Pourim, fêté du 9 au 11 mars 2009.
Le moral des juifs était à sont plus bas. Le Temple de Jérusalem avait été détruit, sa nation conquise et depuis près de 70 ans, dispersée en terres étrangères. La fin prophétisée de l’Exil, n’était pas venue et la désolation de l’assimilation était entamée. À ce moment, l’ennemi se leva pour achever son plan maléfique. Cette fois, Haman venu de la tribu d’Amalek, ceux qui haïssaient les juifs, imagina un complot pour mettre fin au «problème des juifs» une bonne fois pour toute, en anéantissant tous les juifs de la terre, hommes, femmes et enfants, en un seul jour. Et Haman aurait presque réussit, s’il n’en avait pas été de Mordechai, un descendant du Roi Saul et conseiller du Roi Achashverosh. Mordechai avait pressenti le danger et se rendit jusqu’à la grille du palais en criant pour rallier les juifs, afin qu’ils s’en remettent tous à la Torah, aux enseignements des valeurs éternelles. Mordechai demanda à sa nièce, la Reine Esther, de plaider la cause du peuple auprès du roi. Esther en désaccord avec cette requête, craignait de parler au roi, mais se voyant dans l’impasse, fit pénitence en observant une grève de la faim pendant trois jours et encouragea le peuple juif à faire de même. Ensuite seulement, elle se rendit chez le roi. Elle est une histoire de grand courage et de sacrifice de soi, que celle de la Reine Esther, de Mordichai et du peuple juif, puisque tout au long de cette difficile année, aucun juif ne se converti, pas même pour sauver sa vie. La nation s’éveilla, retourna aux enseignements de la Torah, aux mitzvot et consolida sa foi. Avec ces valeurs retrouvées, le peuple pu alors s’élever contre l’ennemi et le vaincre, au 13e jour d’Adar (6e mois du calendrier juif), ce jour-là même, destiné à la «solution finale». Le peuple juif avait montré sa force réelle; il avait gagné le droit d’en terminer avec l’Exil, de retourner à la Terre Sainte et de rebâtir le Temple – comme il le fut en ce temps, alors qu’il le soit encore aujourd’hui. Chaque année pour accomplir les mitzvot de Pourim, les juifs réaffirment leur engagement aux valeurs éternelles de la Torah. Encore aujourd’hui lors de Pourim, les juifs lisent le megillah – le livre d’Esther, dans lequel le miracle de Pourim est raconté. D’après les juifs, cette histoire est encore très pertinente à notre monde contemporain et le megillah leurs rappelle que lorsque qu’ils célèbrent ainsi Pourim chaque année, son miracle renaît dans leur vie.
Dans une jatte, battre légèrement l'œuf, l'huile, le sucre et l'eau de fleur d'oranger.l
Ajouter les ingrédients secs aux ingrédients liquides et mélanger jusqu'à l'obtention d'une pâte souple.
Transférer la pâte sur un plan de travail propre et enfariné, et la pétrir quelques minutes, jusqu'à bien lisse.
Façonner une boule avec la pâte, couvrir de pellicule plastique et laisser reposer pendant au moins 1H.
Rouler la pâte aussi fine que possible, sur un plan de travail bien enfariné; découper des cercles d’environ 10cm de hauteur à l'emporte pièce (ou avec un verre) et découper ceux-ci en deux parties égales, pincer légèrement le bas des demis-cercles obtenus pour leur donner la forme d'oreilles.
Faire frire les oreilles deux à la fois, dans l’huile chauffée à 375° en les tournant une fois pendant la cuisson, jusqu’à ce qu’elle gonflent et dorent légèrement.
Égoutter les oreilles sur du papier absorbant et saupoudrer de sucre glace avant de servir.
*Garder le surplus dans un récipient hérmétique.
