, pour l’année 2009. Située aux abords du Danube, cette capitale régionale de la province de Haute-Autriche, la plus grande ville d’Autriche, borde les limites de la République tchèque jusqu’aux au sud, où les merveilleuses Alpes autrichiennes, viennent l’embrasser. Avec les 60% de verdure qui tapissent la ville, Linz est l’une des villes autrichiennes les plus respectueuses de l’environnement et n’aura donc aucun problème, à réunir l’industrie, la culture et la nature dans l’essentiel de sa programmation 2009; un éventail d’activités musicales, théâtrales et artistiques constellerons d’ailleurs son calendrier. Le point culminant de l’été 2009, sera le «Pflasterspektakel» ou «spectacle de la rue», qui métamorphosera le centre de la ville en une scène de rue, ouverte à tous les arts. De plus, le spectacle annuel du début de septembre «Ars Electronica», un festival d’arts médiatiques et technologiques, fera figure de proue comme à toutes les années, depuis plus de 20 ans. Pour profiter de telles célébrations culturelles cette année, rien ne vaudra une balade à travers les petites cours intérieures de la vieille ville de Linz, située juste au pied de son château, ainsi que sur sa «Hauptplatz» ou «place principale», une des plus grandes d’Europe. En grimpant au sommet de Pöstlingberg, une superbe vue panoramique de la ville attend les visiteurs et par beau temps, celle-ci s’étirera à perte de vue, jusqu’aux pitoresques Alpes autrichiennes. Mais toute cette culture et ces attraits de Linz, ne sont pas les seuls superlatifs que cette ville puisse offrir puisqu’à Linz, même la confection des traditionnels gâteaux et biscuits «linzer», compte parmi les pâtisseries les plus anciennes, avec leurs 350 ans d’histoire.

Sablés
  • 1 t. amandes moulues
  • 2 t. farine
  • ½ c. à thé cannelle
  • 1 pincée sel
  • 1 œuf
  • 2 c. à table eau
  • ½ t. beurre
  • ½ t. sucre
Garniture
  • ½ t. crème
  • 5oz. chocolat grossièrement haché
  • 1 c. à table beurre
Pour les sablés

Dans un bol, bien mélanger les amandes moulues, la farine, la cannelle et le sel, réserver.

Dans un petit bol, légèrement battre l’œuf avec l’eau, réserver.

Dans une grande jatte, à l’aide d’un batteur électrique, fouetter le beurre et le sucre jusqu’à pâles et mousseux.

Ajouter le mélange d’œufs et battre 1 minute supplémentaire.

Ajouter les ingrédients secs aux ingrédients liquides et battre à nouveau, jusqu’à ce que les ingrédients secs disparaissent dans le mélange (ne pas trop battre!), terminer de mélanger à l’aide d’une maryse, si besoin.

Séparer la pâte obtenue en deux portions, poser la première sur une feuille de papier ciré et recouvrir le tout d’une seconde feuille de papier ciré.

Rouler la pâte ainsi contenue entre les deux feuilles de papier ciré, jusqu’à environ 1/8"d’épaisseur.

Procéder de la même façon pour la seconde portion de pâte.

Déposer les deux disques de pâte, toujours enfermés dans le papier ciré, au congélateur pendant au moins 45 minutes.

Lorsque bien ferme, sortir un disque de pâte et retirer la feuille de papier ciré du dessus.

Découper les formes désirées à l’emporte-pièce (il faut agir rapidement, la pâte aura tendance à ramollir très vite et ainsi, devenir difficile à manipuler).

Transférer les biscuits découpés sur une plaque de cuisson préalablement tapissée de papier parchemin.

Cuire au four, sur la grille du centre, à 350° pendant 10 à 13 minutes ou jusqu’à légèrement dorés.

Laisser refroidir les biscuits sur une grille à pâtisserie.

Procéder de la même façon pour le second disque de pâte, en découpant aussi une forme au centre des biscuits (pour ainsi obtenir des biscuits «lunettes»).

Faire cuire de la façon précédente.

Répéter ces mêmes étapes pour le reste de la pâte (rouler entre deux feuilles de papier ciré, congeler, découper, cuire et refroidir).

Pour la garniture

Dans un bol, déposer le chocolat haché, réserver.

Dans une petite casserole, porter la crème à ébullition, sur un feu modéré.

Aux premiers bouillons retirer la casserole du feu et verser le tout sur le chocolat.

