Recette suggérée par Melissa de Love at First Bite
dans le cadre de ma centième participation aux TWD
Tapenade. n.f.
Domaine(s): - alimentation, épices et assaisonnements
Définition: Pâte faite d'olives noires, d'anchois et de câpres broyés auxquels on ajoute de l'huile d'olive et du jus de citron.
Note(s):
On trouve certaines variantes, comme la tapenade faite avec des olives vertes; dans certaines régions françaises on y ajoute du thon émietté. On sert la tapenade en tartinade sur du pain grillé ou on l'utilise comme condiment avec certains aliments, dont les œufs durs et le concombre.
Malgré que les câpres soient originaires de la Méditerranée, ils furent probablement introduits en Provence, par les Phéniciens de Crête, les Grecs de l’Asie Mineure qui se sont installés près de Marseille au 6e siècle av. J-.C. Le câprier était alors connu sout le nom de «tapeneï» en provençal, et les bourgeons, partie utilisée pour des besoins culinaires, étaient nommés «tapeno» et conservés dans des amphores remplies d’huile d’olive, puique le vinaigre n’était pas encore utilisé à l’époque. Après un certain temps dans l’amphore, les câpres prenaient la texture d’une pâte épaisse, l’ancêtre de la tapenade moderne. On emploie donc cette appelation de «tapenade» aujourd’hui, pour les câpres plutôt que pour les olives, qui sont en volume, le plus important ingrédients constituant la tapenade. Au 2e siècle, on vit enfin l’utilisation du vinaigre et de l’ail, devenir prévalente pour conserver les aliments; un amalgame de la période moyenâgeuse, prôné par les théories médicales du physicien grec Galien dominaient. Chanot-Bullier, l’auteur d’un livre de recettes de la région de la Provence: Vieii receto du cousino prouvençalo, « Vieilles recettes de cuisine provençales », divisa la cuisine provençale en quatre régions et catégorisa la tapenade dans la troisième région, la toulonnaise-varoise. D’après l’auteure, la tapenade, cette fameuse pâte d’olives, d’anchois, de thon et de câpres dégustée sur de petits toasts et accompagnée de Pernod, appartiendrait donc à la cuisine de la Côte d’Azur, empire des coquillages et des mollusques mangés crus.
Dans une grande jatte, bien mélanger la farine, la poudre à pâte et le sel.
Ajouter la crème et la tapenade, bien incorporer.
Avec les mains, pétrir légèrement la pâte en 3 à 4 coups, afin d’obtenir une boule homogène.
Transférer la pâte obtenue sur un plan de travail enfariné, et abaisser avec les doigts, jusqu’à une épaisseur de ½‘’.
Découper les formes désirées dans la pâte, à l’aide d’un emporte-pièce au choix.
Poser les biscuits sur une plaque de cuisson préalablement beurrée ou tapissée de papier parchemin.
Retravailler la pâte restant (le moins possible) afin d’obtenir les plus de biscuits possible.
Faire cuire au four sur la grille du centre, à 425° pendant 14 à 18 minutes ou jusqu’à gonflés et légèrement dorés.
Servir tièdes ou chauds avec du beurre, de la confiture, de la soupe ou même, un ragoût.
Source: Baking, From My Home to Yours - Dorie Greenspan - déclinaison
IMPRIMER CETTE RECETTE (sans photo)
Domaine(s): - alimentation, épices et assaisonnements
Définition: Pâte faite d'olives noires, d'anchois et de câpres broyés auxquels on ajoute de l'huile d'olive et du jus de citron.
Note(s):
On trouve certaines variantes, comme la tapenade faite avec des olives vertes; dans certaines régions françaises on y ajoute du thon émietté. On sert la tapenade en tartinade sur du pain grillé ou on l'utilise comme condiment avec certains aliments, dont les œufs durs et le concombre.
Malgré que les câpres soient originaires de la Méditerranée, ils furent probablement introduits en Provence, par les Phéniciens de Crête, les Grecs de l’Asie Mineure qui se sont installés près de Marseille au 6e siècle av. J-.C. Le câprier était alors connu sout le nom de «tapeneï» en provençal, et les bourgeons, partie utilisée pour des besoins culinaires, étaient nommés «tapeno» et conservés dans des amphores remplies d’huile d’olive, puique le vinaigre n’était pas encore utilisé à l’époque. Après un certain temps dans l’amphore, les câpres prenaient la texture d’une pâte épaisse, l’ancêtre de la tapenade moderne. On emploie donc cette appelation de «tapenade» aujourd’hui, pour les câpres plutôt que pour les olives, qui sont en volume, le plus important ingrédients constituant la tapenade. Au 2e siècle, on vit enfin l’utilisation du vinaigre et de l’ail, devenir prévalente pour conserver les aliments; un amalgame de la période moyenâgeuse, prôné par les théories médicales du physicien grec Galien dominaient. Chanot-Bullier, l’auteur d’un livre de recettes de la région de la Provence: Vieii receto du cousino prouvençalo, « Vieilles recettes de cuisine provençales », divisa la cuisine provençale en quatre régions et catégorisa la tapenade dans la troisième région, la toulonnaise-varoise. D’après l’auteure, la tapenade, cette fameuse pâte d’olives, d’anchois, de thon et de câpres dégustée sur de petits toasts et accompagnée de Pernod, appartiendrait donc à la cuisine de la Côte d’Azur, empire des coquillages et des mollusques mangés crus.
- 2 tasses farine
- 1 cuillerée à table poudre à pâte
- 1 cuillerée à thé sucre
- 1 cuillerée à thé sel
- 3 cuillerées à table tapenade d’olive verte (ou noire)
- 2 cuillerées à table pesto (maison ou du commerce)
- 1 tasse crème 35%
Dans une grande jatte, bien mélanger la farine, la poudre à pâte et le sel.
Ajouter la crème et la tapenade, bien incorporer.
Avec les mains, pétrir légèrement la pâte en 3 à 4 coups, afin d’obtenir une boule homogène.
Transférer la pâte obtenue sur un plan de travail enfariné, et abaisser avec les doigts, jusqu’à une épaisseur de ½‘’.
Découper les formes désirées dans la pâte, à l’aide d’un emporte-pièce au choix.
Poser les biscuits sur une plaque de cuisson préalablement beurrée ou tapissée de papier parchemin.
Retravailler la pâte restant (le moins possible) afin d’obtenir les plus de biscuits possible.
Faire cuire au four sur la grille du centre, à 425° pendant 14 à 18 minutes ou jusqu’à gonflés et légèrement dorés.
Servir tièdes ou chauds avec du beurre, de la confiture, de la soupe ou même, un ragoût.
Source: Baking, From My Home to Yours - Dorie Greenspan - déclinaison
IMPRIMER CETTE RECETTE (sans photo)