Source : Clarissa Hyman - déclinaison
IMPRIMER CETTE RECETTE (sans photo)
Le moral des juifs était à sont plus bas. Le Temple de Jérusalem avait été détruit, sa nation conquise et depuis près de 70 ans, dispersée en terres étrangères. La fin prophétisée de l’Exil, n’était pas venue et la désolation de l’assimilation était entamée. À ce moment, l’ennemi se leva pour achever son plan maléfique. Cette fois, Haman venu de la tribu d’Amalek, ceux qui haïssaient les juifs, imagina un complot pour mettre fin au «problème des juifs» une bonne fois pour toute, en anéantissant tous les juifs de la terre, hommes, femmes et enfants, en un seul jour. Et Haman aurait presque réussit, s’il n’en avait pas été de Mordechai, un descendant du Roi Saul et conseiller du Roi Achashverosh. Mordechai avait pressenti le danger et se rendit jusqu’à la grille du palais en criant pour rallier les juifs, afin qu’ils s’en remettent tous à la Torah, aux enseignements des valeurs éternelles. Mordechai demanda à sa nièce, la Reine Esther, de plaider la cause du peuple auprès du roi. Esther en désaccord avec cette requête, craignait de parler au roi, mais se voyant dans l’impasse, fit pénitence en observant une grève de la faim pendant trois jours et encouragea le peuple juif à faire de même. Ensuite seulement, elle se rendit chez le roi. Elle est une histoire de grand courage et de sacrifice de soi, que celle de la Reine Esther, de Mordichai et du peuple juif, puisque tout au long de cette difficile année, aucun juif ne se converti, pas même pour sauver sa vie. La nation s’éveilla, retourna aux enseignements de la Torah, aux mitzvot et consolida sa foi. Avec ces valeurs retrouvées, le peuple pu alors s’élever contre l’ennemi et le vaincre, au 13e jour d’Adar (6e mois du calendrier juif), ce jour-là même, destiné à la «solution finale». Le peuple juif avait montré sa force réelle; il avait gagné le droit d’en terminer avec l’Exil, de retourner à la Terre Sainte et de rebâtir le Temple – comme il le fut en ce temps, alors qu’il le soit encore aujourd’hui. Chaque année pour accomplir les mitzvot de Pourim, les juifs réaffirment leur engagement aux valeurs éternelles de la Torah. Encore aujourd’hui lors de Pourim, les juifs lisent le megillah – le livre d’Esther, dans lequel le miracle de Pourim est raconté. D’après les juifs, cette histoire est encore très pertinente à notre monde contemporain et le megillah leurs rappelle que lorsque qu’ils célèbrent ainsi Pourim chaque année, son miracle renaît dans leur vie.
- 1¼ t. farine
- 1 c. à thé poudre à pâte
- Pincée de sel
- 1 œuf légèrement battu
- 1 c. à table huile d’olive
- 2 c. à table sucre
- 2 c. à table eau de fleur d’oranger
- 1 c. à table graines d’anis
- 1 c. à table zeste d’orange
- Huile (pour la friture)
- Sucre glace (pour le service)
Dans une jatte, battre légèrement l'œuf, l'huile, le sucre et l'eau de fleur d'oranger.l
Ajouter les ingrédients secs aux ingrédients liquides et mélanger jusqu'à l'obtention d'une pâte souple.
Transférer la pâte sur un plan de travail propre et enfariné, et la pétrir quelques minutes, jusqu'à bien lisse.
Façonner une boule avec la pâte, couvrir de pellicule plastique et laisser reposer pendant au moins 1H.
Rouler la pâte aussi fine que possible, sur un plan de travail bien enfariné; découper des cercles d’environ 10cm de hauteur à l'emporte pièce (ou avec un verre) et découper ceux-ci en deux parties égales, pincer légèrement le bas des demis-cercles obtenus pour leur donner la forme d'oreilles.
Faire frire les oreilles deux à la fois, dans l’huile chauffée à 375° en les tournant une fois pendant la cuisson, jusqu’à ce qu’elle gonflent et dorent légèrement.
Égoutter les oreilles sur du papier absorbant et saupoudrer de sucre glace avant de servir.
*Garder le surplus dans un récipient hérmétique.
Source : Clarissa Hyman - déclinaison
IMPRIMER CETTE RECETTE (sans photo)