Laisser le chocolat fondre quelques instants, mélanger le tout délicatement en ajoutant le beurre.

Laisser tiédir jusqu’à consistance crémeuse et tartiner chaque biscuit (sans trou) d’environ ½ c. à table de ce mélange.

Poser un biscuit à trou sur chacun des biscuits tartinés de chocolat.

Décorer au goût, de sucre glace ou d'une glace royale.

*Donne 15 à 20 grands sablés doubles ou jusqu’à 2 douzaines de petits sablés doubles.

Source : Baking, From My Home to Yours - Dorie Greenspan - déclinaison



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Biscuits « sandwich » double mélasse


Au début du 20e siècle, dans le quartier du «North-End» de Boston, la distillerie Purity qui produisait divers types d’alcools, utilisait la mélasse qui fermentée, donnait l’éthanol nécessaire à la fabrication d’alcool. Le 15 janvier 1919, la veille même de la ratification du 18e amendement visant à prohiber la production d’alcool aux États-Unis, une énorme cuve mesurant 50' de hauteur par 90' de diamètre et contenant plus de 2 millions de gallons de mélasse, éclata! Des témoins disent qu’au moment où la cuve s'éventra, un grondement sourd se fit entendre alors que les boulons et les rivets fendaient l’air; la terre tremblait comme si un train passait à leurs pieds. L’éclatement de la cuve laissa s’échapper une immense vague de mélasse de près de 15' de haut, voyageant à plus de 35m/h et exerçant une pression de 200kPa. La vague, de force suffisante pour écraser la structure du Boston Elevated Railway, avait même réussi à soulever le train hors de ses rails! Tout près de là, des maisons et des immeubles étaient écrasés, tous arrachés à leurs fondations; plusieurs pâtés de maison furent innondés sous 3' de mélasse. Dans les rues, les décombres tournoyaient et barbotaient sous la mélasse, ici et là, des masses difformes semblaient se débattre, mais dire qu’il s’agissait d’animaux ou d’êtres humains, était impossible. Les chevaux mouraient comme des insectes sur du papier tue-mouches. 150 personnes furent blessées, 21 perdirent la vie dans cet incident; plusieurs furent soulevés à plusieurs pieds dans les airs par l’impossible coup de vent créé par la vague, d’autres furent simplement asphyxiés par la mélasse. Il fallu plus de 87 000 heures de travail pour nettoyer le dégât des routes de pavé, des théatres, des bureaux, des automobiles et des résidences. Dans le port, le ressac de la mer resta brunâtre jusqu’à l’été et on dit que par de chaudes et humides journées, on peut encore aujourd'hui, sentir l’odeur de la mélasse dans l’air. Le site de la distillerie Purity est maintenant devenu un complexe récréatif, à l’entrée de son parc, une plaque commémore ce désastre à présent connu comme « Le Grand Déluge de Mélasse de Boston ».

Biscuits
  • 1½ t. farine
  • ½ c. à thé bicarbonate de soude
  • 1 c. à thé cannelle
  • Pincée de sel
  • ½ t. beurre doux à température ambiante
  • ½ t. cassonade
  • ¼ t. mélasse
  • 1 œuf
Garniture
  • 1/3 t. beurre doux à température ambiante
  • 1½ c. à table mélasse
  • 1 t. sucre glace
Pour les biscuits

Mélanger ensemble la farine, le bicarbonate, la cannelle et le sel, réserver.

Dans une jatte, mélanger le beurre et la cassonade à l’aide d’un mélangeur électrique, jusqu’à léger.

Ajouter l’œuf, battre de nouveau.

Ajouter la mélasse, battre de nouveau.

Ajouter les ingrédients secs en quelques fois, bien battre après chaque addition.

Déposer la pâte par cuillèrées à thé combles sur une plaque à biscuits tapissée de papier parchemin ou d’un silpat.

Faire cuire au four sur la grille du haut, à 350° pendant 10 à 13 minutes ou jusqu’à ce que les contours aient légèrement brunis.

Pour la garniture

Dans une jatte, battre le beurre et la mélasse à l’aide d’un mélangeur électrique, jusqu’à lisse et crémeux.

Ajouter le sucre glace et continuer de battre jusqu’à onctueux et facile à étendre.

Tartiner le dessous d’un biscuit d’environ une cuillerée à thé comble de garniture et refermer un second biscuit sur le dessus en pressant légèrement.

*Donne de 15 à 20 biscuits doubles.


Source : Martha Stewart – déclinaison


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