Recette aussi publiée chez Isabelle de Les gourmandises d'Isa
dans le cadre de ma participation au concours "Saint-Valentin"
organisé en collaboration avec les Éditions du Chêne
Dans ses écrits, l’anthropologue Helen Fisher, affirme que l’amour romantique excite dans la chimie cérébrale, trois endroits spécifiques du cerveau, associés à de puissantes hormones et tous reliés au sentiment de récompense et de plaisir. Ces trois systèmes cérébraux associés, résultent en une décharge d’hormones qui provoquent l’augmentation des battements du cœur, la moiteur des mains ainsi que le sentiment de connexion, impliqués dans l’amour romantique naissant. La libido, associée à une classe d’hormones appelées androgènes, plus particulièrement à la testostérone (que les femmes produisent aussi); la confiance, générée par l’ocytocine et enfin, l’élément clé du noyau accumbens du cerveau, l’amour, engendré par la dopamine, contribuent tous à l’évolution de la chimie d’une relation amoureuse. Mais cette chimie de la relation romantique n’est pourtant pas dessinée pour durer, et ne subsiste que de six mois à trois ans, nous laissant par la suite le soin de prendre la décision de terminer la relation, ou de la poursuivre à un niveau différent. En considérant qu’il est facile de rester coincé dans la recherche d’un amour romantique, en errant à travers les différents épisodes qui mènent à son aboutissement, la partie la plus déplorable du procédé reste qu’une insensibilité à un certain niveau de dopamine peut se développer et nous maintenir dans un état d’insatisfaction constante. Pour se sortir de cet immobilisme, le physiologiste Robert Epstein, propose de s’engager en couple, dans des exercices intimes. Epstein qui depuis de nombreuses années, étudie la chimie des relations en se basant par exemple, sur les mariages arrangés en Inde qui démontrent une réussite de 95%, estime qu’en pratiquant des exercices de construction de l’amour, même les couples qui ne se sont pas fréquentés auparavant, peuvent atteindre une relation d’amour profond. Selon les recherches effectuées, les couples de longue date gardent une relation chimique très similaire à celle des nouveaux couples, seulement moins fébrile. À ceux qui pourraient croire que cette étape plus mature de l’amour romantique vient naturellement, Epstein répond qu’une relation romantique plus mature, nécessite une attention constante, telle la pratique du «regard de l’âme», ou encore de la «synchronisation du rythme cardiaque». Toujours selon Epstein, ces exercices gravitent autour des «quatre piliers de la relation»: engagement, attentes réalistes, connaissance intime et savoir-faire essentiel à la relation. Mais pour en savoir plus à ce propos, répondre à vos questions, voire même tenter la pratique de ces exercices au sein de votre couple, rendez-vous sur DrRobertEpstein.com
dans le cadre de ma participation au concours "Saint-Valentin"
organisé en collaboration avec les Éditions du Chêne
Dans ses écrits, l’anthropologue Helen Fisher, affirme que l’amour romantique excite dans la chimie cérébrale, trois endroits spécifiques du cerveau, associés à de puissantes hormones et tous reliés au sentiment de récompense et de plaisir. Ces trois systèmes cérébraux associés, résultent en une décharge d’hormones qui provoquent l’augmentation des battements du cœur, la moiteur des mains ainsi que le sentiment de connexion, impliqués dans l’amour romantique naissant. La libido, associée à une classe d’hormones appelées androgènes, plus particulièrement à la testostérone (que les femmes produisent aussi); la confiance, générée par l’ocytocine et enfin, l’élément clé du noyau accumbens du cerveau, l’amour, engendré par la dopamine, contribuent tous à l’évolution de la chimie d’une relation amoureuse. Mais cette chimie de la relation romantique n’est pourtant pas dessinée pour durer, et ne subsiste que de six mois à trois ans, nous laissant par la suite le soin de prendre la décision de terminer la relation, ou de la poursuivre à un niveau différent. En considérant qu’il est facile de rester coincé dans la recherche d’un amour romantique, en errant à travers les différents épisodes qui mènent à son aboutissement, la partie la plus déplorable du procédé reste qu’une insensibilité à un certain niveau de dopamine peut se développer et nous maintenir dans un état d’insatisfaction constante. Pour se sortir de cet immobilisme, le physiologiste Robert Epstein, propose de s’engager en couple, dans des exercices intimes. Epstein qui depuis de nombreuses années, étudie la chimie des relations en se basant par exemple, sur les mariages arrangés en Inde qui démontrent une réussite de 95%, estime qu’en pratiquant des exercices de construction de l’amour, même les couples qui ne se sont pas fréquentés auparavant, peuvent atteindre une relation d’amour profond. Selon les recherches effectuées, les couples de longue date gardent une relation chimique très similaire à celle des nouveaux couples, seulement moins fébrile. À ceux qui pourraient croire que cette étape plus mature de l’amour romantique vient naturellement, Epstein répond qu’une relation romantique plus mature, nécessite une attention constante, telle la pratique du «regard de l’âme», ou encore de la «synchronisation du rythme cardiaque». Toujours selon Epstein, ces exercices gravitent autour des «quatre piliers de la relation»: engagement, attentes réalistes, connaissance intime et savoir-faire essentiel à la relation. Mais pour en savoir plus à ce propos, répondre à vos questions, voire même tenter la pratique de ces exercices au sein de votre couple, rendez-vous sur DrRobertEpstein.com
Entrevue réalisée par CBS News, avec Dr Robert Epstein - "Règles de l'amour"
- 1 tasse fromage mascarpone
- 1¼ tasse crème 35%
- Zeste d’un demi citron finement râpé
- ½ cuillerée à thé vanille
- 1 cuillerée à table Chambord (ou autre liqueur de framboise)
- ⅓ tasse sucre glace
- 1 tasse coulis de framboise sans grains (maison ou du commerce)
- 2 cuillerées à table sucre glace (si le coulis n’est pas sucré)
- ¼ tasse crème 10%
- 2 cuillerée à table Grand Marnier (ou autre liqueur d’orange)
- Framboises fraîches, zestes de citron, bonbons divers, feuilles de menthe, etc. (pour le décor)
Dans une jatte, à l’aide d’un batteur électrique, battre le mascarpone et ¼ de tasse de crème, jusqu’à bien lisse et crémeux.
Ajouter le zeste de citron, la vanille et le Chambord, et battre jusqu’à bien incorporés, réserver.
Dans une jatte, à l’aide d’un fouet électrique, fouetter la crème jusqu’à l’obtention de pics mous.
Ajouter le sucre glace et fouetter à nouveau, jusqu’à l’obtention de pics fermes.
À l’aide d’un maryse, plier la crème dans le mélange de mascarpone réservé, jusqu’à bien incorporé.
Diviser l’appareil obtenu dans 4 moules de silicone en forme de cœur (ou un seul plus grand), préalablement légèrement huilés.
Cogner fermement les moules sur un comptoir, afin d’en faire sortir les bulles d’air.
Mettre au congélateur au moins 8H avant de démouler (les moules auront aussi pu être chemisés d’étamine pour faciliter le démoulage et éviter la congélation; remplacer alors le temps de congélation par le même temps de réfrigération).
Démouler les cœurs sur des assiettes à dessert, réserver couverts, au frigo.
Dans un bol, mélanger le coulis de framboise, le sucre glace, la crème et le Grand Marnier, réserver.
Au moment de servir, s’assurer que les cœurs à la crème sont bien tendres (décongelés), et les arroser du coulis.
Décorer si désiré, de framboises fraîches, de zeste de citron, de bonbons divers, de feuilles de menthe ou autres, au goût.